SINFONIA EROICA
danse
MICHÈLE ANNE DE MEY
Soudain, une irruption de jeunesse explose sur le plateau. Un envol collectif grisant comme un feu d’artifice ! La chorégraphe belge, Michèle Anne De Mey, recrée, trente-deux ans après, l’une des plus jubilatoires paraboles chorégraphiques de la relation amoureuse. Une œuvre phare, imprimée dans l’histoire de la danse, à l’inventivité rieuse et à la musicalité enivrante. Un élan vital, solaire et juvénile, complètement euphorisant !
Travaillée à l’identique, mais tellement différente tant la personnalité des neuf danseurs influe sur l’interprétation, la pièce trouve une nouvelle vigueur, une alchimie tissée de connivences. Rires légers et regards expriment la joie d’être ensemble. Emportée par la musique, totalement fusionnelle, la danse oscille entre effervescence et recueillement, sensualité et lâcher prise. Tout devient jeu… de séduction ou d’enfance… Tout devient fête ! Une parade éclatante, insolente et lumineuse sur fond de symphonie Héroïque de Beethoven. Une tornade de spontanéité qui parvient au public, l’imprègne et immanquablement le transporte !
TARIF A
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
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TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
|||||
TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distribution
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
de Michèle Anne De Mey
assistante chorégraphe, répétitrice Eléonore Valere Lachky
assistant chorégraphe, répétiteur Sandy Williams
assistant et conseiller musical Thierry De Mey
assistant artistique Sandy Williams
dansé et recréé par Rita Alves, Cassandre Cantillon, Csenger K. Szabo Robson Ledesma, Alexandre Nadra, Eléonore Pinet-Bodin, Margarida Ramalhete, Violette Wanty, Chetan Yeragera
interprètes en tournée Rita Alves, Cassandre Cantillon, Dylan Labiod, Robson Ledesma, Alexandre Nadra, Eléonore Pinet-Bodin, Margarida Ramalhete, Paul Vezin, Violette Wanty
décors Michel Thuns
adaptations techniques de la scénographie et régie plateau Ivan Fox
régie générale Benjamin Dandoy
création lumière Bernard Freymann
régie lumière Yann Hoogstoel
responsable technique, lumière Ralf Nonn
adaptation lumières Simon Siegmann
régie plateau Ondine Delaunois
régie son Boris Cekevda
son Alice Spenle
costumes Marie-Hélène Balau
couturière Perinne Verschuren
administration, production Hélène Dubois
communication Marie Tirtiaux
responsable technique Benjamin Dandoy
responsable de tournée Louis Lemaire
diffusion Temal Productions
musique W.A. Mozart (Bastien und Bastienne, ouverture)/ L. Von Beethoven (Symphonie L’Héroïque, contredanse n°7, Eroïca, variations)/ J. Hendrix/ Passo doble
remerciements Georges-Elie Octors, Ultima Vez et KVS
avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service de Danse
•
production Astragales ASBL
avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service de Danse.
En 2019 à l’opéra de Liège, Michèle Anne De Mey chorégraphie des extraits de ballets pour une nouvelle version de l’Aïda de Verdi, mis en scène par Stefano Mazzonis. Pour cette création, assistée de Fatou Traoré, elle s’entoure de danseurs et de circassiens. En novembre 2019, la chorégraphe présente sa nouvelle création au Théâtre des Martyrs, River une fiction dansée. S’ensuit la création des chorégraphies pour l’opéra Somnambula à l’Opéra Royal de Wallonie en collaboration avec Jaco Van Dormael, qui, lui, assure la mise en scène. La Première devait avoir lieu en mars 2020, mais a été reportée suite au confinement. À défaut de pouvoir présenter ses créations et éprouvant l’envie de pousser plus loin la recherche de la rencontre entre fiction et danse, elle tourne son premier court-métrage en 2021 en collaboration avec le jeune chef opérateur, Gaspard Pauwels. Fiction dansée, est interprété par Violette Wanty et Aurélien Oudot, tous deux danseurs et acrobates. Le film s’inspire du confinement et du huis-clos. Il raconte l’histoire d’un frère et une sœur enfermés dans la maison familiale. En 2022 elle présente son spectacle Sinfonia Eroica à l’Opéra Royal de Wallonie-Liège. Couronnée de succès dès sa création en 1990, ce spectacle est devenu un classique de la danse contemporaine. Véritable appel à la danse, il prend une dimension nouvelle, accompagné par l’Orchestre de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège, sous la direction d’Ayrton Desimpelaere. Le Ballet Am Rhein de Düsseldorf l’a invité à chorégraphier l’un des quatre tempéraments du spectacle créé par George Balanchine. Elle explorera le tempérament flegmatique aux côtés d’autres chorégraphes de renom, Hélène Blackburn, John Numeier et Demis Volpi, qui se consacrent respectivement à la colère, la mélancolie, et au caractère sanguin. La première a lieu en juin 2022.
