IMANY
concert-spectacle
IMANY
Gladys Gambie / Thierry Thieû Niang • Jérémy Bargues
Avec Voodoo Cello, la chanteuse Imany jette un sort à huit violoncelles pour revisiter les tubes incontournables de l’histoire de la musique pop. De Radiohead à Cat Stevens, en passant par Donna Summer ou Bob Marley et sans aucun artifice, elle use de la magie combinée des cordes et de sa voix pour envoûter les spectateurs et éveiller leur conscience à la puissance du féminin. Un mariage d’amour sorcier !
Depuis dix ans, sa voix grave séduit le public français au rythme de compositions nourries de ses inspirations soul, folk et blues. Que ce soit avec ses singles Don’t be so shy et You will never know, ses deux albums ou la bande originale du film Sous les jupes des filles, Imany enchaîne les succès. Elle retrouve le plaisir de la scène pour marier son timbre de voix si singulier aux sonorités chaudes d’un ensemble de violoncelles. Une rencontre magique à ne pas manquer !
TARIF SPÉCIAL (32€ / 27€ / 25€ / 15€)
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
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TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
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TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - Biographie
un concert spectacle conçu par Imany
arrangements musicaux Imany
chorégraphie Gladys Gambie, Thierry Thieû Niang
création lumières Jérémy Bargues
création des tenues Olivier Rousteing – Maison Balmain
avec Imany et huit violoncellistes
Julien Grattard, Rodolphe Liskowitch, Lucie Cravero, Leonore Vedie, Laure Magnien, Bohdana Horecka, Polina Streltsova, Octavio Angarita
•
production Les Visiteurs du Soir
résidence de création au Théâtre des Sablons à Neuilly-sur-Seine
« J’ai toujours aimé chanter, j’ai longtemps pensé que ce n’était pas pour moi ! » Si Imany a trouvé sa voie sur le tard, la jeune fille née à Martigues et qui a grandi aux sons du hip-hop a depuis parcouru un bon bout de chemin, en prenant le temps de choisir le bon tempo.
De premières parties en concerts sous son nom, elle aura su peaufiner son style, avant de coucher un premier EP, puis un album dans la foulée.
Ce sera en 2011 The Shape Of A Broken Heart, un titre qui sonne comme le début d’une irrésistible ascension vers les sommets porté par un titre prémonitoire, You Will Never Know.
Plus de 500 000 disques écoulés, dont plus de la moitié en France, Imany a depuis tracé son sillon entre soul folk et blues rock.
Sans forcer elle a su imposer son style, une mélancolie rageuse, une voix incomparable, des textes aiguisés sur l’expérience d’une vie. Celle d’une jeune fille pour qui tout n’était pas joué d’avance. Voilà peut-être pourquoi elle s’est choisi comme surnom un mot que l’on peut traduire par « foi » en swahili. Sept ans et 600 concerts plus tard, son second album The Wrong Kind Of War resta fidèle au cap esthétique qu’elle s’était fixé : se jouer des frontières stylistiques. Le résultat fut un succès, qui l’installa définitivement au sommet. Plus de 400 000 albums vendus dans le monde, le disque certifié platine en France fut porté par le single Don’t be so shy, numéro un de l’airplay et hit le plus streamé dans plus de 15
pays, qui a finalement rejoint le Hall of Fame de Shazam !
Si cet album traduit toujours mieux des intentions d’embrasser le monde dans sa diversité d’horizons musicaux, les textes interpellent tout à la fois la nature de l’Homme et interrogent la femme qu’elle est.
« Être artiste, c’est un privilège, un privilège qui vient avec des responsabilités. »
Nul n’a oublié ses mots dits, lorsqu’Imany prit le micro entourée d’un chœur de gospel lors de la cérémonie des Victoires de la musique 2017. Les engagements civiques de l’artiste se révèlent non seulement à travers sa musique mais également via ses actions sur le terrain. Loin de se contenter de dénoncer, Imany choisit de mettre son nom au service de causes.
