JUSQUE DANS VOS BRAS

Recherche identité française désespérément ! Avec son étrange nom, Les Chiens de Navarre est l’un des collectifs les plus iconoclastes de la scène française. Sa sagacité et son irrévérence font irruption à Annecy avec Jusque dans vos bras, une farce comique sur le thème pourtant sérieux de l’identité nationale où un général de Gaulle géant croise des astronautes… Une bouffée d’oxygène irrévérencieuse !

Drapeau bleu-blanc-rouge posé sur un cercueil pour un enterrement patriotique… qui dérape. La France peine à se faire respecter et c’est un prétexte pour en rire ou en pleurer car tout est toujours dans la démesure avec Les Chiens de Navarre, comme lors d’un pique-nique « républicain » ou des joutes façon « Intervilles ». Marie-Antoinette côtoie Jeanne d’Arc et le drame des migrants se heurte à la bien-pensance ! Créé en 2005 par Jean-Christophe Meurisse, ce collectif se nourrit de l’air du temps et régurgite les travers de l’époque avec drôlerie et folie. À nul autre pareil, Les Chiens de Navarre dynamitent tout ce qu’ils touchent !

Saison 20/21

ATTENTION : CHANGEMENT D’HORAIRE

TOUS LES JOURS DE 18H30 À 20H15

JEU.19 | VEN.20 NOV.
ATTENTION : CHANGEMENT D'HORAIRE
TOUS LES JOURS DE 18H30 À 20H15
DURÉE 1H45
LIEUGRANDE SALLE

TARIF A

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
TS 36 29 29 25 18  €
A 29 24 24 14 10  €
B 23 18 18 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Téthys
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause
(10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €)
TBG Tarif Le Brise Glace
(23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €)

mise en scène Jean-Christophe Meurisse / Les chiens de Navarre
avec Caroline Binder, Céline Fuhrer, Matthias Jacquin, Charlotte Laemmel, Hector Manuel, Cédric Moreau, Pascal Sangla, Stéphane Soo Mongone, Alexandre Steiger, Brahim Takioullah, Adèle Zouane
collaboration artistique Amélie Philippe
régie générale et création lumière Stéphane Lebaleur
régie générale et régie lumière Jérôme Perez
création et régie son Isabelle Fuchs
construction décors Flavien Renaudon
conception décors et régie plateau François Gauthier-Lafaye
régie plateau Nicolas Guellier
création costumes Elisabeth Cerqueira
habilleuse Sophie Rossignol
conception mannequin Carole Lallemand
direction de production Antoine Blesson
administration de production Jason Abajo
attachée de production et de communication Flore Chapuis

 

 

production Chiens de Navarre
coproduction Nuits de Fourvière – Lyon, Théâtre Dijon Bourgogne – centre dramatique national, Théâtre de Lorient – centre dramatique national, L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise, Scène nationale du Sud-Aquitain – Théâtre de Bayonne, Théâtre du Gymnase-Bernardines – Marseille, Le Volcan – scène nationale du Havre, La Filature – scène nationale de Mulhouse
avec le soutien du Channel – scène nationale de Calais, de la Villette – Résidences d’artistes 2016, des Plateaux Sauvages – Établissement culturel de la Ville de Paris, de la Ferme du Buisson – scène nationale de Marne-la-Vallée et du T2G Théâtre de Gennevilliers

Les Chiens de Navarre sont soutenus par le ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Île-de-France et par la Région Île-de-France au titre de la Permanence artistique et culturelle.

Après une formation de comédien, Jean-Christophe Meurisse crée en 2005 la compagnie des Chiens de Navarre dont il dirige les spectacles pour le théâtre, notamment Une raclette (2008), Nous avons les machines (2011), Les danseurs ont apprécié la qualité du parquet (2012), Quand je pense qu’on va vieillir ensemble (2013), Les armoires Normandes (2015), Jusque dans vos bras (2017) et Tout le monde ne peut pas être orphelin (2019).
Ses pièces sont remarquées et saluées par la critique et le public, partout en France mais aussi à l’étranger.
Outre le théâtre, Jean-Christophe Meurisse réalise en 2013 son premier moyen métrage Il est des nôtres. Le film reçoit le Prix du public et le Prix de la meilleure interprétation pour l’ensemble des comédiens au Festival Silhouette à Paris (septembre 2013), le Prix du Syndicat National de la Critique de cinéma et de films de télévision dans la catégorie « meilleur court-métrage » (février 2014), le Prix du Jury Jeunes de la Corrèze et le Grand Prix Ciné+ au Festival de Brive (avril 2014). En 2015, il réalise son premier long-métrage intitulé Apnée et sélectionné à la Semaine de la Critique au Festival de Cannes 2016. Le film remporte le prix du Jury (meilleure réalisation) au Festival International du Film Culte de Trouville-sur-mer en 2016. Il sort dans les salles en France et à l’étranger en octobre 2016. Le film est nommé dans la catégorie meilleur premier film aux Lumières de la presse étrangère en janvier 2017.

