FOLIA
danse / musique live / chant
Mourad Merzouki
La fièvre des grands soirs ! C’est la promesse de Folia, spectacle virtuose et jubilatoire qui électrise les salles de théâtre depuis sa création en 2018 ! Mourad Merzouki explore les rythmes populaires des tarentelles italiennes et nous emporte dans ses volutes baroques, superbe écrin d’un hip-hop sans cesse réinventé. Six musiciens, une chanteuse soprano et douze danseurs survoltés nous convient à une célébration envoûtante du rythme et de la fraternité. Comme à chaque fois, Mourad Merzouki nous prend par la main et nous embarque ailleurs… un conte à rêver debout !
Cérémonie ininterrompue, improbables noces du hip-hop et des tarentelles baroques, alliance entrelacée de la musique et de la danse, elle se déploie à l’infini, rebondissant sur elle-même, surprenante, hypnotique. La voix cristalline de la soprano Heather Newhouse enchante les danseurs, que les musiciens, parfois, endiablent. Au milieu d’une constellation de sphères en mouvement, cœur de la fable dansée, qu’en est-il de la petite Terre ? Mourad Merzouki jette les corps dans les remous d’un monde qui s’effondre. Savant alchimiste, toujours au croisement des arts, il offre une Folia dont on souhaiterait qu’elle ne s’arrête jamais… une véritable fusion miraculeuse !
TARIF A+
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
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TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
|||||
TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
direction artistique et chorégraphie Mourad Merzouki
assisté de Marjorie Hannoteaux
conception musicale Franck-Emmanuel Comte – Le Concert de l’Hostel Dieu et Grégoire Durrande
scénographie Benjamin Lebreton assisté de Quentin Lugnier et Caroline Oriot (peinture), Mathieu Laville, Elvis Dagier et Rémi Mangevaud (serrurerie), Guillaume Ponroy (menuiserie)
lumière Yoann Tivoli
costumes musiciens Pascale Robin assistée de Pauline Yaoua Zurini
costumes danseurs Nadine Chabannier
avec Habid Bardou, Nedeleg Bardouil, Salena Baudoux (en alternance avec Lisa Ingrand), Franck Caporale, Mathilde Devoghel, Sofian Kaddaoui, Mélanie Lomoff, Joël Luzolo, Mathilde Rispal, Yui Sugano, Aurélien Vaudey, Titouan Wiener
et les musiciens Franck-Emmanuel Comte (en alternance avec Gwenaël Dubois), Reynier Guerrero Alvarez (en alternance avec André Costa), Nicolas Janot (en alternance avec Vincent Girard), Aude Walker-Viry (en alternance avec Clara Fellman), Nicolas Muzy (en alternance avec Clément Latour et Ulrik Larsen), Heather Newhouse (soprano / en alternance avec Anara Khassenova), Florian Verhaegen (en alternance avec Nicolas Sansarlat)
•
coproduction Pôle en Scènes, Encore un Tour, Les Nuits de Fourvière, Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne / Cie Käfig, Lling Music
avec le soutien de La Caisse des Dépôts
représentation en audiodescription
et visite tactile du décor
MER.12 OCT.
en collaboration avec l’association Accès Culture.
Le chorégraphe Mourad Merzouki, figure du mouvement hip-hop depuis le début des années 1990, inscrit son travail au carrefour de multiples disciplines. Autour de la danse hip-hop explorée dans tous ses styles, se greffent le cirque, les arts martiaux, les arts plastiques, la vidéo et la musique live. Sans perdre de vue les racines du mouvement, ses origines sociales et géographiques, cette confrontation permet d’ouvrir de nouveaux horizons à la danse et dégage des points de vue inédits.
Sa formation s’enracine, dès l’âge de 7 ans, dans la pratique des arts martiaux et des arts du cirque à Saint-Priest, dans l’est lyonnais. À quinze ans, sa rencontre avec la culture hip-hop l’emmène vers le monde de la danse.
Il s’attaque à la chorégraphie et crée ainsi sa première compagnie Accrorap en 1989, avec Kader Attou, Éric Mezino et Chaouki Saïd. Mourad Merzouki développe cette gestuelle née dans la rue tout en se confrontant à d’autres langages chorégraphiques auprès notamment de Maryse Delente, Jean-Fran-çois Duroure et Josef Nadj.
En 1994, la compagnie présente Athina lors de la Biennale de la Danse de Lyon, un véritable succès qui réussit à transposer la danse hip-hop de la rue à la scène. Les premières représentations internationales de la compagnie les mènent vers des terrains inexplorés, comme un camp de réfugiés en Croatie ; Mourad Merzouki y fait l’expérience de la danse comme puissant vecteur de communication.
Pour développer son propre univers artistique lié à son histoire et à sa sensibilité, Mourad Merzouki décide de fonder en 1996 sa propre compagnie, qui prend le nom de sa pièce inaugurale : Käfig signifie « cage » en arabe et en allemand. Ce choix indique le parti pris d’ouverture du chorégraphe et son refus de s’enfermer dans un style. De 1996 à 2006, Mourad Merzouki créé 14 pièces, dont la diffusion ne cesse s’élargir. À partir de janvier 2006, il imagine et conçoit un nouveau lieu de création et de développement chorégraphique qui met en œuvre un nouveau rendez-vous pour la danse hip-hop avec le festival Karavel : le Centre chorégraphique Pôle Pik ouvre ses portes à Bron en 2009.
