LA GIOIA

Kaléidoscope d’émotion pure, tourbillon d’images puissantes, burlesques, poignantes : tout l’univers de l’immense Pippo Delbono est de retour, unique et démesuré. Dérangeant, fascinant, son théâtre bouleverse par sa force sincère et sa poésie. Avec ses acteurs, il nous prend par la main pour, ensemble, partir à la recherche de ce trésor inouï, cette explosion fulgurante : la Joie.

Ses acteurs fétiches sont là : Nelson, Gianluca, seul manque Bobò, âme de toutes ses créations depuis 1995. Ils sont là pour offrir la mosaïque de leur humanité, et nous entraîner, en compagnons de voyage, dans cette quête obstinée. Chaque séquence est une étape, un rituel singulier : danse, envol ou rage. Comme un carnaval étrange et doux, chaque image imprime la rétine, chaque mot touche au cœur. Pippo est là, au centre, pour dire la douleur du chemin, la vitalité coûte que coûte, le dépassement des peurs, la lueur fragile vers laquelle il faut tendre pour qu’enfin explose la joie, ce sentiment d’exaltation absolue, déflagration soudaine de mille bouquets chatoyants…

Saison 19/20

en italien surtitré en français

MAR.17 | MER.18 DÉC.
À 20H30
DURÉE ENV. 1H15
LIEUGRANDE SALLE

TARIF A

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
A+ 31 26 26 13 10  €
A 27 22 22 10 8  €
B 24 19 19 10 8  €
C 20 15 15 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TS Tarif spécial
TAS Tarif L'Auditorium Seynod
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TM Tarif Malraux, Scène nationale Chambéry Savoie
(25 € / 18 € / 12 €)
TU Tarif unique
EL Entrée libre

un spectacle de Pippo Delbono
avec Dolly Albertin, Gianluca Ballarè, Margherita Clemente, Pippo Delbono, Ilaria Distante, Simone Goggiano, Mario Intruglio, Nelson Lariccia, Gianni Parenti, Pepe Robledo, Grazia Spinella
avec la voix de Bobò
composition florale Thierry Boutemy
musiques Pippo Delbono, Antoine Bataille, Nicola Toscano et de compositeurs variés
création lumières Orlando Bolognesi
régisseurs lumières Alejandro Zamora
son Matteo Braglia
costumes Elena Giampaoli
chef machino Gianluca Bolla
responsable de production Alessandra Vinanti
organisation Silvia Cassanelli
directeur technique Fabio Sajiz
administratrice de compagnie Laura Favero Fransos

production Emilia Romagna Teatro Fondazione Teatro nazionale
coproduction Théâtre de Liège, Le Manège Maubeuge – Scène nationale
photo Luca Del Pia
remerciements Enrico Bagnoli, Jean Michel Ribes, Alessia Guidoboni assistante de Thierry Boutemy et le Théâtre de Liège pour les costumes et la diffusion des productions en francophonie
Cette pièce a été créée le 1er Mars 2018 à l’Arena del Sole Bologna Sale De Berardinis

