OLIVIA RUIZ
musique
MISE EN SCÈNE JÉRÉMIE LIPPMANN
Auteure-compositrice et interprète malicieuse, Olivia Ruiz est une artiste protéiforme qui déborde d’énergie scénique. La populaire « femme chocolat » a grandi, et à chaque âge ses préoccupations. Avec Bouches cousues, elle tisse le lien à son histoire familiale pour faire parler son Espagne, à la fois mutilée et flamboyante. Un concert-spectacle intimiste et incandescent, subtil équilibre de fougue et d’émotion.
À chaque exil son lot de silences. À chaque héritage son fil. D’un timbre métamorphosé par la langue de ses ancêtres, Olivia Ruiz évoque les héritages qui forgent et les ressassements de l’Histoire. Avec sa sensibilité à fleur de peau, elle pose un regard personnel et touchant sur le déracinement et la quête d’identité en décrivant avec maturité la difficulté et la richesse de vivre entre deux cultures.
TARIF SPÉCIAL (32€ / 27€ / 25€ / 15€)
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
|||||
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
|||||
TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - La presse
en parle
une création de et par Olivia Ruiz
chant Olivia Ruiz
guitare, ukulélé Vincent David
nyckelharpa, tiple, charango, scie musciale Franck Marty
claviers, trompette, trombone David Hadjadj
contrebasse Mathieu Denis
régie générale Dominique Briand
régie son Wilfried Simean et Vincent Domenichini
régie lumière Sylvain Murat
régie vidéo Maxence Presenti
montage images Karine Morales et Marine Ottogalli
création vidéo Karine Morales
création lumière Dimitri Vassiliu
images d’archives INA/Institut Jean Vigo
production Astérios Spectacles
mise en scène Jérémie Lippmann
création en association avec le Théâtre + Cinéma – Scène nationale Grand Narbonne
reprise de création avec le soutien du Théâtre Molière, Sète, Scène Nationale Archipel de Thau
avec le regard bienveillant de Julien Bouffier
« Cette fille toute de noir vêtue porte le deuil d’un silence. Et il n’est pas simple de briser un silence, si profondément enraciné en soi. Olivia Ruiz a prouvé […] qu’elle a les épaules et le talent de porter une histoire, profonde et complexe, forte et vivante, en ce siècle où l’exil est encore d’actualité. »
L’indépendant, Laurent Rouquette, 2 OCT. 19
« Olivia Ruiz mêle les influences, les questionnements autour de l’exil, des migrants, de la mémoire et de l’identité. Tout en poésie et en ouverture aux autres. »
MIDI le magazine, Sébastien Dubos, SEPT. 19
« Bouches Cousues, le nouveau spectacle d’Olivia Ruiz : un hymne à la fraternité tout en intimité. Olivia Ruiz crée des retrouvailles virtuelles, en chansons, entre ses grands-parents exilés espagnols et leur pays. Un concert intime, chanté essentiellement en espagnol, avec quelques reprises de l’époque flamboyante de La Femme Chocolat. »
Le Parisien, Valentine Rousseau, 20 OCT.21
Distributions Crédits
une création de et par Olivia Ruiz
chant Olivia Ruiz
guitare, ukulélé Vincent David
nyckelharpa, tiple, charango, scie musciale Franck Marty
claviers, trompette, trombone David Hadjadj
contrebasse Mathieu Denis
régie générale Dominique Briand
régie son Wilfried Simean et Vincent Domenichini
régie lumière Sylvain Murat
régie vidéo Maxence Presenti
montage images Karine Morales et Marine Ottogalli
création vidéo Karine Morales
création lumière Dimitri Vassiliu
images d’archives INA/Institut Jean Vigo
production Astérios Spectacles
mise en scène Jérémie Lippmann
création en association avec le Théâtre + Cinéma – Scène nationale Grand Narbonne
reprise de création avec le soutien du Théâtre Molière, Sète, Scène Nationale Archipel de Thau
avec le regard bienveillant de Julien Bouffier
La presse en parle
« Cette fille toute de noir vêtue porte le deuil d’un silence. Et il n’est pas simple de briser un silence, si profondément enraciné en soi. Olivia Ruiz a prouvé […] qu’elle a les épaules et le talent de porter une histoire, profonde et complexe, forte et vivante, en ce siècle où l’exil est encore d’actualité. »
L’indépendant, Laurent Rouquette, 2 OCT. 19
« Olivia Ruiz mêle les influences, les questionnements autour de l’exil, des migrants, de la mémoire et de l’identité. Tout en poésie et en ouverture aux autres. »
MIDI le magazine, Sébastien Dubos, SEPT. 19
« Bouches Cousues, le nouveau spectacle d’Olivia Ruiz : un hymne à la fraternité tout en intimité. Olivia Ruiz crée des retrouvailles virtuelles, en chansons, entre ses grands-parents exilés espagnols et leur pays. Un concert intime, chanté essentiellement en espagnol, avec quelques reprises de l’époque flamboyante de La Femme Chocolat. »
Le Parisien, Valentine Rousseau, 20 OCT.21