En juin 2009, Mourad Merzouki est nommé à la direction du Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne. Il y développe un projet intitulé « La danse, une fenêtre sur le monde », dont l’ouverture est le maître-mot. Il continue, à côté de la création et de la diffusion de ses spectacles, un travail de formation et de sensibilisation à la danse hip-hop, en créant des rencontres originales favorisant l’accès à l’art chorégraphique et le soutien aux équipes indépendantes. En 2013, il créé le festival Kalypso, offrant un nouvel espace de visibilité aux compagnies de danse hip-hop sur le territoire francilien.
En mars 2016, il est nommé conseiller artistique de Pôle en Scènes à Bron, projet mettant en synergie le Centre chorégraphique Pôle Pik et l’Espace Albert Camus autour d’une ambition commune de diffusion, de formation et de création du spectacle vivant. Mourad Merzouki reste fidèle à sa démarche artistique en proposant de créer des passerelles entre les disciplines, d’ouvrir les espaces et de les investir avec un public toujours plus large.
Mourad Merzouki est membre de la commission d’aide à la création chorégraphique de la DRAC Île-de-France et du comité mécénat danse de la Caisse des Dépôts. Il figure dans le Who’s Who et a fait son entrée dans Le Petit Larousse Illustré 2019.
« L’effet est massif et sidérant. Deux mille six cents spectateurs debout dans le grand théâtre gallo-romain de Fourvière, les bras levés, applaudissant à tout rompre. […] Son atout monstre : la musique baroque, versant populaire, qui scande les entrées et sorties des interprètes. Dix minutes avant la fin du spectacle, la montée en joie sur une mélodie péruvienne rapide faisait déjà claquer des mains certains spectateurs, lorsqu’ils ne se mettaient pas à chanter. »
Le Monde, Rosita Boisseau, le 5 JUIN 18
« Il y a des choses que l’on aimerait prolonger toute une nuit tant la beauté et la poésie sont rares. Mourad Merzouki sait à merveille convoquer ces deux perles de culture. Folia, sa nouvelle création fusionne savamment les territoires. »
Culture Box, Odile Morain, le 7 JUIN 18
« Folia, pari insensé de Mourad Merzouki confrontant en direct sa danse contemporaine venue du hip-hop à un répertoire baroque interprété sur scène par Le Concert de l’Hostel Dieu. »
Télérama, le 10 JUIN 18
« Un public debout, des danseurs électrisés : Folia de Mourad Merzouki fait partie de ces spectacles d’ouverture qui donnent la banane. […] Folia, c’est dingue, agit comme un blender qui mixe et brasse les énergies : hip-hop, pointes classiques, espagnolade avec une guerillera qui se débat dans une arène, derviche tourneur qui surgit sous une tempête de neige et met le public en transe, sans oublier les musiques. »
Le Progrès, David Tran, le 3 JUIN 18
Distributions Crédits
direction artistique et chorégraphie Mourad Merzouki
assisté de Marjorie Hannoteaux
conception musicale Franck-Emmanuel Comte – Le Concert de l’Hostel Dieu et Grégoire Durrande
scénographie Benjamin Lebreton assisté de Quentin Lugnier et Caroline Oriot (peinture), Mathieu Laville, Elvis Dagier et Rémi Mangevaud (serrurerie), Guillaume Ponroy (menuiserie)
lumière Yoann Tivoli
costumes musiciens Pascale Robin assistée de Pauline Yaoua Zurini
costumes danseurs Nadine Chabannier
avec Habid Bardou, Nedeleg Bardouil, Salena Baudoux (en alternance avec Lisa Ingrand), Franck Caporale, Mathilde Devoghel, Sofian Kaddaoui, Mélanie Lomoff, Joël Luzolo, Mathilde Rispal, Yui Sugano, Aurélien Vaudey, Titouan Wiener
et les musiciens Franck-Emmanuel Comte (en alternance avec Gwenaël Dubois), Reynier Guerrero Alvarez (en alternance avec André Costa), Nicolas Janot (en alternance avec Vincent Girard), Aude Walker-Viry (en alternance avec Clara Fellman), Nicolas Muzy (en alternance avec Clément Latour et Ulrik Larsen), Heather Newhouse (soprano / en alternance avec Anara Khassenova), Florian Verhaegen (en alternance avec Nicolas Sansarlat)
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coproduction Pôle en Scènes, Encore un Tour, Les Nuits de Fourvière, Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne / Cie Käfig, Lling Music
avec le soutien de La Caisse des Dépôts
représentation en audiodescription
et visite tactile du décor
MER.12 OCT.
en collaboration avec l’association Accès Culture.
