CROWD
danse / performance
Gisèle Vienne
Place à la jeunesse et à la fête ! Quinze danseurs mettent leurs pas dans une techno party endiablée, décortiquée par Gisèle Vienne, chorégraphe au sommet de sa reconnaissance dans le milieu de la danse contemporaine. Interprétée à des rythmes très variés, tantôt rapides tantôt très lents, Crowd est une pièce hypnotique d’une liberté totale. Une exploration du rapport au corps, de l’érotisme et de la sexualité au sein d’un groupe social.
Sur un sol de terre jonché de gobelets en plastique écrasés, une fête se poursuit. Les corps vêtus de tee-shirts, sweats, jeans se frôlent, s’enlacent, se repoussent au rythme de la musique techno de Detroit ; les mouvements sont saccadés, décalés ou exécutés au ralenti, tels des fragments d’un montage vidéo. La chorégraphe franco-autrichienne invente, avec son acolyte dramaturge Dennis Cooper, un véritable langage urbain sans mots : celui de la jeunesse et du rapport universel au désir et à la violence. Depuis 1999, Gisèle Vienne, formée à l’art des marionnettes, explore jusqu’au tréfonds les affres humaines.Hallucinatoire, Crowd est d’une intensité à fleur de peau !
ET AUSSI, À NOTER DANS VOTRE AGENDA :
En avant-propos au spectacle Crowd, projection du film Le suspens (2019, 30 min), portrait chorégraphique de Gisèle Vienne, issu de la collection Portraits du CN D.
Projections à 19H les deux soirs des représentations MAR. 24 et MER. 25 MARS dans l’Espace 60 (accès forum Bonlieu), en partenariat avec le CN D Lyon
> entrée libre (dans la limite des places disponibles)
TARIF A
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
|||||
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
|||||
TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
Pour Kerstin
conception, chorégraphie et scénographie Gisèle Vienne
assistée de Anja Röttgerkamp et Nuria Guiu Sagarra
avec Philip Berlin, Marine Chesnais, Sylvain Decloitre, Sophie Demeyer, Vincent Dupuy, Massimo Fusco, Rehin Hollant, Oskar Landström, Theo Livesey, Louise Perming, Katia Petrowick, Jonathan Schatz, Henrietta Wallberg et Tyra Wigg (en alternance avec Lucas Bassereau, Nuria Guiu Sagarra, Georges Labbat et Linn Ragnarsson)
lumière Patrick Riou
dramaturgie Gisèle Vienne et Dennis Cooper
musique Underground Resistance, KTL, Vapour Space, DJ Rolando, Drexciya, The Martian, Choice, Jeff Mills, Peter Rehberg, Manuel Göttsching, Sun Electric et Global Communication
montage et sélection des musiques Peter Rehberg
conception de la diffusion du son Stephen O’Malley
costumes Gisèle Vienne en collaboration avec Camille Queval et les interprètes
ingénieur son Adrien Michel et Mareike Trillhaas
régie générale Richard Pierre
régie plateau Antoine Hordé
régie lumière Arnaud Lavisse et Samuel Dosière
remerciements à Louise Bentkowski, Dominique Brun, Patric Chiha, Zac Farley, Uta Gebert, Margret Sara Guðjónsdóttir, Isabelle Piechaczyk, Arco Renz, Jean-Paul Vienne et Dorothéa Vienne-Pollak
crédits détaillés de la musique dans l’ordre de diffusion
Underground Resistance The Illuminator (Underground Resistance, 1995)
KTL Lampshade (exclusive, 2017)
Vapour Space Gravitational Arch Of 10 (Plus 8, 1993)
DJ Rolando Vibrations mix (Underground Resistance, 2002)
– Underground Resistance Sweat Electric (Somewhere In Detroit, 1994)
– Underground Resistance Twista (Underground Resistance, 1993)
– Drexciya Wavejumper (Underground Resistance, 1995)
– The Martian The Intruder (Red Planet, 1992)
– Underground Resistance Code Red (Underground Resistance, 1993)
– Underground Resistance Lunar Rhythms (Somewhere In Detroit, 1995)
– Underground Resistance Hi-Tech Funk (Underground Resistance, 1997)
Choice Acid Eiffel (Fragile Records, 1992)
Jeff Mills Phase 4 (Tresor/Axis, 1992)
Peter Rehberg Furgen Matrix/Telegene (exclusive, 2017)
Manuel Göttsching E2-E4 (Inteam, 1984)
Sun Electric Sarotti (R&S Records, 1993)
Global Communication 14 31 (Ob-selon Mi-Nos) (Evolution, 1994)
•
production, diffusion Alma Office : Anne-Lise Gobin, Alix Sarrade, Camille Queval & Andrea Kerr
administration Etienne Hunsinger, Giovanna Rua
production déléguée DACM
coproduction Nanterre-Amandiers Centre dramatique national, Maillon Théâtre de Strasbourg – Scène européenne, Wiener Festwochen, Manège Scène nationale – Reims, Théâtre national de Bretagne, Centre dramatique national Orléans/Loiret/Centre, La Filature Scène nationale Mulhouse, BIT Teatergarasjen Bergen
avec le soutien du CCN2 – Centre chorégraphique national de Grenoble et du CND Centre national de la danse
La Compagnie Gisèle Vienne est conventionnée par le Ministère de la culture
et de la communication – DRAC Grand Est, la Région Grand Est et la Ville de
Strasbourg.
