D’après une histoire vraie

Sur un plateau presque nu, un homme entre dans la danse. Ils seront deux, trois, cinq… huit. Leur gestuelle est d’abord contenue, presque timide. Rejoints par deux musiciens à la batterie, ils se laissent peu à peu gagner par le folklore trépidant des danses du Bassin méditerranéen et l’épure brutale d’un rock radical. Pièce iconique du répertoire de Christian Rizzo, sauvage, pleine de grâce et d’élégance, D’après une histoire vraie n’avait encore jamais foulé les plateaux de Bonlieu… voilà qui est chose faite !

Fraternels, reliés les uns aux autres, ces hommes se donnent la main, se tiennent les épaules en d’infinies rondes et s’unissent dans un rythme frénétique. Ils célèbrent le plaisir archaïque d’être et de danser ensemble, fait de fragilité et de solidarité. Plus de dix ans après sa création, le spectacle happe toujours autant les spectateurs par sa fougue de diamant brut.

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MAR.12 NOV. 20H30
MER.13 NOV. 20H30
DURÉE 1H
LIEUGRANDE SALLE

TARIF A

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TS 36 29 29 25 18  €
A 29 24 24 14 10  €
B 23 18 18 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Téthys
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause
(10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €)
TBG Tarif Le Brise Glace
(23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €)

conception, chorégraphie, scénographie et costumes Christian Rizzo
avec Youness Aboulakoul, Fabien Almakiewicz, Yaïr Barelli, Nicolas Fayol, Pep Garrigues, Kerem Gelebek, Filipe Lourenço, Roberto Martínez
interprète lors de la création Miguel Garcia Llorens
musique originale Didier Ambact & King Q4
création lumière Caty Olive
arrangements sonores
Vanessa Court
assistante artistique
Sophie Laly
régie générale
Jérôme Masson
régie lumière
Romain Portolan
régie son
Delphine Foussat
directrice de production et de diffusion
Anne Fontanesi
administratrice de production et de diffusion
Anne Bautz

 

 

production ICI — centre chorégraphique national Montpellier – Occitanie / Pyrénées-Méditerranée / Direction Christian Rizzo
avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy, LE CENTQUATRE-PARIS
soutien Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
avec le soutien du CN D Centre national de la danse, accueil en résidence et La Bulle Bleue E.S.A.T Artistique, Montpellier

Didier Ambact joue sur Williams Drumheads

Christian Rizzo fait ses débuts artistiques à Toulouse où il monte un groupe de rock et crée une marque de vêtements, avant de se former aux arts plastiques à la villa Arson à Nice et de bifurquer vers la danse de façon inattendue. Dans les années 1990, il est interprète en Europe auprès de nombreux chorégraphes contemporains, signant aussi parfois les bandes sons ou la création des costumes. En 1996, il fonde l’association fragile et crée des performances, des installations, des pièces solos ou de groupes en alternance avec d’autres commandes pour l’opéra, la mode et les arts plastiques. Depuis, plus d’une quarantaine de productions ont vu le jour, sans compter les activités pédagogiques. Christian Rizzo intervient régulièrement dans des écoles d’art en France et à l’étranger, ainsi que dans des structures dédiées à la danse contemporaine. Au 1er janvier 2015, Christian Rizzo prend la direction du Centre chorégraphique national de Montpellier – Occitanie. Désormais renommé ICI (Institut Chorégraphique International), le CCN propose une vision transversale de la création, de la formation, de l’éducation artistique et de l’ouverture aux publics. Prenant support sur les pratiques et les territoires, le projet ICI—CCN est avant tout un espace prospectif qui englobe en un seul mouvement, l’invitation d’artistes, l’écriture du geste chorégraphique et les manifestations de son partage. En chorégraphe, plasticien ou curateur, Christian Rizzo poursuit sans relâche l’élasticité et la mise en tension entre les corps et l’espace dans des récits où la fiction émerge de l’abstraction.

« Cette pièce clé du répertoire contemporain a entraîné dans son sillage une déferlante de créations lorgnant comme elle vers la transe et l’exhumation de gestes anciens, transmis de génération en génération loin des classes instituées. Alors que le Proche-Orient s’embrase et que l’Amérique fête le règne du virilisme, cette pièce entièrement masculine, sur le rêve de confraternité, résonne bruyamment avec l’actualité.»
Libération, Ève Beauvallet, 8 NOV.24

 

« Dix ans après sa création, Christian Rizzo reprend d’après une histoire vraie, partition emblématique palpitante à la croisée du corps et de la mémoire. »
La Terrasse, Agnès Izrine, 22 OCT.24

 

« Sans doute le best-seller de Christian Rizzo. Depuis sa création en 2013, au Festival d’Avignon, D’après une histoire vraie n’arrête pas de tourner et de remporter un succès partout où le spectacle passe. […] Roulements de bassin, ondulations du dos ; une main entoure une épaule ; une ronde se crée ; une guirlande se glisse. Avec d’après une histoire vraie, le chorégraphe plonge aux racines d’un geste viscéral et commun à tous, comme inscrit dans les gènes. »
Télérama, Rosita Boisseau , 21 NOV.17

 

« Quant à la danse elle-même, elle est judicieuse, faite de pas, de sauts, de jubilations. Les hommes ici se donnent la main de multiples façons, se prennent par l’épaule, s’observent, mais ne se toisent jamais. Les lignes, les ponts, les solos aussi, chers aux danses traditionnelles, sont mis en relief. […] On est conquis. »
Libération, Marie-Christine Vernay, 10 JUIL.13

 

