BIG SISTERS

Retour de deux enfants terribles de la scène contemporaine : le plasticien et metteur en scène iconoclaste Théo Mercier et le performeur Steven Michel ! Après le succès d’Affordable Solution for Better Living, créé à Annecy en 2018 dans le cadre de « Tout le monde danse ! », Lion d’argent de la Biennale de la danse de Venise en 2019, BIG SISTERS, avec quatre danseuses âgées de 23 à 65 ans, Laura Belgrano, Lili Buvat, Marie de Corte et Mimi Wascher, est la suite de cette histoire délirante !

Imaginé à la manière d’un film expérimental, BIG SISTERS est une performance qui se compose comme une fresque cinématographique et kaléidoscopique sur la femme et ses représentations, alternant de manière fractale entre autoportraits et portraits mis en scène, science-fiction et reconstitutions historiques. À la fois fantômes, vaisseaux, capitaines, missiles et planètes, les corps des quatre sœurs sont des capsules à voyager dans les temps. Par ces corps-combats, politiques et poétiques d’une guerre de libération millénaire, BIG SISTERS tente aussi de mettre en lumière la chorégraphie complexe des regards, des fantasmes et des projections qui sont en jeu dans la mise en scène de corps féminins. Dans la cuisine moderne, sous les lunes d’un grand sabbat, dans les forêts humides ou à l’intérieur des réseaux cybernétiques, BIG SISTERS oscille entre bataille sanglante, rituel festif et célébration jouissive de l’énergie vitale, invitant chacun et chacune à prendre conscience de son pouvoir et à le mettre en œuvre.

Saison 19/20
made in Annecy

ATTENTION, CHANGEMENT D’HORAIRE

LUN.9 | MAR.10 | MER.11 MARS
À 19H
en création
DURÉE ENV. 1H
LIEUPETITE SALLE

TARIF C

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
TS 36 29 29 25 18  €
A 29 24 24 14 10  €
B 23 18 18 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Téthys
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause
(10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €)
TBG Tarif Le Brise Glace
(23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €)

conception, chorégraphie & scénographie Théo Mercier & Steven Michel
avec Laura Belgrano, Lili Buvat, Marie de Corte, Mimi Wascher
texte extraits de Les Guérillères, de Monique Wittig (Éditions de Minuit, 1969) et autres prélèvements
collaboration artistique Jonathan Drillet
création sonore Pierre Desprats
création lumière Éric Soyer
costumes Valérie Hellebaut
collaboration couture Pauline Jakobiak
création vidéo Thomas James, Erwan Fichou
maquillage effets spéciaux Éric Ducron, Stéphane Chauvet
maquillage Laurence Echevarria Mulens
collaboration peinture Marie Maresca
création prothèse Jean Christophe Spadaccini, Denis Gastou, Pierre Parry, Kazuhito Kimura
régie générale François Boulet
régie son Étienne Nicolas

 

 

production Nanterre-Amandiers, centre dramatique national
avec le soutien de la Fondation d’entreprise Hermès dans le cadre de son programme New Settings
coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy, Théâtre Vidy-Lausanne, Maison de la culture d’Amiens, C-TAKT, platform transdisciplinair talent, Théâtre Saint-Gervais, La Soufflerie-Rezé

 

La diffusion du spectacle est assurée par ART HAPPENS et Nanterre-Amandiers, centre dramatique national
avec le soutien de La Région Île-de-France, Forum Culturel Autrichien, La Ménagerie de Verre (accueil en résidence), apap – Performing Europe 2020, cofinancé par le programme Europe créative de l’Union européenne, la SPEDIDAM

 

Théo Mercier est artiste associé à Bonlieu Scène nationale Annecy depuis 2017

 

Pour cette création Théo Mercier et Steven Michel ont été accueillis en résidence à Bonlieu Scène nationale Annecy en février et mars 2020

 

Ce spectacle est soutenu par le projet PEPS Annecy – Chambéry – Genève – Lausanne dans le cadre du programme Européen de coopération transfrontalière Interreg France- Suisse 2014-2020.

