Merci Salva !
Salvador Garcia a pris le large vendredi 31 mars 2023 après 26 années comme capitaine de Bonlieu Scène nationale Annecy. Pour l’occasion, la grande salle du théâtre avait revêtu ses habits de lumière et la fête fût mémorable !
MERCI Salva , bon vent à toi et à très bientôt !
Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
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TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
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TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
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TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
« On ne gère pas l’une des plus grosses scènes nationales de France, sur la pointe des pieds. On ne la quitte donc pas en catimini. Les artistes, les élus, les spectateurs les plus fidèles l’ont accompagné devant une salle de 800 personnes quasi comble.
« Entreprenant, audacieux, opiniâtre, perfectionniste, exigeant, impulsif, excessif… » les adjectifs accolés à la personne de “Salva” par Géraldine Garin, directrice par intérim, résonnaient comme un hommage à un patron qui a su « embarquer ses troupes ». « Charmeur, sensible, généreux, sanguin, rebelle » ajoutait le président de BSN François Blanchut qui concédait : « Travailler avec lui n’était pas toujours de tout repos… mais il a toujours voulu le meilleur pou Bonlieu ». Et pour la cité, puisqu’il a porté la culture là où elle ne va que très rarement.
Le roi a répondu avec des yeux mouillés, en continuant à faire ce qu’il a toujours fait : en “appelant” les artistes sur le plateau. […] Le boss est parti, plus vivant que jamais. Le citoyen que la culture fait exister n’a pas fini d’extirper des idées de sa besace. Avec lui, l’avenir n’est jamais fini. Une manière toute tonique de dire, à son tour, « merci ». »
Le Dauphiné Libéré, Colette Lanier, 2 AVR.23
La presse en parle
« On ne gère pas l’une des plus grosses scènes nationales de France, sur la pointe des pieds. On ne la quitte donc pas en catimini. Les artistes, les élus, les spectateurs les plus fidèles l’ont accompagné devant une salle de 800 personnes quasi comble.
« Entreprenant, audacieux, opiniâtre, perfectionniste, exigeant, impulsif, excessif… » les adjectifs accolés à la personne de “Salva” par Géraldine Garin, directrice par intérim, résonnaient comme un hommage à un patron qui a su « embarquer ses troupes ». « Charmeur, sensible, généreux, sanguin, rebelle » ajoutait le président de BSN François Blanchut qui concédait : « Travailler avec lui n’était pas toujours de tout repos… mais il a toujours voulu le meilleur pou Bonlieu ». Et pour la cité, puisqu’il a porté la culture là où elle ne va que très rarement.
Le roi a répondu avec des yeux mouillés, en continuant à faire ce qu’il a toujours fait : en “appelant” les artistes sur le plateau. […] Le boss est parti, plus vivant que jamais. Le citoyen que la culture fait exister n’a pas fini d’extirper des idées de sa besace. Avec lui, l’avenir n’est jamais fini. Une manière toute tonique de dire, à son tour, « merci ». »
Le Dauphiné Libéré, Colette Lanier, 2 AVR.23