HABITER LE TEMPS
ANNULÉ

COMMUNIQUÉ DU 18 JANVIER 2022

Nous sommes malheureusement contraints d’annuler les deux représentations du spectacle Habiter le temps de Michel Didym les 10 et 11 mars prochains.
Le comédien Jérome Kircher est indisponible ces prochains mois et il reste trop peu de temps pour qu’une reprise de rôle soit opérée dans de bonnes conditions.
Nous cherchons la possibilité de reprogrammer ce spectacle dans le courant de la saison 2022/2023.

Pour le moment et dans l’attente encore incertaine d’un possible report, vous pouvez :

  • Échanger vos billets contre un autre spectacle de la saison. Il reste des places sur la plupart d’entre eux.
  • Demander le remboursement de vos billets.

 

Renseignements / Billetterie :

04 50 33 44 11
billetterie@bonlieu-annecy.com
du mardi au samedi de 12h30 à 19h

 


 

 

Des répliques qui fusent comme des boules de flipper, qui ricochent sur les mensonges et les non-dits… et la saga familiale dramatique devient thriller palpitant ! Un accident impacte trois générations. On écoute chacun en simultané : les époques se superposent, les dialogues se croisent… Une dramaturgie singulière, portée par une distribution de haut vol et magnifiquement orchestrée par Michel Didym.

Au spectateur de démêler les fils de cette étrange polyphonie. De se faire une idée, à coups de révélations progressives, de la situation. De reconstituer l’histoire morcelée. Libre à lui d’interpréter, de sans cesse réévaluer sa lecture des faits. Dans l’espace unique de la maison dont les murs ont absorbé tous les déchirements, chaque personnage expose sa vision de la réalité. Le couple de 1913 fait écho à celui de 1968, comme à celui de 2014. Sont-ils tous modelés par leur héritage familial ? Comment faire pour habiter le temps ?
Une saga passionnante, superbe partition pour des acteurs d’une précision diabolique.

Saison 21/22

ANNULÉ

JEU.10 | VEN.11 MARS
JEU. À 19H | VEN. À 20H30
DURÉE 1H30
À PARTIR DE 15 ANS
LIEUGRANDE SALLE

TARIF A

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
A+ 31 26 26 13 10  €
A 27 22 22 10 8  €
B 24 19 19 10 8  €
C 20 15 15 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TS Tarif spécial
TAS Tarif L'Auditorium Seynod
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TM Tarif Malraux, Scène nationale Chambéry Savoie
(25 € / 18 € / 12 €)
TU Tarif unique
EL Entrée libre

Texte publié aux Éditions Espaces 34 et traduit avec le soutien de la Maison Antoine Vitez, Centre International de traduction théâtrale.

texte Rasmus Lindberg
mise en scène Michel Didym
traduit du suédois par Marianne Ségol-Samoy
texte publié aux Éditions Esapces 34
avec Irène Jacob, Éric Berger, Jérôme Kircher, Julie Pilod, Catherine Matisse, Hana Sofia Lopes

assistant à la mise en scène Yves Storper
scénographie Clio Van Aerde
lumières Joël Hourbeigt
costumes Jean-Daniel Vuillermoz
musique Philippe Thibault, Nicolas Pierre
maquillage, coiffure Kuno Schlegelmilch
chorégraphie Cécile Bon
réalisation des costumes Ateliers du Théâtre de Liège
réalisation du décor Ateliers du Théâtre de la Ville de Luxembourg et du CDN Nancy

production CDN Nancy Lorraine, La Manufacture
production déléguée Compagnie Boomerang
coproductions Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Les Célestins Théâtre de Lyon, Le Manège – Scène nationale de Maubeuge, Théâtre de Liège