Pippo Delbono, acteur, metteur en scène, est né à Varazze en 1959. Après avoir commencé sa formation dans le théâtre traditionnel, il se consacre pendant plusieurs années à l’étude de la relation entre théâtre et danse, en particulier dans les principes du théâtre de l’Orient où le travail de l’acteur et du danseur s’unissent. Pendant ce parcours, les rencontres de travail avec Ryszard Cielslak, Iben Nagel Rasmusen et Pina Bausch sont significatives. À la fin des années 1980, il fonde sa compagnie avec laquelle il crée tous ses spectacles depuis Il Tempo degli assassini (1986). Son spectacle Guerra a obtenu le prix de la Critique 1998, Gente di Plastica, le prix Olimpici 2003 et Urlo le prix Olimpici 2005. En 2009, Pippo Delbono reçoit le prix européen des nouvelles réalités théâtrales pour l’ensemble de ses créations. En 1996, sa rencontre avec Bobò, sourd, muet, microcéphale, interné dans l’hôpital psychiatrique d’Aversa (dans le sud de l’Italie) depuis 45 ans, marque un tournant dans son travail. Avec Bobò, commence une collaboration artistique qui le conduira à ouvrir sa compagnie à des personnes en provenance d’un monde éloigné du théâtre et de la danse. Actuellement, la compagnie est constituée d’acteurs, de danseurs, et d’autres personnages qui accompagnent depuis de nombreuses années ce travail, et qui, par leur spécificité physique, ont fortement marqué le langage poétique de Pippo Delbono. Ses spectacles ont été présentés dans les principales capitales européennes, en Amérique du Nord, Amérique Latine, ont suivi, en parallèle, le parcours de pays comme l’Irak, la Bosnie, l’Albanie, la Palestine et se sont adaptés aux situations extrêmes de la guerre et des conflits.

« Pippo Delbono’s new work moves the audience, deeply. He and his diverse company, of “tramps”, refugees, exceptions, actors, pulsate with the energy of humanity re-inventing itself. »
Il Corriere Della Sera, Massimo Marino, 11 MARS 2018

« Pippo Delbono est un bateleur. Une succession de tableaux, de numéros, un cabaret, un cirque, pleins de formes sont convoquées. C’est extrêmement réussi, un enchainement fluide où on passe du rire aux larmes. C’est rapide, dynamique. »
France culture, Arnaud Laporte, 14 OCT. 2019

« Le meilleur spectacle que j’ai vu de Pippo Delbono.  J’ai été dans le présent, dans l’affecte, un torrent d’émotion et de poésie qui m’ont emportée. L’occupation de l’espace se fait par des images qui habillent et déshabillent le plateau dans un va-et-vient perpétuel. Des images simples et très fortes, où on nous livre des pensées très intimes. »
France culture, Marie Sorbier, 14 OCT. 2019

« On rentre à l’intérieur de la tête de Pippo Delbono, de sa tête d’artiste, de son art. Chaque tableau représente une émotion, une grande folie, une expérience théâtrale pure qui fonctionne par une sincérité du geste. Il circule entre l’espoir et le désespoir, la grande laideur, la maladresse avec des moments de délicatesses absolues. »
France culture, Lucile Commeaux, 14 OCT. 2019

« Un spectacle qui se suffit à lui-même, miraculeux. La tristesse est transformée en joie avec une esthétique pauvre du cirque, magnifique avec quelques beaux costumes de belles couleurs et des comédiens qui rayonnent. Le spectacle est organique, ça coule, c’est naturel et les différents tableaux s’enchaînent  avec une simplicité merveilleuse. »
France culture, Philippe Chevilley, 14 OCT. 2019

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Distributions Crédits

un spectacle de Pippo Delbono
avec Dolly Albertin, Gianluca Ballarè, Margherita Clemente, Pippo Delbono, Ilaria Distante, Simone Goggiano, Mario Intruglio, Nelson Lariccia, Gianni Parenti, Pepe Robledo, Grazia Spinella
avec la voix de Bobò
composition florale Thierry Boutemy
musiques Pippo Delbono, Antoine Bataille, Nicola Toscano et de compositeurs variés
création lumières Orlando Bolognesi
régisseurs lumières Alejandro Zamora
son Matteo Braglia
costumes Elena Giampaoli
chef machino Gianluca Bolla
responsable de production Alessandra Vinanti
organisation Silvia Cassanelli
directeur technique Fabio Sajiz
administratrice de compagnie Laura Favero Fransos

production Emilia Romagna Teatro Fondazione Teatro nazionale
coproduction Théâtre de Liège, Le Manège Maubeuge – Scène nationale
photo Luca Del Pia
remerciements Enrico Bagnoli, Jean Michel Ribes, Alessia Guidoboni assistante de Thierry Boutemy et le Théâtre de Liège pour les costumes et la diffusion des productions en francophonie
Cette pièce a été créée le 1er Mars 2018 à l’Arena del Sole Bologna Sale De Berardinis