« Jusque dans vos bras est une grande bouffée d’oxygène irrévérencieuse qui analyse la société française et ose faire rire avec des sujets polémiques : le racisme, les juifs, les homosexuels, les migrants. Il y a beaucoup de l’esprit de Desproges et de Hara-Kiri, mais avec les codes théâtraux du 21ème siècle. »
Sceneweb, Stéphane Capron, 11 JUIN 17

 

« Vous avez dit subversion ? Derrière un humour vache souvent potache, un art du rentre-dedans efficace, les Chiens de Navarre dénoncent la peur, cette peur du ressenti, où l’autre, quel qu’il soit dans sa différence, est un ennemi potentiel. Les Chiens de Navarre ne se contentent pas de rire de tout mais de rire, ensemble, de notre propre bêtise. Pour briser l’indifférence. Rien de nihiliste dans ce théâtre-là. Une bouffée de rire salutaire et bienvenue dans un pays en désordre de marche qui n’aime pas qu’on lui intime l’ordre de marcher au pas. »
L’Humanité, Marie-José Sirach, 12 JUIN 17

 

« La vitalité bordélique des Chiens de Navarre s’attaque à la question de l’identité française. Et leur cynisme est un humanisme : leur esprit frappeur n’est jamais aussi drôle et juste que lorsqu’il est poétique, générateur d’images absurdes, de rapprochements impossibles, provoquant des questions par effet de déplacement de réel. »
I/O Gazette, Mariane de Douhet, 15 JUIN 17

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Distributions Crédits

mise en scène Jean-Christophe Meurisse / Les chiens de Navarre
avec Caroline Binder, Céline Fuhrer, Matthias Jacquin, Charlotte Laemmel, Hector Manuel, Cédric Moreau, Pascal Sangla, Stéphane Soo Mongone, Alexandre Steiger, Brahim Takioullah, Adèle Zouane
collaboration artistique Amélie Philippe
régie générale et création lumière Stéphane Lebaleur
régie générale et régie lumière Jérôme Perez
création et régie son Isabelle Fuchs
construction décors Flavien Renaudon
conception décors et régie plateau François Gauthier-Lafaye
régie plateau Nicolas Guellier
création costumes Elisabeth Cerqueira
habilleuse Sophie Rossignol
conception mannequin Carole Lallemand
direction de production Antoine Blesson
administration de production Jason Abajo
attachée de production et de communication Flore Chapuis

 

 

production Chiens de Navarre
coproduction Nuits de Fourvière – Lyon, Théâtre Dijon Bourgogne – centre dramatique national, Théâtre de Lorient – centre dramatique national, L’apostrophe – scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise, Scène nationale du Sud-Aquitain – Théâtre de Bayonne, Théâtre du Gymnase-Bernardines – Marseille, Le Volcan – scène nationale du Havre, La Filature – scène nationale de Mulhouse
avec le soutien du Channel – scène nationale de Calais, de la Villette – Résidences d’artistes 2016, des Plateaux Sauvages – Établissement culturel de la Ville de Paris, de la Ferme du Buisson – scène nationale de Marne-la-Vallée et du T2G Théâtre de Gennevilliers

Les Chiens de Navarre sont soutenus par le ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Île-de-France et par la Région Île-de-France au titre de la Permanence artistique et culturelle.

Biographie

Après une formation de comédien, Jean-Christophe Meurisse crée en 2005 la compagnie des Chiens de Navarre dont il dirige les spectacles pour le théâtre, notamment Une raclette (2008), Nous avons les machines (2011), Les danseurs ont apprécié la qualité du parquet (2012), Quand je pense qu’on va vieillir ensemble (2013), Les armoires Normandes (2015), Jusque dans vos bras (2017) et Tout le monde ne peut pas être orphelin (2019).
Ses pièces sont remarquées et saluées par la critique et le public, partout en France mais aussi à l’étranger.
Outre le théâtre, Jean-Christophe Meurisse réalise en 2013 son premier moyen métrage Il est des nôtres. Le film reçoit le Prix du public et le Prix de la meilleure interprétation pour l’ensemble des comédiens au Festival Silhouette à Paris (septembre 2013), le Prix du Syndicat National de la Critique de cinéma et de films de télévision dans la catégorie « meilleur court-métrage » (février 2014), le Prix du Jury Jeunes de la Corrèze et le Grand Prix Ciné+ au Festival de Brive (avril 2014). En 2015, il réalise son premier long-métrage intitulé Apnée et sélectionné à la Semaine de la Critique au Festival de Cannes 2016. Le film remporte le prix du Jury (meilleure réalisation) au Festival International du Film Culte de Trouville-sur-mer en 2016. Il sort dans les salles en France et à l’étranger en octobre 2016. Le film est nommé dans la catégorie meilleur premier film aux Lumières de la presse étrangère en janvier 2017.

La presse en parle

« Jusque dans vos bras est une grande bouffée d’oxygène irrévérencieuse qui analyse la société française et ose faire rire avec des sujets polémiques : le racisme, les juifs, les homosexuels, les migrants. Il y a beaucoup de l’esprit de Desproges et de Hara-Kiri, mais avec les codes théâtraux du 21ème siècle. »
Sceneweb, Stéphane Capron, 11 JUIN 17

 

« Vous avez dit subversion ? Derrière un humour vache souvent potache, un art du rentre-dedans efficace, les Chiens de Navarre dénoncent la peur, cette peur du ressenti, où l’autre, quel qu’il soit dans sa différence, est un ennemi potentiel. Les Chiens de Navarre ne se contentent pas de rire de tout mais de rire, ensemble, de notre propre bêtise. Pour briser l’indifférence. Rien de nihiliste dans ce théâtre-là. Une bouffée de rire salutaire et bienvenue dans un pays en désordre de marche qui n’aime pas qu’on lui intime l’ordre de marcher au pas. »
L’Humanité, Marie-José Sirach, 12 JUIN 17

 

« La vitalité bordélique des Chiens de Navarre s’attaque à la question de l’identité française. Et leur cynisme est un humanisme : leur esprit frappeur n’est jamais aussi drôle et juste que lorsqu’il est poétique, générateur d’images absurdes, de rapprochements impossibles, provoquant des questions par effet de déplacement de réel. »
I/O Gazette, Mariane de Douhet, 15 JUIN 17

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