« À coups de bras qui entourent une épaule, de rondes vite faites aussitôt défaites, de guirlandes la main dans la main, de pas de bourrée à droite et de ruades à gauche, les huit danseurs – rien que des hommes – nous entraînent dans ce qui finit par ressembler à une rave rock néo-tradi. Et lorsque les deux batteurs déchargent des rafales de percussions qui prennent les tripes et les retournent sec, l’affaire est dans le sac. […] C’est la jouissance d’être en vie, celle d’être ensemble momentanément, l’excitation viscérale de la danse, qui priment et l’emportent. »
Le Monde, Rosita Boisseau, 10 JUIL.13

Distributions Crédits

conception, chorégraphie, scénographie et costumes Christian Rizzo
avec Youness Aboulakoul, Fabien Almakiewicz, Yaïr Barelli, Nicolas Fayol, Pep Garrigues, Kerem Gelebek, Filipe Lourenço, Roberto Martínez
interprète lors de la création Miguel Garcia Llorens
musique originale Didier Ambact & King Q4
création lumière Caty Olive
arrangements sonores
Vanessa Court
assistante artistique
Sophie Laly
régie générale
Jérôme Masson
régie lumière
Romain Portolan
régie son
Delphine Foussat
directrice de production et de diffusion
Anne Fontanesi
administratrice de production et de diffusion
Anne Bautz

 

 

production ICI — centre chorégraphique national Montpellier – Occitanie / Pyrénées-Méditerranée / Direction Christian Rizzo
avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy, LE CENTQUATRE-PARIS
soutien Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
avec le soutien du CN D Centre national de la danse, accueil en résidence et La Bulle Bleue E.S.A.T Artistique, Montpellier

Didier Ambact joue sur Williams Drumheads

Biographie

Christian Rizzo fait ses débuts artistiques à Toulouse où il monte un groupe de rock et crée une marque de vêtements, avant de se former aux arts plastiques à la villa Arson à Nice et de bifurquer vers la danse de façon inattendue. Dans les années 1990, il est interprète en Europe auprès de nombreux chorégraphes contemporains, signant aussi parfois les bandes sons ou la création des costumes. En 1996, il fonde l’association fragile et crée des performances, des installations, des pièces solos ou de groupes en alternance avec d’autres commandes pour l’opéra, la mode et les arts plastiques. Depuis, plus d’une quarantaine de productions ont vu le jour, sans compter les activités pédagogiques. Christian Rizzo intervient régulièrement dans des écoles d’art en France et à l’étranger, ainsi que dans des structures dédiées à la danse contemporaine. Au 1er janvier 2015, Christian Rizzo prend la direction du Centre chorégraphique national de Montpellier – Occitanie. Désormais renommé ICI (Institut Chorégraphique International), le CCN propose une vision transversale de la création, de la formation, de l’éducation artistique et de l’ouverture aux publics. Prenant support sur les pratiques et les territoires, le projet ICI—CCN est avant tout un espace prospectif qui englobe en un seul mouvement, l’invitation d’artistes, l’écriture du geste chorégraphique et les manifestations de son partage. En chorégraphe, plasticien ou curateur, Christian Rizzo poursuit sans relâche l’élasticité et la mise en tension entre les corps et l’espace dans des récits où la fiction émerge de l’abstraction.

La presse en parle

« Cette pièce clé du répertoire contemporain a entraîné dans son sillage une déferlante de créations lorgnant comme elle vers la transe et l’exhumation de gestes anciens, transmis de génération en génération loin des classes instituées. Alors que le Proche-Orient s’embrase et que l’Amérique fête le règne du virilisme, cette pièce entièrement masculine, sur le rêve de confraternité, résonne bruyamment avec l’actualité.»
Libération, Ève Beauvallet, 8 NOV.24

 

« Dix ans après sa création, Christian Rizzo reprend d’après une histoire vraie, partition emblématique palpitante à la croisée du corps et de la mémoire. »
La Terrasse, Agnès Izrine, 22 OCT.24

 

« Sans doute le best-seller de Christian Rizzo. Depuis sa création en 2013, au Festival d’Avignon, D’après une histoire vraie n’arrête pas de tourner et de remporter un succès partout où le spectacle passe. […] Roulements de bassin, ondulations du dos ; une main entoure une épaule ; une ronde se crée ; une guirlande se glisse. Avec d’après une histoire vraie, le chorégraphe plonge aux racines d’un geste viscéral et commun à tous, comme inscrit dans les gènes. »
Télérama, Rosita Boisseau , 21 NOV.17

 

« Quant à la danse elle-même, elle est judicieuse, faite de pas, de sauts, de jubilations. Les hommes ici se donnent la main de multiples façons, se prennent par l’épaule, s’observent, mais ne se toisent jamais. Les lignes, les ponts, les solos aussi, chers aux danses traditionnelles, sont mis en relief. […] On est conquis. »
Libération, Marie-Christine Vernay, 10 JUIL.13

 

« À coups de bras qui entourent une épaule, de rondes vite faites aussitôt défaites, de guirlandes la main dans la main, de pas de bourrée à droite et de ruades à gauche, les huit danseurs – rien que des hommes – nous entraînent dans ce qui finit par ressembler à une rave rock néo-tradi. Et lorsque les deux batteurs déchargent des rafales de percussions qui prennent les tripes et les retournent sec, l’affaire est dans le sac. […] C’est la jouissance d’être en vie, celle d’être ensemble momentanément, l’excitation viscérale de la danse, qui priment et l’emportent. »
Le Monde, Rosita Boisseau, 10 JUIL.13