Biographie

Pippo Delbono, acteur, metteur en scène, est né à Varazze en 1959. Après avoir commencé sa formation dans le théâtre traditionnel, il se consacre pendant plusieurs années à l’étude de la relation entre théâtre et danse, en particulier dans les principes du théâtre de l’Orient où le travail de l’acteur et du danseur s’unissent. Pendant ce parcours, les rencontres de travail avec Ryszard Cielslak, Iben Nagel Rasmusen et Pina Bausch sont significatives. À la fin des années 1980, il fonde sa compagnie avec laquelle il crée tous ses spectacles depuis Il Tempo degli assassini (1986). Son spectacle Guerra a obtenu le prix de la Critique 1998, Gente di Plastica, le prix Olimpici 2003 et Urlo le prix Olimpici 2005. En 2009, Pippo Delbono reçoit le prix européen des nouvelles réalités théâtrales pour l’ensemble de ses créations. En 1996, sa rencontre avec Bobò, sourd, muet, microcéphale, interné dans l’hôpital psychiatrique d’Aversa (dans le sud de l’Italie) depuis 45 ans, marque un tournant dans son travail. Avec Bobò, commence une collaboration artistique qui le conduira à ouvrir sa compagnie à des personnes en provenance d’un monde éloigné du théâtre et de la danse. Actuellement, la compagnie est constituée d’acteurs, de danseurs, et d’autres personnages qui accompagnent depuis de nombreuses années ce travail, et qui, par leur spécificité physique, ont fortement marqué le langage poétique de Pippo Delbono. Ses spectacles ont été présentés dans les principales capitales européennes, en Amérique du Nord, Amérique Latine, ont suivi, en parallèle, le parcours de pays comme l’Irak, la Bosnie, l’Albanie, la Palestine et se sont adaptés aux situations extrêmes de la guerre et des conflits.

La presse en parle

« Pippo Delbono’s new work moves the audience, deeply. He and his diverse company, of “tramps”, refugees, exceptions, actors, pulsate with the energy of humanity re-inventing itself. »
Il Corriere Della Sera, Massimo Marino, 11 MARS 2018

« Pippo Delbono est un bateleur. Une succession de tableaux, de numéros, un cabaret, un cirque, pleins de formes sont convoquées. C’est extrêmement réussi, un enchainement fluide où on passe du rire aux larmes. C’est rapide, dynamique. »
France culture, Arnaud Laporte, 14 OCT. 2019

« Le meilleur spectacle que j’ai vu de Pippo Delbono.  J’ai été dans le présent, dans l’affecte, un torrent d’émotion et de poésie qui m’ont emportée. L’occupation de l’espace se fait par des images qui habillent et déshabillent le plateau dans un va-et-vient perpétuel. Des images simples et très fortes, où on nous livre des pensées très intimes. »
France culture, Marie Sorbier, 14 OCT. 2019

« On rentre à l’intérieur de la tête de Pippo Delbono, de sa tête d’artiste, de son art. Chaque tableau représente une émotion, une grande folie, une expérience théâtrale pure qui fonctionne par une sincérité du geste. Il circule entre l’espoir et le désespoir, la grande laideur, la maladresse avec des moments de délicatesses absolues. »
France culture, Lucile Commeaux, 14 OCT. 2019

« Un spectacle qui se suffit à lui-même, miraculeux. La tristesse est transformée en joie avec une esthétique pauvre du cirque, magnifique avec quelques beaux costumes de belles couleurs et des comédiens qui rayonnent. Le spectacle est organique, ça coule, c’est naturel et les différents tableaux s’enchaînent  avec une simplicité merveilleuse. »
France culture, Philippe Chevilley, 14 OCT. 2019

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