DANS LES CORDES
(ENTRAILLES)

Entrailles est l’histoire d’un couple de trentenaires, Alix et R., qui se cognent au réel de la vie quotidienne. Ils vont devenir acteurs d’un Far West numérique, et se confronter à de nouvelles relations virtuelles, de nouveaux modes de communication, de nouvelles façons de s’approcher…

Pauline Ribat a collecté environ cent cinquante témoignages, auprès d’un large public âgé de quinze à soixante-dix ans, pour affirmer que la révolution numérique à laquelle nous assistons est en train d’ébranler les schémas qui dictent nos rapports amoureux depuis des siècles. Derrière un écran, en l’absence du regard de l’autre, le sentiment de liberté prend le dessus et les échanges revêtent un caractère plus volubile qu’IRL (in real life).

Saison 19/20
VEN.7 | SAM.8 FÉV.
À 20H30
EN CRÉATION | DURÉE ENV. 1H40
LIEUPETITE SALLE

TARIF C

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
A+ 31 26 26 13 10  €
A 27 22 22 10 8  €
B 24 19 19 10 8  €
C 20 15 15 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TS Tarif spécial
TAS Tarif L'Auditorium Seynod
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TM Tarif Malraux, Scène nationale Chambéry Savoie
(25 € / 18 € / 12 €)
TU Tarif unique
EL Entrée libre

mise en scène et texte Pauline Ribat
avec Florian Choquart, Sébastien Desjours, Marilyne Fontaine, Sabine Pakora, Nolwenn Korbell
collaboration artistique et à la mise en scène Baptiste Girard
scénographie Jean-Baptiste Manessier
création lumière François Menou
composition musicale et sound design Guillaume Leglise
création costumes Aude Desigaux
regard dramaturgique Lise Werckmeister
régie son Sarah Bradley
création lumière François Menou
régisseur générale et lumière Florian Delattre
administration et production Agathe Perrault
diffusion Florence Bourgeon

 

NolwennKorbell est autrice‑compositrice de Harmony’s tears, la chanson interprétée dans le spectacle.

 

 

production déléguée Compagnie Depuis l’Aube
coproduction Espace Malraux, Scène nationale de Chambéry et de la Savoie, La Filature Scène nationale de Mulhouse, Château-Rouge Scène conventionnée d’Annemasse, Scène nationale de l’Essonne Agora-Desnos, Le Préau-CDN de Normandie, Théâtre du Jeu de Paume
avec l’aide du Conseil départemental de Savoie, du Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes, de la ville de Chambéry, de la SPEDIDAM et de l’ADAMI
avec le soutien de la Chartreuse – Centre national des écritures du spectacle, du Centquatre-Paris, des Subsistances, des Tréteaux de France, du Pilier des Anges Théâtre Roublot, de la Villa Caramagne, l’Endroit espace de travail, de recherche, d’expérimentation pour les artistes ou les équipes artistiques au cœur du CHS de la Savoie
remerciements particuliers à Yohan Mandrillon, Marianne Pelcerf, Kassa Baradji, Clément Peyon et Maxence Vandevelde

 

La compagnie Depuis l’Aube est conventionnée par la Ville de Chambéry

 

Originaire de Savoie, Pauline Ribat commence le théâtre à l’âge de 11 ans. En 2004, elle intègre l’Académie-Théâtrale Françoise Danell-Pierre Debauche à Agen et rencontre Pierre Debauche, pionnier de la décentralisation théâtrale, ainsi que Françoise Danell et Robert Angebaud. Cette école lui donne le goût de la troupe et de la création. En 2006, Pierre Debauche la prépare au concours d’entrée du Conservatoire national supérieur d’art dramatique. Elle intégrera la classe de l’immense comédienne Nada Strancar, sa grande rencontre du Conservatoire. Elle interprète plusieurs grands rôles classiques et s’essaie à des auteurs plus contemporains. Cette école décuple son amour de la littérature et du jeu. Depuis sa sortie en 2009, elle joue sous la direction de Jacques Kraemer, Guy Pierre Couleau, Stéphanie Tesson. Depuis peu, elle collabore avec Grégoire Callies, directeur du Théâtre Roublot à Fontenay sous-Bois dont elle est artiste-associée. En 2013, parallèlement à sa carrière d’actrice, elle se lance dans l’écriture et la mise en scène de son premier texte Depuis l’aube (ode aux clitoris) soutenu par la Chartreuse-CNES. Le spectacle a été créé à l’automne 2016 à la Scène nationale de Chambéry. C’est en janvier 2015, dans les murs de la Chartreuse, alors en pleine résidence d’écriture, que Pauline Ribat croise la route d’Adrien Cornaggia, Riadn Gahmi, Kevin Keiss, Julie Ménard et Yann Verburgh. Ensemble ils décident de se fédérer et fondent le collectif Traverse, un collectif d’auteurs et autrices envisagé comme un « groupe d’action », une véritable « troupe d’auteurs». Ils viennent de co-signer Pavillon Noir, le nouveau spectacle du collectif OS’O (prix du jury et du public du festival Impatience 2015). Pavillon Noir a été créé au Théâtre Gallia de Saintes. Après un temps fort lors des Rencontres d’Été 2018 à la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon, le collectif Traverse est associé au CDN de Vire dès janvier 2019. Actrice, autrice, Pauline Ribat affirme peu à peu sa position de metteuse en scène. En 2015, lors des 55e Rencontres d’été de la Chartreuse, Catherine Dan (la directrice de la Chartreuse) lui confie la mise en voix de Solo di me, une pièce de Francesca Garolla. En 2015, Grégoire Callies la sollicite pour le mettre en scène dans Hors de moi (d’après des textes de Toon Tellegen) et, en 2016, Joséphine Serre lui confie la collaboration artistique de Amer M., texte lauréat du CNT en dramaturgie plurielle et des Journées de Lyon. En septembre 2019, elle l’accompagne sur son prochain projet Data, Mossoul, création au Théâtre national de la Colline en septembre 2019.

