DADAAA
ANNULÉ EN SALLE
MAIS EN TOURNÉE HORS LES MURS

Les représentations à Bonlieu de Dadaaa d’Amélie Poirier, sont annulées mais la compagnie est là. Le jeudi 1er avril, elle donne des ateliers et joue à l’école du Parmelan dans le cadre du projet de parcours d’éducation artistique et culturel de la Ville d’Annecy. Et cette même semaine, la compagnie jouera également à l’école Carnot et à l’école des Teppes, ainsi qu’à la crèche de Bonlieu « La Petite Échelle » d’Annecy.


 

Trois danseurs-marionnettistes et un contre-ténor déluré nous plongent dans l’univers fantaisiste et effronté du dadaïsme : le mouvement artistique de contestation par excellence ! Bienvenue dans un monde rebelle, absurde et irrévérencieux…

Dada n’a ni queue ni tête. Dada colle, agrège, mélange et se moque. Et qui mieux que les enfants sont Dada ? Amélie Poirier se plaît à reproduire les marionnettes minimalistes de l’artiste Sophie Taeuber-Arp et les fait évoluer dans un univers sonore et débridé, inspiré par des poèmes où la parole devient davantage matière que sens. Une aventure fantastique à la croisée des arts, un régal pour tous les âges !

Saison 20/21
à voir en famille

ANNULÉ EN SALLE
MAIS EN TOURNÉE HORS LES MURS

SAM.3 AVR.
À 10H ET À 16H
DURÉE 30 MIN
À PARTIR DE 2 ANS
LIEUSALLE DE CRÉATION

TARIF PETITS ET GRANDS


+ SÉANCES SCOLAIRES

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
TS 36 29 29 25 18  €
A 29 24 24 14 10  €
B 23 18 18 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Téthys
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause
(10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €)
TBG Tarif Le Brise Glace
(23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €)

conception et mise en scène Amélie Poirier
assistée de Carine Gualdaroni
créé en collaboration et interprété par Mathieu Jedrazak, Yves Mwamba, Marta Pereira, Clémentine Vanlerberghe
conception et construction des marionnettes Audrey Robin et Marta Pereira (marionnettes à gaine)
stagiaire construction Manon Ducrot
création lumière Henri-Emmanuel Doublier
scénographie Philémon Vanorlé
régie générale Audrey Robin

 

 

coproduction Le Théâtre des Îlets – CDN de Montluçon-Auvergne, Le Bouffou Théâtre à la Coque – Hennebont (56), Le Carré, Scène nationale – Centre d’art contemporain d’intérêt national / Château-Gontier
avec le soutien de la DRAC et de la Région-Hauts-de-France, du Collectif Jeune Public Hauts-de-France et de l’Institut International de la Marionnette dans le cadre de son dispositif d’aide à l’insertion professionnelle des diplômés de l’ESNAM, de la fondation SACD-Beaumarchais (aide à l’écriture, aide à la production, aide à la
résidence), Le Tas de Sable – Ches Panses Vertes à Amiens, le Grand Bleu à Lille, le TJP – Centre Dramatique National Strasbourg-Grand Est, l’Oiseau-Mouche et le CDCN le Gymnase à Roubaix pour l’accueil studio
Amélie Poirier est lauréate de l’aide à l’écriture de la Fondation Beaumarchais-SACD pour ce spectacle.

Réalisatrice de films documentaires et metteuse en scène de formes indiscplinées naviguant sans cesse entre la danse, le théâtre et les arts de la marionnette, Amélie Poirier se forme à l’École nationale supérieure des arts de la marionnette (ESNAM) de Charleville-Mézières qu’elle quitte en cours de cursus pour raison de santé. Entre temps elle rédige un mémoire sur la formation des marionnettistes en Occident, joue et co-écrit avec Mathieu Jedrazak le solo La Jeune fille et la morve (tournée au Québec, Belgique, Avignon OFF avec le soutien de la Région etc.) qui lui permet d’être rapidement identifiée dans la Région Nord-Pas de Calais.
Elle bénéficie ainsi de plusieurs dispositifs d’aides à l’émergence et à la recherche de la DRAC Hauts-de-France en partenariat avec des structures telles que le Théâtre du Nord / CDN de Lille-Tourcoing, le CDCN le Gymnase à Roubaix, le Phénix : Scène Nationale de Valenciennes et avec le chorégraphe et plasticien Christian Rizzo.
A partir de 2013, désirant questionner son propre héritage culturel lié à la broderie, elle entame un cycle autour des textiles du Cambrésis grâce à différents soutiens. Elle y mène des actions avec les habitants, développe un projet itinérant de mise en réseau de trois musées textiles de ce territoire à travers un mini-musée et une petite forme en caravane. Ce projet autour des textiles aboutit à la pièce Voilées – qui interroge les textiles à l’endroit du politique et de l’intime – créée en avril 2018 au Théâtre des Îlets / CDN de Montluçon-Auvergne.
Elle travaille parfois avec d’autres compagnies, comme c’est le cas, en septembre 2018, où elle crée la pièce participative Le Madisoning avec 4 comédiens professionnels en situation de handicap mental de la Cie de l’Oiseau-Mouche à Roubaix.
Elle axe actuellement son travail autour de trois volets : la création de spectacles mêlant théâtre, danse et marionnettes à destination des ados/adultes autour de sujets de société qui lui permettent de passer par une écriture du réel ; la création de formes à destination du jeune et du tout public grâce auxquelles elle déploie un travail d’images emplies de figures marionnettiques ; et la réalisation de films en écho aux spectacles qu’elle crée en binôme avec la réalisatrice Justine Pluvinage.
Amélie Poirier est artiste associée au Théâtre des Ilets /CDN de Montluçon-Auvergne dirigé par Carole Thibaut.

