LE SYNDROME DU BANC DE TOUCHE
théâtre
Julie Bertin
Léa Girardet
Rester sur le banc de touche ou traverser les galères d’une comédienne, le sentiment d’échec est le même. Avec vivacité et humour, Léa Girardet relate les répercussions d’une célèbre Coupe du monde de football sur sa vie d’artiste. Avec un seul modèle pour persévérer : Aimé Jacquet !
1998. Alors que l’équipe de France, sous la direction d’un sélectionneur conspué, connaît la gloire, Léa, comédienne, s’inscrit au chômage… Inspirée par Aimé Jacquet, elle décide de s’autotitulariser. Le match de sa vie commence ! Pétri de portraits croisés, ce monologue sans mi-temps transforme la métaphore de l’exclusion en tremplin. Mise en scène par Julie Bertin, Léa Girardet navigue avec talent, force et ténacité entre narcissisme blessé et allant (re)trouvé !
ANNULÉ
ATTENTION : CHANGEMENT D’HORAIRE
TOUS LES JOURS DE 19H À 20H
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TARIF C
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
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TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
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TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
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TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
de et avec Léa Girardet
mise en scène Julie Bertin
collaboratrice artistique Gaia Singer
avec la participation de Robin Causse
regard chorégraphique Bastien Lefèvre, Jean Marc Hoolbecq
son Lucas Lelièvre
lumière Thomas Costerg
costumes Floriane Gaudin
vidéo Pierre Nouvel
diffusion Séverine André Liébaut (Scène 2 Diffusions), Acmé
texte paru aux Éditions Koinè
production LE GRAND CHELEM, ACMÉ Production, Fabriqué à Belleville
remerciements Raymond Domenech, Vikash Dhorasoo, Lionel Charbonnier, Ghislaine Souëf, Pierre Mankowski et Aimé Jacquet
partenaires Théâtre Paris-Villette, Théâtre de Belleville, Festival Mises en capsules, So Foot, Tatane
Après une licence de cinéma et une formation au conservatoire du 10e arrondissement de Paris, Léa Girardet intègre l’École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théatre (ENSATT) en 2009. Elle se forme auprès de Christian Schiaretti, Alain Françon, Pierre Guillois et Arpad Schilling. En troisième année, elle dirige ses camarades de promotion dans une adaptation de Festen de Thomas Vinterberg puis s’essaye au seul en scène avec Charlotte Corday librement inspiré de textes se déroulant sous la révolution française. À sa sortie d’école, elle joue sous la direction de Lisa Wurmser, Sarah Blamont et Virginie Bienaimé. Elle participe au stage « Émergence » et joue dans le court métrage de Nicolas Maury Faire partir. En 2017, elle assiste Élisa Ruschke et joue dans la pièce La mère à boire présentée aux Subsistances à Lyon. L’année suivante, Léa fonde sa compagnie Le grand chelem et se lance dans l’écriture d’un seul en scène autour de la figure d’Aimé Jacquet Le syndrome du banc de touche. Le spectacle, mis en scène par Julie Bertin, d’abord présenté au Festival Mises en capsules, est créé au théâtre de Belleville en septembre 2018. En 2019, Léa joue dans le spectacle Les petites reines de Justine Heynemann et commence la tournée de son seul en scène en France et à l’étranger. Depuis, Léa travaille sur sa nouvelle pièce, en collaboration avec Julie Bertin : Libre arbitre, qui traite des tests de féminité dans le milieu sportif.
En 2011, Julie Bertin intègre le Conservatoire national supérieur d’Art dramatique et travaille, notamment, sous la direction de Dominique Valadié, Nada Strancar ou encore Georges Lavaudant. En 2012, elle met en scène une adaptation de L’Éveil du Printemps de Frank Wedekind. L’année suivante, c’est au côté de Jade Herbulot qu’elle crée Berliner Mauer : vestiges et leur compagnie Le Birgit Ensemble. Le spectacle est présenté au Théâtre Gérard Philipe (Centre dramatique national de Saint-Denis) et sera repris au Théâtre des Quartiers d’Ivry. Parallèlement, le TGP, invite la compagnie à créer Pour un Prélude au Théâtre de la Parenthèse à Avignon en juillet 2015. En 2017, elles co-mettent en scène un dyptique pour le festival d’Avignon : Memories of Sarajevo et Dans les ruines d’Athènes, qui sera repris en tournée (Théâtre des Quartiers d’Ivry, Grand T à Nantes, MC2: Grenoble – Maison de la Culture, etc.). En septembre 2018, Julie Bertin met en scène Léa Girardet dans Le syndrome du banc de touche au théâtre de Belleville. En janvier 2019, elle crée, en collaboration avec Jade Herbulot Les Oubliés (Alger-Paris) à la Comédie-Française. Leur nouvelle création avec la troupe du Birgit Ensemble, Roma(s) national, initialement prévue en février 2021, est reportée suite à la fermeture des théâtres. Avec l’Orchestre National de Jazz elle met en scène Dracula, un opéra jazz jeune public, composé par Frédéric Maurin et Grégoire Letouvet, en tournée depuis 2019.