Comédien et metteur en scène de théâtre et d’opéra, Michel Didym est directeur artistique de la Mousson d’été et de la Maison européenne des écritures de théâtre contemporaines.Il dirige le Centre Dramatique National Nancy Lorraine, La Manufacture depuis le 1er janvier 2010. Il y instaure de nouveaux événements comme le Festival RING (Rencontres Internationales des Nouvelles Générations), Neue Stücke (Semaine de la dramaturgie allemande), et le Théâtre d’été (spectacle itinérant en Région Lorraine, au Luxembourg et en Allemagne). Il a mis en scène de nombreux textes, principalement contemporains,notamment: Le Mardi à Monoprix de Emmanuel Darley et Invasion ! de Jonas Hassen Khemiri (Suède) en 2009, Le tigre bleu de l’Euphrate de Laurent Gaudé en 2010, confessions sur le mode d’un théâtre intime, presque privé, où le spectateur se retrouve seul face à un acteur l’espace d’une confidence, Chroniques d’une haine ordinaire d’après Pierre Desproges en 2011. ll créé Sales Gosses de Mihaela Michailov en décembre 2015 à Nancy et Meurtres de la princesse juive d’Armando Llamas à l’ENSATT en juin 2016.En janvier 2015, il s’attaque à un chef-d’œuvre du répertoire classique Le Malade imaginaire de Molière qu’il crée au théâtre de la Manufacture de Nancy. Ce spectacle dépasse les 250 représentations en France – Suisse – Belgique – Allemagne – Chine – au Maroc à Casablanca, Marrakech, Rabat et Meknès. En janvier 2018 il met en scène Les Eaux et Forêts de Marguerite Duras.En février 2019, il crée à l’Opéra National de Lorraine de Nancy, 7 Minuti – opéra de Giorgio  Battistelli d’après le texte de Stefano Massini puis en mars 2019 : Voyage en Italie, d’après Le Journal de Voyage et Les Essais de Montaigne.En décembre 2019 il crée : Comparution immédiate 2, Justice : une loterie nationale ?, d’après des chroniques de Dominique Simonnot. Il créera en décembre 2020 Habiter le temps de l’auteur suédois Rasmus Lindberg.

Rasmus Lindberg (39 ans) est né en 1980 à Luleå, dans le nord de la Suède.
En 2004, il entre à Dramatiska Institutet à Stockholm, l’École Nationale Supérieure des arts du spectacle, pour se former en tant que metteur en scène. Parallèlement, il écrit des pièces de théâtre.
Au cours de sa formation, il fait plusieurs mises en scène et écrit plusieurs pièces dont Plus vite que la lumière et Le Mardi où Morty est mort . C’est avec cette dernière qu’il rencontre un grand succès à Stockholm et qu’il fait sa percée en tant qu’auteur. Depuis il a écrit une quinzaine de pièces qui ont toutes été jouées dans les plus grands théâtres de Suède (Stockholm, Göteborg, Malmö, Umeå).
Ses pièces ont été traduites en français, en anglais, en allemand, en espagnol, en croate et en russe.
En 2013 il reçoit le prix Ibsen (équivalent du prix Goncourt en théâtre) pour son œuvre.
Depuis 2008 il est auteur et metteur en scène associé du Norrbottensteater (Théâtre National de Luleå). Il est également professeur de mise en scène au Conservatoire National Supérieur de Luleå.
Rasmus Lindberg est aujourd’hui considéré comme un des auteurs et metteurs en scène suédois les plus importants de sa génération. Il s’inscrit dans une nouvelle génération d’auteurs à l’écriture très travaillée, s’amusant à faire coexister plusieurs temps et plusieurs espaces et nous livrant une écriture à la fois percutante et symphonique. Chez Rasmus Lindberg, le temps n’est pas seulement une question métaphysique, il a aussi une place importante dans la construction même de la pièce. La mort, la mémoire et le temps sont des thèmes récurrents et centraux.
Rasmus a travaillé pendant 10 ans pour développer cette pièce où le destin de trois générations est raconté en parallèle et simultanément.

« Dans Habiter le temps, trois drames relationnels qui se déroulent à trois époques différentes sont joués conjointement sur scène. Réflexion intelligente sur la pérennité du dysfonctionnement relationnel et de la difficile émergence de la vérité dans les tragédies familiales, la pièce gagne encore en profondeur dans sa mise en scène dynamique, brillamment chorégraphiée, de Michel Didym. »
Tageblatt, Jeff Schinker, 16 FÉV. 21

 

À voir aussi

Distributions Crédits

Texte publié aux Éditions Espaces 34 et traduit avec le soutien de la Maison Antoine Vitez, Centre International de traduction théâtrale.

texte Rasmus Lindberg
mise en scène Michel Didym
traduit du suédois par Marianne Ségol-Samoy
texte publié aux Éditions Esapces 34
avec Irène Jacob, Éric Berger, Jérôme Kircher, Julie Pilod, Catherine Matisse, Hana Sofia Lopes

assistant à la mise en scène Yves Storper
scénographie Clio Van Aerde
lumières Joël Hourbeigt
costumes Jean-Daniel Vuillermoz
musique Philippe Thibault, Nicolas Pierre
maquillage, coiffure Kuno Schlegelmilch
chorégraphie Cécile Bon
réalisation des costumes Ateliers du Théâtre de Liège
réalisation du décor Ateliers du Théâtre de la Ville de Luxembourg et du CDN Nancy

production CDN Nancy Lorraine, La Manufacture
production déléguée Compagnie Boomerang
coproductions Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Les Célestins Théâtre de Lyon, Le Manège – Scène nationale de Maubeuge, Théâtre de Liège

