Kyle Eastwood
CONCERT-SPECTACLE
Les bandes originales des plus grands films de Clint Eastwood revisitées par son fils Kyle et son éblouissant quintet de jazz ! Hommage mélodieux agrémenté d’un affectueux face-à-face vidéo, ce road-movie musical révèle leur complicité artistique.
Avec une dizaine d’albums à son crédit, Kyle Eastwood a construit une carrière internationale de contrebassiste de jazz, tout en composant la musique de certains films de son père comme Mystic River, Million Dollar Baby ou Gran Torino, excusez du peu ! Avec ses talentueux complices, il s’amuse à reprendre ses thèmes ainsi que ceux d’autres films de Clint Eastwood que l’on doit à Ennio Morricone ou John Williams. De Sur la route de Madison à Le Bon, la Brute et le Truand, les musiciens nous entraînent dans un tourbillon d’émotions dont le cinéma a le secret.
TARIF SPÉCIAL
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
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TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
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TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
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TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
contrebasse et basse Kyle Eastwood
piano Andrew McCormak
batterie Chris Higginbottom
trompette et bugle Quentin Collins
saxophone Brandon Allen
•
production V.O Music
Prodigue inventif d’un jeu élégant et raffiné au son chaud et profond, allant droit à l’essentiel, Kyle Eastwood explore inlassablement les possibilités de la basse, magique instrument à la fois mélodique et rythmique. Il n’a cessé de repousser toujours plus loin les frontières de son univers personnel en déclinant avec beaucoup d’élégance et de savoir-faire toute l’étendue de ses goûts musicaux au fil d’albums aussi éclectiques que raffinés flirtant tour à tour avec l’électro-jazz cool et sophistiqué, le smooth jazz aux accents « seventies » et résolument groovy, voire le manifeste chic et urbain, subtilement métissé. C’est fort de cette exploration amoureuse et érudite des multiples tendances de la pop music mondialisée la plus contemporaine, que le contrebassiste semble avoir entrepris depuis quelque temps de faire retour tant dans la forme que dans l’esprit à un jazz plus direct, lyrique et mélodique — en quête d’une relation à « la tradition » à la fois réaffirmée et renouvelée. Son dernier album Eastwood Symphonic vient incontestablement s’inscrire comme une borne essentielle dans sa discographie en s’affirmant comme une sorte d’aboutissement de ce vaste mouvement introspectif à la fois personnel et esthétique entrepris par le contrebassiste aux fondements même de sa vocation de musicien. Eastwood Symphonic est un puissant hommage à son père dont le répertoire est composé de musiques de films iconiques de Clint Eastwood réarrangées pour orchestre symphonique.
« Cette œuvre aboutie dessine tous les visages de l’Amérique du grand Clint. »
Ouest France, Yvan Duvivier, 3 SEPT.23
« Une association de cet excellent quintette jazz – tant dans les parties d’ensemble que solistes – et du symphonique, équilibre réussi de l’épique et de l’intime. »
Le Monde, Sylvain Siclier, 4 SEPT.23
Distributions Crédits
contrebasse et basse Kyle Eastwood
piano Andrew McCormak
batterie Chris Higginbottom
trompette et bugle Quentin Collins
saxophone Brandon Allen
•
production V.O Music
Biographie
Prodigue inventif d’un jeu élégant et raffiné au son chaud et profond, allant droit à l’essentiel, Kyle Eastwood explore inlassablement les possibilités de la basse, magique instrument à la fois mélodique et rythmique. Il n’a cessé de repousser toujours plus loin les frontières de son univers personnel en déclinant avec beaucoup d’élégance et de savoir-faire toute l’étendue de ses goûts musicaux au fil d’albums aussi éclectiques que raffinés flirtant tour à tour avec l’électro-jazz cool et sophistiqué, le smooth jazz aux accents « seventies » et résolument groovy, voire le manifeste chic et urbain, subtilement métissé. C’est fort de cette exploration amoureuse et érudite des multiples tendances de la pop music mondialisée la plus contemporaine, que le contrebassiste semble avoir entrepris depuis quelque temps de faire retour tant dans la forme que dans l’esprit à un jazz plus direct, lyrique et mélodique — en quête d’une relation à « la tradition » à la fois réaffirmée et renouvelée. Son dernier album Eastwood Symphonic vient incontestablement s’inscrire comme une borne essentielle dans sa discographie en s’affirmant comme une sorte d’aboutissement de ce vaste mouvement introspectif à la fois personnel et esthétique entrepris par le contrebassiste aux fondements même de sa vocation de musicien. Eastwood Symphonic est un puissant hommage à son père dont le répertoire est composé de musiques de films iconiques de Clint Eastwood réarrangées pour orchestre symphonique.
La presse en parle
« Cette œuvre aboutie dessine tous les visages de l’Amérique du grand Clint. »
Ouest France, Yvan Duvivier, 3 SEPT.23
« Une association de cet excellent quintette jazz – tant dans les parties d’ensemble que solistes – et du symphonique, équilibre réussi de l’épique et de l’intime. »
Le Monde, Sylvain Siclier, 4 SEPT.23