« L’énergie, l’humour, la rage et la tendresse sont au rendez-vous du Banc de touche de Léa Girardet. L’énergie, l’humour, la rage et la tendresse sont au rendez-vous du spectacle, mis en scène par Julie Bertin, du Birgit Ensemble, et qui montre que, oui, tout espoir n’est jamais perdu. Le sourire radieux et ému de la comédienne aux saluts en témoigne. »
Le Monde
« Voilà un seul en scène qui donne envie de transformer nos frustrations et échecs personnels en énergie positive et en matière créatrice. »
Le Point
« Léa Girardet a du cran, de la lucidité et l’intelligence de naviguer avec tact entre son narcissisme blessé et ce qui lui reste d’entrain. Ce spectacle court, où elle dit mine de rien beaucoup sur ce métier parfois ingrat qu’est celui de l’actrice, c’est le sien. Il est radieux comme une renaissance. »
Télérama, Joëlle Gayot, le 18 SEPT. 2018
Distributions Crédits
de et avec Léa Girardet
mise en scène Julie Bertin
collaboratrice artistique Gaia Singer
avec la participation de Robin Causse
regard chorégraphique Bastien Lefèvre, Jean Marc Hoolbecq
son Lucas Lelièvre
lumière Thomas Costerg
costumes Floriane Gaudin
vidéo Pierre Nouvel
diffusion Séverine André Liébaut (Scène 2 Diffusions), Acmé
texte paru aux Éditions Koinè
production LE GRAND CHELEM, ACMÉ Production, Fabriqué à Belleville
remerciements Raymond Domenech, Vikash Dhorasoo, Lionel Charbonnier, Ghislaine Souëf, Pierre Mankowski et Aimé Jacquet
partenaires Théâtre Paris-Villette, Théâtre de Belleville, Festival Mises en capsules, So Foot, Tatane
Biographie
Après une licence de cinéma et une formation au conservatoire du 10e arrondissement de Paris, Léa Girardet intègre l’École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théatre (ENSATT) en 2009. Elle se forme auprès de Christian Schiaretti, Alain Françon, Pierre Guillois et Arpad Schilling. En troisième année, elle dirige ses camarades de promotion dans une adaptation de Festen de Thomas Vinterberg puis s’essaye au seul en scène avec Charlotte Corday librement inspiré de textes se déroulant sous la révolution française. À sa sortie d’école, elle joue sous la direction de Lisa Wurmser, Sarah Blamont et Virginie Bienaimé. Elle participe au stage « Émergence » et joue dans le court métrage de Nicolas Maury Faire partir. En 2017, elle assiste Élisa Ruschke et joue dans la pièce La mère à boire présentée aux Subsistances à Lyon. L’année suivante, Léa fonde sa compagnie Le grand chelem et se lance dans l’écriture d’un seul en scène autour de la figure d’Aimé Jacquet Le syndrome du banc de touche. Le spectacle, mis en scène par Julie Bertin, d’abord présenté au Festival Mises en capsules, est créé au théâtre de Belleville en septembre 2018. En 2019, Léa joue dans le spectacle Les petites reines de Justine Heynemann et commence la tournée de son seul en scène en France et à l’étranger. Depuis, Léa travaille sur sa nouvelle pièce, en collaboration avec Julie Bertin : Libre arbitre, qui traite des tests de féminité dans le milieu sportif.
En 2011, Julie Bertin intègre le Conservatoire national supérieur d’Art dramatique et travaille, notamment, sous la direction de Dominique Valadié, Nada Strancar ou encore Georges Lavaudant. En 2012, elle met en scène une adaptation de L’Éveil du Printemps de Frank Wedekind. L’année suivante, c’est au côté de Jade Herbulot qu’elle crée Berliner Mauer : vestiges et leur compagnie Le Birgit Ensemble. Le spectacle est présenté au Théâtre Gérard Philipe (Centre dramatique national de Saint-Denis) et sera repris au Théâtre des Quartiers d’Ivry. Parallèlement, le TGP, invite la compagnie à créer Pour un Prélude au Théâtre de la Parenthèse à Avignon en juillet 2015. En 2017, elles co-mettent en scène un dyptique pour le festival d’Avignon : Memories of Sarajevo et Dans les ruines d’Athènes, qui sera repris en tournée (Théâtre des Quartiers d’Ivry, Grand T à Nantes, MC2: Grenoble – Maison de la Culture, etc.). En septembre 2018, Julie Bertin met en scène Léa Girardet dans Le syndrome du banc de touche au théâtre de Belleville. En janvier 2019, elle crée, en collaboration avec Jade Herbulot Les Oubliés (Alger-Paris) à la Comédie-Française. Leur nouvelle création avec la troupe du Birgit Ensemble, Roma(s) national, initialement prévue en février 2021, est reportée suite à la fermeture des théâtres. Avec l’Orchestre National de Jazz elle met en scène Dracula, un opéra jazz jeune public, composé par Frédéric Maurin et Grégoire Letouvet, en tournée depuis 2019.
La presse en parle
« L’énergie, l’humour, la rage et la tendresse sont au rendez-vous du Banc de touche de Léa Girardet. L’énergie, l’humour, la rage et la tendresse sont au rendez-vous du spectacle, mis en scène par Julie Bertin, du Birgit Ensemble, et qui montre que, oui, tout espoir n’est jamais perdu. Le sourire radieux et ému de la comédienne aux saluts en témoigne. »
Le Monde
« Voilà un seul en scène qui donne envie de transformer nos frustrations et échecs personnels en énergie positive et en matière créatrice. »
Le Point
« Léa Girardet a du cran, de la lucidité et l’intelligence de naviguer avec tact entre son narcissisme blessé et ce qui lui reste d’entrain. Ce spectacle court, où elle dit mine de rien beaucoup sur ce métier parfois ingrat qu’est celui de l’actrice, c’est le sien. Il est radieux comme une renaissance. »
Télérama, Joëlle Gayot, le 18 SEPT. 2018