Biographie
Le chorégraphe Mourad Merzouki, figure du mouvement hip-hop depuis le début des années 1990, inscrit son travail au carrefour de multiples disciplines. Autour de la danse hip-hop explorée dans tous ses styles, se greffent le cirque, les arts martiaux, les arts plastiques, la vidéo et la musique live. Sans perdre de vue les racines du mouvement, ses origines sociales et géographiques, cette confrontation permet d’ouvrir de nouveaux horizons à la danse et dégage des points de vue inédits.
Sa formation s’enracine, dès l’âge de 7 ans, dans la pratique des arts martiaux et des arts du cirque à Saint-Priest, dans l’est lyonnais. À quinze ans, sa rencontre avec la culture hip-hop l’emmène vers le monde de la danse.
Il s’attaque à la chorégraphie et crée ainsi sa première compagnie Accrorap en 1989, avec Kader Attou, Éric Mezino et Chaouki Saïd. Mourad Merzouki développe cette gestuelle née dans la rue tout en se confrontant à d’autres langages chorégraphiques auprès notamment de Maryse Delente, Jean-Fran-çois Duroure et Josef Nadj.
En 1994, la compagnie présente Athina lors de la Biennale de la Danse de Lyon, un véritable succès qui réussit à transposer la danse hip-hop de la rue à la scène. Les premières représentations internationales de la compagnie les mènent vers des terrains inexplorés, comme un camp de réfugiés en Croatie ; Mourad Merzouki y fait l’expérience de la danse comme puissant vecteur de communication.
Pour développer son propre univers artistique lié à son histoire et à sa sensibilité, Mourad Merzouki décide de fonder en 1996 sa propre compagnie, qui prend le nom de sa pièce inaugurale : Käfig signifie « cage » en arabe et en allemand. Ce choix indique le parti pris d’ouverture du chorégraphe et son refus de s’enfermer dans un style. De 1996 à 2006, Mourad Merzouki créé 14 pièces, dont la diffusion ne cesse s’élargir. À partir de janvier 2006, il imagine et conçoit un nouveau lieu de création et de développement chorégraphique qui met en œuvre un nouveau rendez-vous pour la danse hip-hop avec le festival Karavel : le Centre chorégraphique Pôle Pik ouvre ses portes à Bron en 2009.
En juin 2009, Mourad Merzouki est nommé à la direction du Centre chorégraphique national de Créteil et du Val-de-Marne. Il y développe un projet intitulé « La danse, une fenêtre sur le monde », dont l’ouverture est le maître-mot. Il continue, à côté de la création et de la diffusion de ses spectacles, un travail de formation et de sensibilisation à la danse hip-hop, en créant des rencontres originales favorisant l’accès à l’art chorégraphique et le soutien aux équipes indépendantes. En 2013, il créé le festival Kalypso, offrant un nouvel espace de visibilité aux compagnies de danse hip-hop sur le territoire francilien.
En mars 2016, il est nommé conseiller artistique de Pôle en Scènes à Bron, projet mettant en synergie le Centre chorégraphique Pôle Pik et l’Espace Albert Camus autour d’une ambition commune de diffusion, de formation et de création du spectacle vivant. Mourad Merzouki reste fidèle à sa démarche artistique en proposant de créer des passerelles entre les disciplines, d’ouvrir les espaces et de les investir avec un public toujours plus large.
Mourad Merzouki est membre de la commission d’aide à la création chorégraphique de la DRAC Île-de-France et du comité mécénat danse de la Caisse des Dépôts. Il figure dans le Who’s Who et a fait son entrée dans Le Petit Larousse Illustré 2019.
La presse en parle
« L’effet est massif et sidérant. Deux mille six cents spectateurs debout dans le grand théâtre gallo-romain de Fourvière, les bras levés, applaudissant à tout rompre. […] Son atout monstre : la musique baroque, versant populaire, qui scande les entrées et sorties des interprètes. Dix minutes avant la fin du spectacle, la montée en joie sur une mélodie péruvienne rapide faisait déjà claquer des mains certains spectateurs, lorsqu’ils ne se mettaient pas à chanter. »
Le Monde, Rosita Boisseau, le 5 JUIN 18
« Il y a des choses que l’on aimerait prolonger toute une nuit tant la beauté et la poésie sont rares. Mourad Merzouki sait à merveille convoquer ces deux perles de culture. Folia, sa nouvelle création fusionne savamment les territoires. »
Culture Box, Odile Morain, le 7 JUIN 18
« Folia, pari insensé de Mourad Merzouki confrontant en direct sa danse contemporaine venue du hip-hop à un répertoire baroque interprété sur scène par Le Concert de l’Hostel Dieu. »
Télérama, le 10 JUIN 18
« Un public debout, des danseurs électrisés : Folia de Mourad Merzouki fait partie de ces spectacles d’ouverture qui donnent la banane. […] Folia, c’est dingue, agit comme un blender qui mixe et brasse les énergies : hip-hop, pointes classiques, espagnolade avec une guerillera qui se débat dans une arène, derviche tourneur qui surgit sous une tempête de neige et met le public en transe, sans oublier les musiques. »
Le Progrès, David Tran, le 3 JUIN 18