C’est ainsi qu’elle est notamment l’ambassadrice de l’association EndoMIND pour la lutte contre l’endométriose, une maladie qui frappe une femme sur dix en âge de procréer. « Ce n’est pas qu’une cause féministe, c’est une cause humaniste qui concerne nos mères, nos soeurs, nos femmes, nos collègues de travail, nos meilleurs amies à qui l’on nie le droit à une vie normale. ». L’égalité des droits n’est pas l’unique combat citoyen qu’elle mène. L’équité des chances, le devoir de solidarité envers les exclus, en est un autre pour celle qui n’oublie pas d’où elle vient. Les enjeux sont multiples, et le défi de l’écologie n’est pas le moindre pour celle qui a bien conscience que la Terre tourne de moins en moins rond. Invitée par Patti Smith, Imany
a ainsi participé à plusieurs concerts aux États-Unis, dans le cadre de Pathway to Paris, visant à mobiliser toutes les énergies contre le changement climatique. « Le déni dans lequel on vit risque de tous nous enterrer ! Il faut se lever, se battre, ne pas tout accepter, tête baissée. »
Distributions Crédits
un concert spectacle conçu par Imany
arrangements musicaux Imany
chorégraphie Gladys Gambie, Thierry Thieû Niang
création lumières Jérémy Bargues
création des tenues Olivier Rousteing – Maison Balmain
avec Imany et huit violoncellistes
Julien Grattard, Rodolphe Liskowitch, Lucie Cravero, Leonore Vedie, Laure Magnien, Bohdana Horecka, Polina Streltsova, Octavio Angarita
•
production Les Visiteurs du Soir
résidence de création au Théâtre des Sablons à Neuilly-sur-Seine
Biographie
« J’ai toujours aimé chanter, j’ai longtemps pensé que ce n’était pas pour moi ! » Si Imany a trouvé sa voie sur le tard, la jeune fille née à Martigues et qui a grandi aux sons du hip-hop a depuis parcouru un bon bout de chemin, en prenant le temps de choisir le bon tempo.
De premières parties en concerts sous son nom, elle aura su peaufiner son style, avant de coucher un premier EP, puis un album dans la foulée.
Ce sera en 2011 The Shape Of A Broken Heart, un titre qui sonne comme le début d’une irrésistible ascension vers les sommets porté par un titre prémonitoire, You Will Never Know.
Plus de 500 000 disques écoulés, dont plus de la moitié en France, Imany a depuis tracé son sillon entre soul folk et blues rock.
Sans forcer elle a su imposer son style, une mélancolie rageuse, une voix incomparable, des textes aiguisés sur l’expérience d’une vie. Celle d’une jeune fille pour qui tout n’était pas joué d’avance. Voilà peut-être pourquoi elle s’est choisi comme surnom un mot que l’on peut traduire par « foi » en swahili. Sept ans et 600 concerts plus tard, son second album The Wrong Kind Of War resta fidèle au cap esthétique qu’elle s’était fixé : se jouer des frontières stylistiques. Le résultat fut un succès, qui l’installa définitivement au sommet. Plus de 400 000 albums vendus dans le monde, le disque certifié platine en France fut porté par le single Don’t be so shy, numéro un de l’airplay et hit le plus streamé dans plus de 15
pays, qui a finalement rejoint le Hall of Fame de Shazam !
Si cet album traduit toujours mieux des intentions d’embrasser le monde dans sa diversité d’horizons musicaux, les textes interpellent tout à la fois la nature de l’Homme et interrogent la femme qu’elle est.
« Être artiste, c’est un privilège, un privilège qui vient avec des responsabilités. »
Nul n’a oublié ses mots dits, lorsqu’Imany prit le micro entourée d’un chœur de gospel lors de la cérémonie des Victoires de la musique 2017. Les engagements civiques de l’artiste se révèlent non seulement à travers sa musique mais également via ses actions sur le terrain. Loin de se contenter de dénoncer, Imany choisit de mettre son nom au service de causes.
C’est ainsi qu’elle est notamment l’ambassadrice de l’association EndoMIND pour la lutte contre l’endométriose, une maladie qui frappe une femme sur dix en âge de procréer. « Ce n’est pas qu’une cause féministe, c’est une cause humaniste qui concerne nos mères, nos soeurs, nos femmes, nos collègues de travail, nos meilleurs amies à qui l’on nie le droit à une vie normale. ». L’égalité des droits n’est pas l’unique combat citoyen qu’elle mène. L’équité des chances, le devoir de solidarité envers les exclus, en est un autre pour celle qui n’oublie pas d’où elle vient. Les enjeux sont multiples, et le défi de l’écologie n’est pas le moindre pour celle qui a bien conscience que la Terre tourne de moins en moins rond. Invitée par Patti Smith, Imany
a ainsi participé à plusieurs concerts aux États-Unis, dans le cadre de Pathway to Paris, visant à mobiliser toutes les énergies contre le changement climatique. « Le déni dans lequel on vit risque de tous nous enterrer ! Il faut se lever, se battre, ne pas tout accepter, tête baissée. »