« Un spectacle fou et réjouissant pour partager l’univers dadaïste avec les tout-petits. »
Théâtre(s) magazine, Cyrille Planson, JUIN

 

« Dadaaa, apporte, lui une fantaisie salutaire dans un paysage de la création jeune public aujourd’hui marqué par son sérieux, souvent à bon escient, mais qui a peut-être perdu en chemin un peu la légèreté propre à l’enfance. L’ensemble est ici joyeux, virevoltant, suscitant l’étonnement comme le rire spontané chez les plus jeunes. Une telle réussite pour une première création à l’adresse des jeunes publics (à partir de 2 ans) est aussi inattendue que réjouissantes. »
Théâtre(s) magazine, Cyrille Planson, JUIN 19

À voir aussi

Distributions Crédits

conception et mise en scène Amélie Poirier
assistée de Carine Gualdaroni
créé en collaboration et interprété par Mathieu Jedrazak, Yves Mwamba, Marta Pereira, Clémentine Vanlerberghe
conception et construction des marionnettes Audrey Robin et Marta Pereira (marionnettes à gaine)
stagiaire construction Manon Ducrot
création lumière Henri-Emmanuel Doublier
scénographie Philémon Vanorlé
régie générale Audrey Robin

 

 

coproduction Le Théâtre des Îlets – CDN de Montluçon-Auvergne, Le Bouffou Théâtre à la Coque – Hennebont (56), Le Carré, Scène nationale – Centre d’art contemporain d’intérêt national / Château-Gontier
avec le soutien de la DRAC et de la Région-Hauts-de-France, du Collectif Jeune Public Hauts-de-France et de l’Institut International de la Marionnette dans le cadre de son dispositif d’aide à l’insertion professionnelle des diplômés de l’ESNAM, de la fondation SACD-Beaumarchais (aide à l’écriture, aide à la production, aide à la
résidence), Le Tas de Sable – Ches Panses Vertes à Amiens, le Grand Bleu à Lille, le TJP – Centre Dramatique National Strasbourg-Grand Est, l’Oiseau-Mouche et le CDCN le Gymnase à Roubaix pour l’accueil studio
Amélie Poirier est lauréate de l’aide à l’écriture de la Fondation Beaumarchais-SACD pour ce spectacle.

Biographie

Réalisatrice de films documentaires et metteuse en scène de formes indiscplinées naviguant sans cesse entre la danse, le théâtre et les arts de la marionnette, Amélie Poirier se forme à l’École nationale supérieure des arts de la marionnette (ESNAM) de Charleville-Mézières qu’elle quitte en cours de cursus pour raison de santé. Entre temps elle rédige un mémoire sur la formation des marionnettistes en Occident, joue et co-écrit avec Mathieu Jedrazak le solo La Jeune fille et la morve (tournée au Québec, Belgique, Avignon OFF avec le soutien de la Région etc.) qui lui permet d’être rapidement identifiée dans la Région Nord-Pas de Calais.
Elle bénéficie ainsi de plusieurs dispositifs d’aides à l’émergence et à la recherche de la DRAC Hauts-de-France en partenariat avec des structures telles que le Théâtre du Nord / CDN de Lille-Tourcoing, le CDCN le Gymnase à Roubaix, le Phénix : Scène Nationale de Valenciennes et avec le chorégraphe et plasticien Christian Rizzo.
A partir de 2013, désirant questionner son propre héritage culturel lié à la broderie, elle entame un cycle autour des textiles du Cambrésis grâce à différents soutiens. Elle y mène des actions avec les habitants, développe un projet itinérant de mise en réseau de trois musées textiles de ce territoire à travers un mini-musée et une petite forme en caravane. Ce projet autour des textiles aboutit à la pièce Voilées – qui interroge les textiles à l’endroit du politique et de l’intime – créée en avril 2018 au Théâtre des Îlets / CDN de Montluçon-Auvergne.
Elle travaille parfois avec d’autres compagnies, comme c’est le cas, en septembre 2018, où elle crée la pièce participative Le Madisoning avec 4 comédiens professionnels en situation de handicap mental de la Cie de l’Oiseau-Mouche à Roubaix.
Elle axe actuellement son travail autour de trois volets : la création de spectacles mêlant théâtre, danse et marionnettes à destination des ados/adultes autour de sujets de société qui lui permettent de passer par une écriture du réel ; la création de formes à destination du jeune et du tout public grâce auxquelles elle déploie un travail d’images emplies de figures marionnettiques ; et la réalisation de films en écho aux spectacles qu’elle crée en binôme avec la réalisatrice Justine Pluvinage.
Amélie Poirier est artiste associée au Théâtre des Ilets /CDN de Montluçon-Auvergne dirigé par Carole Thibaut.

La presse en parle

« Un spectacle fou et réjouissant pour partager l’univers dadaïste avec les tout-petits. »
Théâtre(s) magazine, Cyrille Planson, JUIN

 

« Dadaaa, apporte, lui une fantaisie salutaire dans un paysage de la création jeune public aujourd’hui marqué par son sérieux, souvent à bon escient, mais qui a peut-être perdu en chemin un peu la légèreté propre à l’enfance. L’ensemble est ici joyeux, virevoltant, suscitant l’étonnement comme le rire spontané chez les plus jeunes. Une telle réussite pour une première création à l’adresse des jeunes publics (à partir de 2 ans) est aussi inattendue que réjouissantes. »
Théâtre(s) magazine, Cyrille Planson, JUIN 19

À voir aussi