AVANT LA TERREUR
théâtre
Vincent Macaigne
Vincent Macaigne est l’un des artistes les plus percutants de sa génération. Chacune de ses mises en scène a sa part de cœur à vif : théâtre de l’excès et de la démesure – en réponse à la violence du monde –, théâtre nourri de rage et de fureur, mais aussi théâtre de passion et de sincérité. De retour dans l’archipel Shakespeare, après l’adaptation d’Hamlet (Au moins j’aurai laissé un beau cadavre), le voici aux prises avec un Richard III démultiplié, seul miroir possible à tendre aux maux de notre société actuelle… Le reflet de ce que peut produire la bêtise humaine… Sidérant !
Un royaume gangrené par la désinformation où circulent de folles rumeurs ; un roi et ses proches, gang ivre de pouvoir ; un État où tout semble permis. Comme des idiots, ils iront jusqu’au bout… même si, au bout, il y a la terreur ! Adaptation libre de la pièce, inclusions de textes tirés du réel et fermement accrochés à l’actualité, Vincent Macaigne rassemble autour de lui sa troupe d’acteurs dans un décor ultra brut, sous la violence assumée des décibels, jetée dans un jeu exacerbé, explosif, ne négligeant ni le gore ni le grotesque. Il interroge la brutalité humaine que seule la présence de l’enfance peut parfois suspendre. Son théâtre, épique et fulgurant, dessine la vérité de notre époque. Car, pour lui, pas de théâtre sans urgence de dire !
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?×| Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
|---|---|---|---|---|---|---|
| A+ | 31 | 26 | 26 | 13 | 10 | € |
| A | 27 | 22 | 22 | 10 | 8 | € |
| B | 24 | 19 | 19 | 10 | 8 | € |
| C | 20 | 15 | 15 | 10 | 8 | € |
| P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
| TS | Tarif spécial | |||||
| TAS | Tarif L'Auditorium Seynod (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
|||||
| TM | Tarif Malraux, Scène nationale Chambéry Savoie (25 € / 18 € / 12 €) |
|||||
| TU | Tarif unique | |||||
| EL | Entrée libre | |||||
- Distribution
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
écriture, mise en scène, conception visuelle et scénographique Vincent Macaigne
très librement inspiré de Richard III de William Shakespeare
avec Sharif Andoura, Max Baissette de Malglaive, Candice Bouchet, Thibault Lacroix, Clara Lama Schmit, Pauline Lorillard, Pascal Rénéric, Sofia Teillet et des enfants en alternance
assistante à la mise en scène Clara Lama Schmit
création lumière Kelig Le Bars
accessoires et régie générale adjointe Lucie Basclet
conception vidéo Noé Mercklé-Detrez, Typhaine Steiner
conception son Sylvain Jacques, Loïc Le Roux
costumes Camille Aït Allouache
régie générale François Aubry dit “Moustache”, Sébastien Mathé
collaboration scénographique Carlo Biggioggero, Sébastien Mathé
assistanat création et régie lumière Edith Biscaro
régie plateau et accessoires Manuia Faucon
régie plateau Tanguy Louesdon
régie vidéo Laurent Radanovic, Stéphane Rimasauskas
régie son Jonathan Cesaroni, Vincent Husin, Loïc Le Roux
rigger Etienne Debraux
administration de production Lucila Piffer
construction du décor Atelier de la MC93 et atelier du Théâtre de Liège
stagiaires à la mise en scène Noémie Guille, Nathanaël Ruestchmann
stagiaire à la production Luwen Solomon
stagiaire aux accessoires Anna Letiembre-Baës
et les équipes de la MC93
•
production MC93 — Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis, Compagnie Friche 22.66
coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy, Théâtre national de Bretagne, Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, TANDEM – Scène Douai-Arras, Festival d’Automne à Paris, La Colline – théâtre national, Les Célestins, Théâtre de Lyon, Le Quartz – Scène nationale de Brest, Domaine d’O Montpellier –Cité européenne du théâtre, Théâtre de Liège
avec le financement de la région Île-de-France
Il y a une certaine signature dans les spectacles de Vincent Macaigne au théâtre, ce sont les décibels, la vitesse et le débordement. Ses spectacles laissent généralement acteurs et spectateurs essorés, à bout de souffle, face à un plateau dévasté. Le metteur en scène cherche de cette manière une parole vivante, politique, contemporaine. Né en 1978, il entre au CNSAD en 1999. Il monte Friche 22.66, sa première pièce, en 2004, puis Requiem 3, une première version de L’Idiot, et Hamlet, au moins j’aurai laissé un beau cadavre : quatre heures proliférantes et vociférantes au Festival d’Avignon en 2011. En 2012, il est en résidence à la Ménagerie de verre à Paris où il présente En manque. Il fait également des mises en scène à l’étranger, au Chili et au Brésil entre autres. Comme réalisateur au cinéma, il gagne plusieurs prix pour son premier moyen-métrage Ce qu’il restera de nous (2012). Il fait partie avec Guillaume Brac, Justine Triet, Yann Gonzalez, Djinn Carrenard, Thomas Salvador ou encore Antonin Peretjatko d’une jeune génération de cinéastes français mise en avant par les Cahiers du cinéma en avril 2013 et révélée au grand public lors du festival de Cannes 2013. En 2017, son second long-métrage, Pour le réconfort, est sélectionné au Festival de Cannes (ACID). Comme acteur on le retrouve notamment dans les films de Guillaume Brac, Bertrand Bonello, Philippe Garrel, Justine Triet, Anne Fontaine, Eric Toledano et Olivier Nakache, Samuel Benchetrit, Olivier Assayas, Cédric Kahn etc. Il est nommé dans la catégorie « meilleur acteur dans un premier rôle » au César 2022 pour son rôle dans Médecin de nuit d’Elie Wajeman. En 2014, il créé à Vidy Idiot ! Parce que nous aurions dû nous aimer d’après le roman de Dostoïevski ; suivit de En Manque, en décembre 2016 ; puis, toujours à Vidy, Je suis un pays et Voilà ce que jamais je ne te dirai en 2017.