« Les personnes présentes alors n’ont pas oublié l’énergie de cette pièce, sa modernité soudaine, l’appel à la danse qu’elle transmettait au public, les noces avec la musique de Beethoven, l’élan collectif, la légèreté magique. (…) Avec la musique du dernier mouvement de la 3e symphonie de Beethoven – la « cavalcade »-, on assiste à un mémorable et spectaculaire débordement d’eau sur scène, les danseurs y glissent joyeusement. « c’est un lâcher prise, un feu d’artifice, une fête comme celle des couleurs en Inde ». (…) « La danse et la musique se répondent constamment dans des noces magnifiques ». »
La Libre Culture, Guy Duplat, AVR.2022
« Parade amoureuse éclatante, insolente et solaire, alternant tour à tour le grave et le divertissant, l’effervescence et le recueillement… (…) »
L’Echo, AVR.2022
« Rien de daté dans tout cela. Au contraire, la pièce semble plus jeune que jamais, les neuf interprètes se l’étant totalement appropriée. Cela se sent dans certains solos, duos, trios habités par leur personnalité. Mais aussi dans la dynamique du spectacle boostée par l’orchestre (…) Cette Sinfonia Eroica emporte tout sur son passage avec ses rires, ses jeux de séduction, ses portés acrobatiques, ses glissades au sol et ces moments de pure magie lorsqu’une danseuse se tient en équilibre, assise sur le filin, pendant plusieurs minutes. Ou lorsque celle-ci tournoie comme une véritable toupie, suspendue à un câble. »
Le Soir, 18 AVR.2022
Distribution Crédits
de Michèle Anne De Mey
assistante chorégraphe, répétitrice Eléonore Valere Lachky
assistant chorégraphe, répétiteur Sandy Williams
assistant et conseiller musical Thierry De Mey
assistant artistique Sandy Williams
dansé et recréé par Rita Alves, Cassandre Cantillon, Csenger K. Szabo Robson Ledesma, Alexandre Nadra, Eléonore Pinet-Bodin, Margarida Ramalhete, Violette Wanty, Chetan Yeragera
interprètes en tournée Rita Alves, Cassandre Cantillon, Dylan Labiod, Robson Ledesma, Alexandre Nadra, Eléonore Pinet-Bodin, Margarida Ramalhete, Paul Vezin, Violette Wanty
décors Michel Thuns
adaptations techniques de la scénographie et régie plateau Ivan Fox
régie générale Benjamin Dandoy
création lumière Bernard Freymann
régie lumière Yann Hoogstoel
responsable technique, lumière Ralf Nonn
adaptation lumières Simon Siegmann
régie plateau Ondine Delaunois
régie son Boris Cekevda
son Alice Spenle
costumes Marie-Hélène Balau
couturière Perinne Verschuren
administration, production Hélène Dubois
communication Marie Tirtiaux
responsable technique Benjamin Dandoy
responsable de tournée Louis Lemaire
diffusion Temal Productions
musique W.A. Mozart (Bastien und Bastienne, ouverture)/ L. Von Beethoven (Symphonie L’Héroïque, contredanse n°7, Eroïca, variations)/ J. Hendrix/ Passo doble
remerciements Georges-Elie Octors, Ultima Vez et KVS
avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service de Danse
•
production Astragales ASBL
avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service de Danse.