Biographie

Comédien et metteur en scène de théâtre et d’opéra, Michel Didym est directeur artistique de la Mousson d’été et de la Maison européenne des écritures de théâtre contemporaines.Il dirige le Centre Dramatique National Nancy Lorraine, La Manufacture depuis le 1er janvier 2010. Il y instaure de nouveaux événements comme le Festival RING (Rencontres Internationales des Nouvelles Générations), Neue Stücke (Semaine de la dramaturgie allemande), et le Théâtre d’été (spectacle itinérant en Région Lorraine, au Luxembourg et en Allemagne). Il a mis en scène de nombreux textes, principalement contemporains,notamment: Le Mardi à Monoprix de Emmanuel Darley et Invasion ! de Jonas Hassen Khemiri (Suède) en 2009, Le tigre bleu de l’Euphrate de Laurent Gaudé en 2010, confessions sur le mode d’un théâtre intime, presque privé, où le spectateur se retrouve seul face à un acteur l’espace d’une confidence, Chroniques d’une haine ordinaire d’après Pierre Desproges en 2011. ll créé Sales Gosses de Mihaela Michailov en décembre 2015 à Nancy et Meurtres de la princesse juive d’Armando Llamas à l’ENSATT en juin 2016.En janvier 2015, il s’attaque à un chef-d’œuvre du répertoire classique Le Malade imaginaire de Molière qu’il crée au théâtre de la Manufacture de Nancy. Ce spectacle dépasse les 250 représentations en France – Suisse – Belgique – Allemagne – Chine – au Maroc à Casablanca, Marrakech, Rabat et Meknès. En janvier 2018 il met en scène Les Eaux et Forêts de Marguerite Duras.En février 2019, il crée à l’Opéra National de Lorraine de Nancy, 7 Minuti – opéra de Giorgio  Battistelli d’après le texte de Stefano Massini puis en mars 2019 : Voyage en Italie, d’après Le Journal de Voyage et Les Essais de Montaigne.En décembre 2019 il crée : Comparution immédiate 2, Justice : une loterie nationale ?, d’après des chroniques de Dominique Simonnot. Il créera en décembre 2020 Habiter le temps de l’auteur suédois Rasmus Lindberg.

Rasmus Lindberg (39 ans) est né en 1980 à Luleå, dans le nord de la Suède.
En 2004, il entre à Dramatiska Institutet à Stockholm, l’École Nationale Supérieure des arts du spectacle, pour se former en tant que metteur en scène. Parallèlement, il écrit des pièces de théâtre.
Au cours de sa formation, il fait plusieurs mises en scène et écrit plusieurs pièces dont Plus vite que la lumière et Le Mardi où Morty est mort . C’est avec cette dernière qu’il rencontre un grand succès à Stockholm et qu’il fait sa percée en tant qu’auteur. Depuis il a écrit une quinzaine de pièces qui ont toutes été jouées dans les plus grands théâtres de Suède (Stockholm, Göteborg, Malmö, Umeå).
Ses pièces ont été traduites en français, en anglais, en allemand, en espagnol, en croate et en russe.
En 2013 il reçoit le prix Ibsen (équivalent du prix Goncourt en théâtre) pour son œuvre.
Depuis 2008 il est auteur et metteur en scène associé du Norrbottensteater (Théâtre National de Luleå). Il est également professeur de mise en scène au Conservatoire National Supérieur de Luleå.
Rasmus Lindberg est aujourd’hui considéré comme un des auteurs et metteurs en scène suédois les plus importants de sa génération. Il s’inscrit dans une nouvelle génération d’auteurs à l’écriture très travaillée, s’amusant à faire coexister plusieurs temps et plusieurs espaces et nous livrant une écriture à la fois percutante et symphonique. Chez Rasmus Lindberg, le temps n’est pas seulement une question métaphysique, il a aussi une place importante dans la construction même de la pièce. La mort, la mémoire et le temps sont des thèmes récurrents et centraux.
Rasmus a travaillé pendant 10 ans pour développer cette pièce où le destin de trois générations est raconté en parallèle et simultanément.

La presse en parle

« Dans Habiter le temps, trois drames relationnels qui se déroulent à trois époques différentes sont joués conjointement sur scène. Réflexion intelligente sur la pérennité du dysfonctionnement relationnel et de la difficile émergence de la vérité dans les tragédies familiales, la pièce gagne encore en profondeur dans sa mise en scène dynamique, brillamment chorégraphiée, de Michel Didym. »
Tageblatt, Jeff Schinker, 16 FÉV. 21

 

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