« Dans Entrailles (Dans les cordes), Pauline Ribat, au texte et à la mise en scène, dresse le portrait d’une génération, d’une époque. Elle fait se mêler l’histoire d’un couple avec les questionnements de toute une société moderne. Les contes de fées s’arrêtent-ils là où la vie commence ? » Dauphiné Libéré, 31 OCT. 2019

À voir aussi

Distributions Crédits

mise en scène et texte Pauline Ribat
avec Florian Choquart, Sébastien Desjours, Marilyne Fontaine, Sabine Pakora, Nolwenn Korbell
collaboration artistique et à la mise en scène Baptiste Girard
scénographie Jean-Baptiste Manessier
création lumière François Menou
composition musicale et sound design Guillaume Leglise
création costumes Aude Desigaux
regard dramaturgique Lise Werckmeister
régie son Sarah Bradley
création lumière François Menou
régisseur générale et lumière Florian Delattre
administration et production Agathe Perrault
diffusion Florence Bourgeon

 

NolwennKorbell est autrice‑compositrice de Harmony’s tears, la chanson interprétée dans le spectacle.

 

 

production déléguée Compagnie Depuis l’Aube
coproduction Espace Malraux, Scène nationale de Chambéry et de la Savoie, La Filature Scène nationale de Mulhouse, Château-Rouge Scène conventionnée d’Annemasse, Scène nationale de l’Essonne Agora-Desnos, Le Préau-CDN de Normandie, Théâtre du Jeu de Paume
avec l’aide du Conseil départemental de Savoie, du Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes, de la ville de Chambéry, de la SPEDIDAM et de l’ADAMI
avec le soutien de la Chartreuse – Centre national des écritures du spectacle, du Centquatre-Paris, des Subsistances, des Tréteaux de France, du Pilier des Anges Théâtre Roublot, de la Villa Caramagne, l’Endroit espace de travail, de recherche, d’expérimentation pour les artistes ou les équipes artistiques au cœur du CHS de la Savoie
remerciements particuliers à Yohan Mandrillon, Marianne Pelcerf, Kassa Baradji, Clément Peyon et Maxence Vandevelde

 

La compagnie Depuis l’Aube est conventionnée par la Ville de Chambéry

 

Biographie

Originaire de Savoie, Pauline Ribat commence le théâtre à l’âge de 11 ans. En 2004, elle intègre l’Académie-Théâtrale Françoise Danell-Pierre Debauche à Agen et rencontre Pierre Debauche, pionnier de la décentralisation théâtrale, ainsi que Françoise Danell et Robert Angebaud. Cette école lui donne le goût de la troupe et de la création. En 2006, Pierre Debauche la prépare au concours d’entrée du Conservatoire national supérieur d’art dramatique. Elle intégrera la classe de l’immense comédienne Nada Strancar, sa grande rencontre du Conservatoire. Elle interprète plusieurs grands rôles classiques et s’essaie à des auteurs plus contemporains. Cette école décuple son amour de la littérature et du jeu. Depuis sa sortie en 2009, elle joue sous la direction de Jacques Kraemer, Guy Pierre Couleau, Stéphanie Tesson. Depuis peu, elle collabore avec Grégoire Callies, directeur du Théâtre Roublot à Fontenay sous-Bois dont elle est artiste-associée. En 2013, parallèlement à sa carrière d’actrice, elle se lance dans l’écriture et la mise en scène de son premier texte Depuis l’aube (ode aux clitoris) soutenu par la Chartreuse-CNES. Le spectacle a été créé à l’automne 2016 à la Scène nationale de Chambéry. C’est en janvier 2015, dans les murs de la Chartreuse, alors en pleine résidence d’écriture, que Pauline Ribat croise la route d’Adrien Cornaggia, Riadn Gahmi, Kevin Keiss, Julie Ménard et Yann Verburgh. Ensemble ils décident de se fédérer et fondent le collectif Traverse, un collectif d’auteurs et autrices envisagé comme un « groupe d’action », une véritable « troupe d’auteurs». Ils viennent de co-signer Pavillon Noir, le nouveau spectacle du collectif OS’O (prix du jury et du public du festival Impatience 2015). Pavillon Noir a été créé au Théâtre Gallia de Saintes. Après un temps fort lors des Rencontres d’Été 2018 à la Chartreuse de Villeneuve lez Avignon, le collectif Traverse est associé au CDN de Vire dès janvier 2019. Actrice, autrice, Pauline Ribat affirme peu à peu sa position de metteuse en scène. En 2015, lors des 55e Rencontres d’été de la Chartreuse, Catherine Dan (la directrice de la Chartreuse) lui confie la mise en voix de Solo di me, une pièce de Francesca Garolla. En 2015, Grégoire Callies la sollicite pour le mettre en scène dans Hors de moi (d’après des textes de Toon Tellegen) et, en 2016, Joséphine Serre lui confie la collaboration artistique de Amer M., texte lauréat du CNT en dramaturgie plurielle et des Journées de Lyon. En septembre 2019, elle l’accompagne sur son prochain projet Data, Mossoul, création au Théâtre national de la Colline en septembre 2019.

La presse en parle

« Dans Entrailles (Dans les cordes), Pauline Ribat, au texte et à la mise en scène, dresse le portrait d’une génération, d’une époque. Elle fait se mêler l’histoire d’un couple avec les questionnements de toute une société moderne. Les contes de fées s’arrêtent-ils là où la vie commence ? » Dauphiné Libéré, 31 OCT. 2019

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