Né en 1984, Théo Mercier a étudié à l’École nationale supérieure de création industrielle de Paris et à l’Université des arts de Berlin. Plasticien et metteur en scène, il mène une réflexion située au carrefour de l’anthropologie, de l’ethnographie, de la géopolitique et du tourisme. Entre mises en scène chorégraphiées et explorations de la matière, il met en place un échange foisonnant entre passé, présent et futur, animé et inanimé, vrai et faux, artisanal et industriel, profane et sacré, réel et fiction. La plupart des pièces sont le résultat d’un travail d’anthropomorphisation des objets. En produisant et en collectionnant des objets métissés, polymorphes, plurivoques, ambigus, perdus dans leurs origines et dans leur usage, Théo Mercier donne forme à un exotisme très particulier, transculturel, transgéographique, transtemporel. Tout comme il aime creuser la plurivocité du statut de ses objets et de ses accrochages, il joue sans cesse sur la confusion, voire la perte, du geste de l’artiste dans l’œuvre, un jeu que l’on retrouve également dans le travail de mise en scène de son spectacle Radio Vinci Park (présenté à Bonlieu dans la cadre de « Tout le monde danse » en mai 2018). Son spectacle La Fille du collectionneur a été présenté à Nanterre-Amandiers à l’automne 2017 (et accueilli à Bonlieu en 17/18) ainsi qu’Affordable Solution for Better Living, créé à Annecy en mai 2018 avec Steven Michel, et pour lequel ils ont reçu le Lion d’argent à la Biennale de la Danse de Venise en 2019. Il vit et travaille entre Paris et Mexico.

 

Steven Michel a étudié le mime et le cirque, la danse et la percussion avant de s’installer à Bruxelles en 2006 pour sa formation à l’école de danse P.A.R.T.S. Steven a travaillé en tant qu’interprète avec des chorégraphes, metteurs en scène et réalisateurs tels que David Zambrano, Anouk Van Dijk et Falk Richter, Lukas Dhont, Daniel Linehan et Maud Le Pladec, ainsi que les artistes plasticiens Théo Mercier et Sarah&Charles. Depuis 2012, il collabore avec le chorégraphe belge Jan Martens, et crée en 2016, They Might Be Giants, un solo qui s’interroge sur les rapports entre l’artificiel, le naturel, l’animé, l’inanimé, l’immatériel et le monumental. Ne pas se limiter à une discipline, ou à un outil, mais changer les rôles et les approches, explorer divers objets et brouiller les frontières entre différents modes d’expression, Steven Michel souhaite continuer à explorer et jouer autour de correspondances qui le suivent dans ses démarches artistiques, comme la science et la fiction, le miniature et le monumental, l’harmonie et le chaos, l’œil et l’oreille, l’analogue et le digital.

PEPS
À voir aussi

Distributions Crédits

conception, chorégraphie & scénographie Théo Mercier & Steven Michel
avec Laura Belgrano, Lili Buvat, Marie de Corte, Mimi Wascher
texte extraits de Les Guérillères, de Monique Wittig (Éditions de Minuit, 1969) et autres prélèvements
collaboration artistique Jonathan Drillet
création sonore Pierre Desprats
création lumière Éric Soyer
costumes Valérie Hellebaut
collaboration couture Pauline Jakobiak
création vidéo Thomas James, Erwan Fichou
maquillage effets spéciaux Éric Ducron, Stéphane Chauvet
maquillage Laurence Echevarria Mulens
collaboration peinture Marie Maresca
création prothèse Jean Christophe Spadaccini, Denis Gastou, Pierre Parry, Kazuhito Kimura
régie générale François Boulet
régie son Étienne Nicolas

 