La compagnie reçoit le soutien régulier de l’Institut Français pour ses tournées à l’étranger.
Gisèle Vienne est artiste associée à Nanterre-Amandiers, centre dramatique
national et au Théâtre National de Bretagne
Née, en 1976, Gisèle Vienne est une artiste, chorégraphe et metteure en scène franco-autrichienne. Après des études de philosophie et de musique, elle se forme à l’École supérieure nationale des arts de la marionnette. Elle travaille depuis régulièrement avec, entre autres collaborateurs, l’écrivain Dennis Cooper.
Depuis 20 ans, ses mises en scènes et chorégraphies tournent en Europe et sont présentées régulièrement en Asie et en Amérique, parmi lesquelles I Apologize (2004), Kindertotenlieder (2007), Jerk (2008) This is how you will disappear (2010), LAST SPRING : A Prequel (2011), The Ventriloquists Convention (2015) et Crowd (2017).
En 2020 elle crée avec Etienne Bideau-Rey une quatrième version de Showroomdummies au Rohm Theater Kyoto, pièce initialement créée en 2001.
Gisèle Vienne expose régulièrement ses photographies dans des musées dont le Whitney Museum de New York, le Centre Pompidou, au Museo Nacional de Bellas Artes de Buenos Aires. Elle a publié deux livres Jerk / Through Their Tears en collaboration avec Dennis Cooper, Peter Rehberg et Jonathan Capdevielle en 2011 et un livre 40 Portraits 2003-2008, en collaboration avec Dennis Cooper et Pierre Dourthe en février 2012. Son travail a fait l’objet de plusieurs publications et les musiques originales de ses pièces de plusieurs albums.
Son dernier spectacle L’Étang, d’après le texte de Robert Walser Der Teich, a été créé en résidence au TNB à Rennes en novembre 2020.
« La gestuelle utilise, en grande partie, des techniques cinématographiques ou vidéo : ralentis, gros plans, mouvements retouchés, et même repris à l’envers. Mais cette grammaire ordinaire de l’image, devient, en danse, une performance inouïe. Sous les éclairages extraordinairement travaillés de Patrick Riou, qui joue de clairs-obscurs isolant chaque silhouette, à des effets de pénombres floutants, les jeunes danseurs incarnent un personnage par une précision dans l’expression comme dans le geste. Chacun d’entre eux est travaillé, ciselé pourrait-on presque dire, par le sous-texte de Dennis Cooper et les opérations que Gisèle Vienne imprime à la gestuelle. »
Danser canal historique, 12 DÉC. 17
« Dans cette nouvelle création, la chorégraphe reconstitue une rave party improvisée où le mouvement des danseurs exposés en pleine lumière laisse bientôt entrevoir une réalité sous-jacente nettement plus complexe dominée par des pulsions mêlant jubilation des corps et sentiment menaçant d’une violence latente. Un spectacle d’une intensité et d’une force plastique éblouissantes. »
Culturebox, Hugues Le Tanneur, 15 DÉC. 17
Distributions Crédits
Pour Kerstin
conception, chorégraphie et scénographie Gisèle Vienne
assistée de Anja Röttgerkamp et Nuria Guiu Sagarra
avec Philip Berlin, Marine Chesnais, Sylvain Decloitre, Sophie Demeyer, Vincent Dupuy, Massimo Fusco, Rehin Hollant, Oskar Landström, Theo Livesey, Louise Perming, Katia Petrowick, Jonathan Schatz, Henrietta Wallberg et Tyra Wigg (en alternance avec Lucas Bassereau, Nuria Guiu Sagarra, Georges Labbat et Linn Ragnarsson)
lumière Patrick Riou
dramaturgie Gisèle Vienne et Dennis Cooper
musique Underground Resistance, KTL, Vapour Space, DJ Rolando, Drexciya, The Martian, Choice, Jeff Mills, Peter Rehberg, Manuel Göttsching, Sun Electric et Global Communication
montage et sélection des musiques Peter Rehberg
conception de la diffusion du son Stephen O’Malley
costumes Gisèle Vienne en collaboration avec Camille Queval et les interprètes
ingénieur son Adrien Michel et Mareike Trillhaas
régie générale Richard Pierre
régie plateau Antoine Hordé
régie lumière Arnaud Lavisse et Samuel Dosière
remerciements à Louise Bentkowski, Dominique Brun, Patric Chiha, Zac Farley, Uta Gebert, Margret Sara Guðjónsdóttir, Isabelle Piechaczyk, Arco Renz, Jean-Paul Vienne et Dorothéa Vienne-Pollak
crédits détaillés de la musique dans l’ordre de diffusion
Underground Resistance The Illuminator (Underground Resistance, 1995)
KTL Lampshade (exclusive, 2017)
Vapour Space Gravitational Arch Of 10 (Plus 8, 1993)
DJ Rolando Vibrations mix (Underground Resistance, 2002)
