Clara Ysé

Clara Ysé, c’est d’emblée une voix. Une voix magnétique qui soulève le sable, traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments. Son premier album, organique et sensuel, a marqué les esprits par son infinie délicatesse. Elle le défend sur scène avec une énergie redoutable et trouble autant par sa vulnérabilité que par sa puissante révolte intime.

Après un discret tour de piste en 2018 – six titres en français et espagnol dont le fascinant Le monde s’est dédoublé – Clara Ysé s’avance enfin en pleine lumière, à pleine puissance avec Oceano Nox, album à l’audace orgueilleuse entièrement écrit et composé par elle. De toute évidence, sa mère, la psychanalyste Anne Dufourmantelle, et son traité sur l’Éloge du risque, l’enveloppent profondément. Sur scène se déploie un univers poétique et flamboyant qui transcende les blessures et célèbre la joie !

VEN.13 DÉC. À 20H30
DURÉE 1H20
LIEUGRANDE SALLE

TARIF A

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
TS 36 29 29 25 18  €
A 29 24 24 14 10  €
B 23 18 18 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Téthys
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause
(10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €)
TBG Tarif Le Brise Glace
(23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €)

chant Clara Dufourmantelle aka Clara Ysé
batterie Philippe Boudot
saxophone Peter Corser
claviers Tony Tixier
guitare Ingrid Samitier

 

 

production Uni-T Production

C’est, d’emblée, une voix. Une voix qui soulève le sable, qui traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments et transporte avec elle la douleur autant que ses remèdes. Elle est ce « joyau intact sous le désastre » de Mallarmé, pierre brute inamovible malgré le chaos, miraculeux talisman resplendissant sur des musiques elles aussi serties de beauté et de bravoure. Après un discret tour de piste en 2018 – six titres en français et en espagnol, dont le magnétique Le Monde s’est dédoublé – Clara Ysé s’avance enfin en pleine lumière, à pleine puissance, avec Oceano Nox, premier album à l’audace orgueilleuse entièrement écrit et composé par elle, co-réalisé avec Ambroise Willaume (Sage) et porté en battante avec des musiciens et un chœur au diapason. Depuis l’enfance, elle joue et chante, assise derrière un piano quand elle savait à peine marcher, puis éduquée au chant lyrique à huit ans, avant de grandir en soprano et de tracer une route parallèle vers la chanson à ses études au conservatoire et à son master de philosophie. Parvenue à l’entrée de la trentaine, Clara Ysé possède ainsi derrière elle une longue traîne d’expériences et de sensations mêlées, de plaisirs sédentaires à mettre des poèmes en musique, mais aussi de voyages et de mariages artistiques et culturels qui imprègnent désormais son art incandescent et troublant. C’est, elle ne dissimule rien, une fille meurtrie par un drame intime qui a juré de renaître en amazone, au galop contre l’emprise du deuil, qu’elle sait chanter sans démonstration (Lettre à M.) et dont elle s’effeuille du poids avec la légèreté luminescente d’une luciole (La maison). Vous la pensez douce ? Écoutez ce qu’elle en dit dans la chanson trompeuse qui porte ce nom : « Si tu savais la haine qui coule dans mes veines, tu aurais peur, si tu savais la chienne que je cache à l’intérieur… » Passionnelle comme les aïeuls espagnols qui la précèdent dans son arbre généalogique, littéraire par atavisme (elle doit l’Ysé de son double prénom au Partage de Midi de Claudel), elle a publié un premier roman ardent, Mise à feu (2021), avant le grand embrasement de cet album qui démarre lui aussi tout feu tout flamme (Pyromanes). Longtemps, Clara Ysé a laissé la musique en liberté, sans chercher à la capturer dans un studio, préférant chanter dans des bars, ou organiser des fêtes qui terminaient invariablement en impros musicales et vocales jusqu’à l’aube. Les chœurs de Pyromanes ou de Souveraines viennent de là, voix d’hommes et de femmes qui l’accompagnent depuis toujours, et certains des musiciens – joueur de duduk, cuivres ivres ou violoncelle tisseur de songes – ont également vécu ces partages de minuit. Observer un père peintre, suivre la métamorphose de ses toiles qui partaient toujours du point le plus sombre pour mieux laisser jaillir la clarté, l’a aidé une fois qu’elle s’est mise à écrire des chansons en tentant d’adapter les mêmes évolutions chromatiques. Elle a aussi parcouru l’Amérique du sud, emprunté au réalisme magique de la littérature mexicaine ou colombienne ses ensorcellements (Magicienne, Le désert) et ses envolées oniriques, qu’elle a su parfaitement retranscrire en musique (Cœur indompté).