 

production Nanterre-Amandiers, centre dramatique national
avec le soutien de la Fondation d’entreprise Hermès dans le cadre de son programme New Settings
coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy, Théâtre Vidy-Lausanne, Maison de la culture d’Amiens, C-TAKT, platform transdisciplinair talent, Théâtre Saint-Gervais, La Soufflerie-Rezé

 

La diffusion du spectacle est assurée par ART HAPPENS et Nanterre-Amandiers, centre dramatique national
avec le soutien de La Région Île-de-France, Forum Culturel Autrichien, La Ménagerie de Verre (accueil en résidence), apap – Performing Europe 2020, cofinancé par le programme Europe créative de l’Union européenne, la SPEDIDAM

 

Théo Mercier est artiste associé à Bonlieu Scène nationale Annecy depuis 2017

 

Pour cette création Théo Mercier et Steven Michel ont été accueillis en résidence à Bonlieu Scène nationale Annecy en février et mars 2020

 

Ce spectacle est soutenu par le projet PEPS Annecy – Chambéry – Genève – Lausanne dans le cadre du programme Européen de coopération transfrontalière Interreg France- Suisse 2014-2020.

Biographie

Né en 1984, Théo Mercier a étudié à l’École nationale supérieure de création industrielle de Paris et à l’Université des arts de Berlin. Plasticien et metteur en scène, il mène une réflexion située au carrefour de l’anthropologie, de l’ethnographie, de la géopolitique et du tourisme. Entre mises en scène chorégraphiées et explorations de la matière, il met en place un échange foisonnant entre passé, présent et futur, animé et inanimé, vrai et faux, artisanal et industriel, profane et sacré, réel et fiction. La plupart des pièces sont le résultat d’un travail d’anthropomorphisation des objets. En produisant et en collectionnant des objets métissés, polymorphes, plurivoques, ambigus, perdus dans leurs origines et dans leur usage, Théo Mercier donne forme à un exotisme très particulier, transculturel, transgéographique, transtemporel. Tout comme il aime creuser la plurivocité du statut de ses objets et de ses accrochages, il joue sans cesse sur la confusion, voire la perte, du geste de l’artiste dans l’œuvre, un jeu que l’on retrouve également dans le travail de mise en scène de son spectacle Radio Vinci Park (présenté à Bonlieu dans la cadre de « Tout le monde danse » en mai 2018). Son spectacle La Fille du collectionneur a été présenté à Nanterre-Amandiers à l’automne 2017 (et accueilli à Bonlieu en 17/18) ainsi qu’Affordable Solution for Better Living, créé à Annecy en mai 2018 avec Steven Michel, et pour lequel ils ont reçu le Lion d’argent à la Biennale de la Danse de Venise en 2019. Il vit et travaille entre Paris et Mexico.

 

Steven Michel a étudié le mime et le cirque, la danse et la percussion avant de s’installer à Bruxelles en 2006 pour sa formation à l’école de danse P.A.R.T.S. Steven a travaillé en tant qu’interprète avec des chorégraphes, metteurs en scène et réalisateurs tels que David Zambrano, Anouk Van Dijk et Falk Richter, Lukas Dhont, Daniel Linehan et Maud Le Pladec, ainsi que les artistes plasticiens Théo Mercier et Sarah&Charles. Depuis 2012, il collabore avec le chorégraphe belge Jan Martens, et crée en 2016, They Might Be Giants, un solo qui s’interroge sur les rapports entre l’artificiel, le naturel, l’animé, l’inanimé, l’immatériel et le monumental. Ne pas se limiter à une discipline, ou à un outil, mais changer les rôles et les approches, explorer divers objets et brouiller les frontières entre différents modes d’expression, Steven Michel souhaite continuer à explorer et jouer autour de correspondances qui le suivent dans ses démarches artistiques, comme la science et la fiction, le miniature et le monumental, l’harmonie et le chaos, l’œil et l’oreille, l’analogue et le digital.

PEPS
À voir aussi