« Vincent Macaigne dépouille le plus culte des Richard shakespeariens, Richard III, de son aura sulfureuse pour en faire un dangereux idiot. De ce texte à la fois terrible et hilarant, il tire un spectacle de théâtre total en forme d’apocalypse joyeuse, où le rire tient en respect le pire. »
Distribution Crédits
écriture, mise en scène, conception visuelle et scénographique Vincent Macaigne
très librement inspiré de Richard III de William Shakespeare
avec Sharif Andoura, Max Baissette de Malglaive, Candice Bouchet, Thibault Lacroix, Clara Lama Schmit, Pauline Lorillard, Pascal Rénéric, Sofia Teillet et des enfants en alternance
assistante à la mise en scène Clara Lama Schmit
création lumière Kelig Le Bars
accessoires et régie générale adjointe Lucie Basclet
conception vidéo Noé Mercklé-Detrez, Typhaine Steiner
conception son Sylvain Jacques, Loïc Le Roux
costumes Camille Aït Allouache
régie générale François Aubry dit “Moustache”, Sébastien Mathé
collaboration scénographique Carlo Biggioggero, Sébastien Mathé
assistanat création et régie lumière Edith Biscaro
régie plateau et accessoires Manuia Faucon
régie plateau Tanguy Louesdon
régie vidéo Laurent Radanovic, Stéphane Rimasauskas
régie son Jonathan Cesaroni, Vincent Husin, Loïc Le Roux
rigger Etienne Debraux
administration de production Lucila Piffer
construction du décor Atelier de la MC93 et atelier du Théâtre de Liège
stagiaires à la mise en scène Noémie Guille, Nathanaël Ruestchmann
stagiaire à la production Luwen Solomon
stagiaire aux accessoires Anna Letiembre-Baës
et les équipes de la MC93
•
production MC93 — Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis, Compagnie Friche 22.66
coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy, Théâtre national de Bretagne, Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, TANDEM – Scène Douai-Arras, Festival d’Automne à Paris, La Colline – théâtre national, Les Célestins, Théâtre de Lyon, Le Quartz – Scène nationale de Brest, Domaine d’O Montpellier –Cité européenne du théâtre, Théâtre de Liège
avec le financement de la région Île-de-France
Biographie
Il y a une certaine signature dans les spectacles de Vincent Macaigne au théâtre, ce sont les décibels, la vitesse et le débordement. Ses spectacles laissent généralement acteurs et spectateurs essorés, à bout de souffle, face à un plateau dévasté. Le metteur en scène cherche de cette manière une parole vivante, politique, contemporaine. Né en 1978, il entre au CNSAD en 1999. Il monte Friche 22.66, sa première pièce, en 2004, puis Requiem 3, une première version de L’Idiot, et Hamlet, au moins j’aurai laissé un beau cadavre : quatre heures proliférantes et vociférantes au Festival d’Avignon en 2011. En 2012, il est en résidence à la Ménagerie de verre à Paris où il présente En manque. Il fait également des mises en scène à l’étranger, au Chili et au Brésil entre autres. Comme réalisateur au cinéma, il gagne plusieurs prix pour son premier moyen-métrage Ce qu’il restera de nous (2012). Il fait partie avec Guillaume Brac, Justine Triet, Yann Gonzalez, Djinn Carrenard, Thomas Salvador ou encore Antonin Peretjatko d’une jeune génération de cinéastes français mise en avant par les Cahiers du cinéma en avril 2013 et révélée au grand public lors du festival de Cannes 2013. En 2017, son second long-métrage, Pour le réconfort, est sélectionné au Festival de Cannes (ACID). Comme acteur on le retrouve notamment dans les films de Guillaume Brac, Bertrand Bonello, Philippe Garrel, Justine Triet, Anne Fontaine, Eric Toledano et Olivier Nakache, Samuel Benchetrit, Olivier Assayas, Cédric Kahn etc. Il est nommé dans la catégorie « meilleur acteur dans un premier rôle » au César 2022 pour son rôle dans Médecin de nuit d’Elie Wajeman. En 2014, il créé à Vidy Idiot ! Parce que nous aurions dû nous aimer d’après le roman de Dostoïevski ; suivit de En Manque, en décembre 2016 ; puis, toujours à Vidy, Je suis un pays et Voilà ce que jamais je ne te dirai en 2017.
La presse en parle
« Vincent Macaigne dépouille le plus culte des Richard shakespeariens, Richard III, de son aura sulfureuse pour en faire un dangereux idiot. De ce texte à la fois terrible et hilarant, il tire un spectacle de théâtre total en forme d’apocalypse joyeuse, où le rire tient en respect le pire. »