« Musique corsée, plume inspirée… Clara Ysé signe, enfin, son premier album, aussi beau que profond. »
Télérama, Odile de Plas, 16 SEPT.23

 

« Avec Oceano Nox, la chanteuse de 30 ans signe un premier album aux sonorités éclectiques dans lequel elle se penche sur ses traumatismes avec pudeur et sincérité.»
Libération, Jérémy Piette, 26 SEPT.23

 

« Dans Oceano Nox, premier album vibrant de mille feux, Clara Ysé, autrice-compositrice-interprète venue du lyrique, déploie un univers intime, poétique et flamboyant pour transcender ses blessures et célébrer la joie d’être en vie. »
L’Humanité, Ingrid Pohu, 22 SEPT.23

Distributions Crédits

chant Clara Dufourmantelle aka Clara Ysé
batterie Philippe Boudot
saxophone Peter Corser
claviers Tony Tixier
guitare Ingrid Samitier

 

 

production Uni-T Production

Biographie

C’est, d’emblée, une voix. Une voix qui soulève le sable, qui traverse le feu, transperce la nuit, franchit en souveraine des continents de sentiments et transporte avec elle la douleur autant que ses remèdes. Elle est ce « joyau intact sous le désastre » de Mallarmé, pierre brute inamovible malgré le chaos, miraculeux talisman resplendissant sur des musiques elles aussi serties de beauté et de bravoure. Après un discret tour de piste en 2018 – six titres en français et en espagnol, dont le magnétique Le Monde s’est dédoublé – Clara Ysé s’avance enfin en pleine lumière, à pleine puissance, avec Oceano Nox, premier album à l’audace orgueilleuse entièrement écrit et composé par elle, co-réalisé avec Ambroise Willaume (Sage) et porté en battante avec des musiciens et un chœur au diapason. Depuis l’enfance, elle joue et chante, assise derrière un piano quand elle savait à peine marcher, puis éduquée au chant lyrique à huit ans, avant de grandir en soprano et de tracer une route parallèle vers la chanson à ses études au conservatoire et à son master de philosophie. Parvenue à l’entrée de la trentaine, Clara Ysé possède ainsi derrière elle une longue traîne d’expériences et de sensations mêlées, de plaisirs sédentaires à mettre des poèmes en musique, mais aussi de voyages et de mariages artistiques et culturels qui imprègnent désormais son art incandescent et troublant. C’est, elle ne dissimule rien, une fille meurtrie par un drame intime qui a juré de renaître en amazone, au galop contre l’emprise du deuil, qu’elle sait chanter sans démonstration (Lettre à M.) et dont elle s’effeuille du poids avec la légèreté luminescente d’une luciole (La maison). Vous la pensez douce ? Écoutez ce qu’elle en dit dans la chanson trompeuse qui porte ce nom : « Si tu savais la haine qui coule dans mes veines, tu aurais peur, si tu savais la chienne que je cache à l’intérieur… » Passionnelle comme les aïeuls espagnols qui la précèdent dans son arbre généalogique, littéraire par atavisme (elle doit l’Ysé de son double prénom au Partage de Midi de Claudel), elle a publié un premier roman ardent, Mise à feu (2021), avant le grand embrasement de cet album qui démarre lui aussi tout feu tout flamme (Pyromanes). Longtemps, Clara Ysé a laissé la musique en liberté, sans chercher à la capturer dans un studio, préférant chanter dans des bars, ou organiser des fêtes qui terminaient invariablement en impros musicales et vocales jusqu’à l’aube. Les chœurs de Pyromanes ou de Souveraines viennent de là, voix d’hommes et de femmes qui l’accompagnent depuis toujours, et certains des musiciens – joueur de duduk, cuivres ivres ou violoncelle tisseur de songes – ont également vécu ces partages de minuit. Observer un père peintre, suivre la métamorphose de ses toiles qui partaient toujours du point le plus sombre pour mieux laisser jaillir la clarté, l’a aidé une fois qu’elle s’est mise à écrire des chansons en tentant d’adapter les mêmes évolutions chromatiques. Elle a aussi parcouru l’Amérique du sud, emprunté au réalisme magique de la littérature mexicaine ou colombienne ses ensorcellements (Magicienne, Le désert) et ses envolées oniriques, qu’elle a su parfaitement retranscrire en musique (Cœur indompté).

La presse en parle

« Musique corsée, plume inspirée… Clara Ysé signe, enfin, son premier album, aussi beau que profond. »
Télérama, Odile de Plas, 16 SEPT.23

 

« Avec Oceano Nox, la chanteuse de 30 ans signe un premier album aux sonorités éclectiques dans lequel elle se penche sur ses traumatismes avec pudeur et sincérité.»
Libération, Jérémy Piette, 26 SEPT.23

 

« Dans Oceano Nox, premier album vibrant de mille feux, Clara Ysé, autrice-compositrice-interprète venue du lyrique, déploie un univers intime, poétique et flamboyant pour transcender ses blessures et célébrer la joie d’être en vie. »
L’Humanité, Ingrid Pohu, 22 SEPT.23