– Underground Resistance Sweat Electric (Somewhere In Detroit, 1994)
– Underground Resistance Twista (Underground Resistance, 1993)
– Drexciya Wavejumper (Underground Resistance, 1995)
– The Martian The Intruder (Red Planet, 1992)
– Underground Resistance Code Red (Underground Resistance, 1993)
– Underground Resistance Lunar Rhythms (Somewhere In Detroit, 1995)
– Underground Resistance Hi-Tech Funk (Underground Resistance, 1997)
Choice Acid Eiffel (Fragile Records, 1992)
Jeff Mills Phase 4 (Tresor/Axis, 1992)
Peter Rehberg Furgen Matrix/Telegene (exclusive, 2017)
Manuel Göttsching E2-E4 (Inteam, 1984)
Sun Electric Sarotti (R&S Records, 1993)
Global Communication 14 31 (Ob-selon Mi-Nos) (Evolution, 1994)
•
production, diffusion Alma Office : Anne-Lise Gobin, Alix Sarrade, Camille Queval & Andrea Kerr
administration Etienne Hunsinger, Giovanna Rua
production déléguée DACM
coproduction Nanterre-Amandiers Centre dramatique national, Maillon Théâtre de Strasbourg – Scène européenne, Wiener Festwochen, Manège Scène nationale – Reims, Théâtre national de Bretagne, Centre dramatique national Orléans/Loiret/Centre, La Filature Scène nationale Mulhouse, BIT Teatergarasjen Bergen
avec le soutien du CCN2 – Centre chorégraphique national de Grenoble et du CND Centre national de la danse
La Compagnie Gisèle Vienne est conventionnée par le Ministère de la culture
et de la communication – DRAC Grand Est, la Région Grand Est et la Ville de
Strasbourg.
La compagnie reçoit le soutien régulier de l’Institut Français pour ses tournées à l’étranger.
Gisèle Vienne est artiste associée à Nanterre-Amandiers, centre dramatique
national et au Théâtre National de Bretagne
Biographie
Née, en 1976, Gisèle Vienne est une artiste, chorégraphe et metteure en scène franco-autrichienne. Après des études de philosophie et de musique, elle se forme à l’École supérieure nationale des arts de la marionnette. Elle travaille depuis régulièrement avec, entre autres collaborateurs, l’écrivain Dennis Cooper.
Depuis 20 ans, ses mises en scènes et chorégraphies tournent en Europe et sont présentées régulièrement en Asie et en Amérique, parmi lesquelles I Apologize (2004), Kindertotenlieder (2007), Jerk (2008) This is how you will disappear (2010), LAST SPRING : A Prequel (2011), The Ventriloquists Convention (2015) et Crowd (2017).
En 2020 elle crée avec Etienne Bideau-Rey une quatrième version de Showroomdummies au Rohm Theater Kyoto, pièce initialement créée en 2001.
Gisèle Vienne expose régulièrement ses photographies dans des musées dont le Whitney Museum de New York, le Centre Pompidou, au Museo Nacional de Bellas Artes de Buenos Aires. Elle a publié deux livres Jerk / Through Their Tears en collaboration avec Dennis Cooper, Peter Rehberg et Jonathan Capdevielle en 2011 et un livre 40 Portraits 2003-2008, en collaboration avec Dennis Cooper et Pierre Dourthe en février 2012. Son travail a fait l’objet de plusieurs publications et les musiques originales de ses pièces de plusieurs albums.
Son dernier spectacle L’Étang, d’après le texte de Robert Walser Der Teich, a été créé en résidence au TNB à Rennes en novembre 2020.
La presse en parle
« La gestuelle utilise, en grande partie, des techniques cinématographiques ou vidéo : ralentis, gros plans, mouvements retouchés, et même repris à l’envers. Mais cette grammaire ordinaire de l’image, devient, en danse, une performance inouïe. Sous les éclairages extraordinairement travaillés de Patrick Riou, qui joue de clairs-obscurs isolant chaque silhouette, à des effets de pénombres floutants, les jeunes danseurs incarnent un personnage par une précision dans l’expression comme dans le geste. Chacun d’entre eux est travaillé, ciselé pourrait-on presque dire, par le sous-texte de Dennis Cooper et les opérations que Gisèle Vienne imprime à la gestuelle. »
Danser canal historique, 12 DÉC. 17
« Dans cette nouvelle création, la chorégraphe reconstitue une rave party improvisée où le mouvement des danseurs exposés en pleine lumière laisse bientôt entrevoir une réalité sous-jacente nettement plus complexe dominée par des pulsions mêlant jubilation des corps et sentiment menaçant d’une violence latente. Un spectacle d’une intensité et d’une force plastique éblouissantes. »
Culturebox, Hugues Le Tanneur, 15 DÉC. 17