Biographie
En 2019 à l’opéra de Liège, Michèle Anne De Mey chorégraphie des extraits de ballets pour une nouvelle version de l’Aïda de Verdi, mis en scène par Stefano Mazzonis. Pour cette création, assistée de Fatou Traoré, elle s’entoure de danseurs et de circassiens. En novembre 2019, la chorégraphe présente sa nouvelle création au Théâtre des Martyrs, River une fiction dansée. S’ensuit la création des chorégraphies pour l’opéra Somnambula à l’Opéra Royal de Wallonie en collaboration avec Jaco Van Dormael, qui, lui, assure la mise en scène. La Première devait avoir lieu en mars 2020, mais a été reportée suite au confinement. À défaut de pouvoir présenter ses créations et éprouvant l’envie de pousser plus loin la recherche de la rencontre entre fiction et danse, elle tourne son premier court-métrage en 2021 en collaboration avec le jeune chef opérateur, Gaspard Pauwels. Fiction dansée, est interprété par Violette Wanty et Aurélien Oudot, tous deux danseurs et acrobates. Le film s’inspire du confinement et du huis-clos. Il raconte l’histoire d’un frère et une sœur enfermés dans la maison familiale. En 2022 elle présente son spectacle Sinfonia Eroica à l’Opéra Royal de Wallonie-Liège. Couronnée de succès dès sa création en 1990, ce spectacle est devenu un classique de la danse contemporaine. Véritable appel à la danse, il prend une dimension nouvelle, accompagné par l’Orchestre de l’Opéra Royal de Wallonie-Liège, sous la direction d’Ayrton Desimpelaere. Le Ballet Am Rhein de Düsseldorf l’a invité à chorégraphier l’un des quatre tempéraments du spectacle créé par George Balanchine. Elle explorera le tempérament flegmatique aux côtés d’autres chorégraphes de renom, Hélène Blackburn, John Numeier et Demis Volpi, qui se consacrent respectivement à la colère, la mélancolie, et au caractère sanguin. La première a lieu en juin 2022.
La presse en parle
« Les personnes présentes alors n’ont pas oublié l’énergie de cette pièce, sa modernité soudaine, l’appel à la danse qu’elle transmettait au public, les noces avec la musique de Beethoven, l’élan collectif, la légèreté magique. (…) Avec la musique du dernier mouvement de la 3e symphonie de Beethoven – la « cavalcade »-, on assiste à un mémorable et spectaculaire débordement d’eau sur scène, les danseurs y glissent joyeusement. « c’est un lâcher prise, un feu d’artifice, une fête comme celle des couleurs en Inde ». (…) « La danse et la musique se répondent constamment dans des noces magnifiques ». »
La Libre Culture, Guy Duplat, AVR.2022
« Parade amoureuse éclatante, insolente et solaire, alternant tour à tour le grave et le divertissant, l’effervescence et le recueillement… (…) »
L’Echo, AVR.2022
« Rien de daté dans tout cela. Au contraire, la pièce semble plus jeune que jamais, les neuf interprètes se l’étant totalement appropriée. Cela se sent dans certains solos, duos, trios habités par leur personnalité. Mais aussi dans la dynamique du spectacle boostée par l’orchestre (…) Cette Sinfonia Eroica emporte tout sur son passage avec ses rires, ses jeux de séduction, ses portés acrobatiques, ses glissades au sol et ces moments de pure magie lorsqu’une danseuse se tient en équilibre, assise sur le filin, pendant plusieurs minutes. Ou lorsque celle-ci tournoie comme une véritable toupie, suspendue à un câble. »
Le Soir, 18 AVR.2022