YŪREI

Entre pointes classiques, danses urbaines et cyber-robots, les chorégraphes Christophe Béranger et Jonathan Pranlas-Descours organisent un voyage ébouriffant et envoûtant entre mythologie et manga, rythmé au son d’un beatbox teinté de soul. L’art de faire danser les esprits !

Le fantôme de Petrouchka, icône du ballet classique, rencontre celui d’un « yūrei » (fantôme) japonais sorti d’une bande dessinée. Entre eux se noue un singulier pas de deux. Les corps se parent de lumière et de paysages numériques. La musique électro – jouée en direct – déclenche leur transformation en créatures de lumière, fantastiques et fascinantes. Un spectacle électrisant !

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JEU. 1ER ET VEN. 2 FÉV.
À 19H
DURÉE 50 MIN
À PARTIR DE 7 ANS
LIEUPETITE SALLE

TARIF C

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Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
A+ 31 26 26 13 10  €
A 27 22 22 10 8  €
B 24 19 19 10 8  €
C 20 15 15 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TS Tarif spécial
TAS Tarif L'Auditorium Seynod
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TM Tarif Malraux, Scène nationale Chambéry Savoie
(25 € / 18 € / 12 €)
TU Tarif unique
EL Entrée libre

concept, chorégraphie Christophe Béranger, Jonathan Pranlas-Descours
danse Brice Rouchet, Sakiko Oishi
musique, beatbox loop Tioneb
création numérique, video Olivier Bauer
technique Pierre Hébras

 

 

production SINE QUA NON ART
coproduction Carré Amelot – La Rochelle, CCN Ballet de Lorraine, Centre Chorégraphique National de Créteil et du Val-de-Marne, La Ferme du Buisson – Scène Nationale de Marne-La-Vallée, L’Odyssée – Scène conventionnée Périgueux, L’Arsenal – Cité Musicale -Metz, CCM Limoges – Scène conventionnée d’intérêt national Art et Création Chorégraphique

 

La compagnie SINE QUA NON ART reçoit l’aide du Ministère de la Culture Drac Nouvelle-Aquitaine au titre de l’aide à la compagnie conventionnée, de la Région Nouvelle-Aquitaine au titre de l’aide au fonctionnement, et le soutien de la Ville de La Rochelle.

 

SINE QUA NON ART reçoit le soutien de l’Institut Français pour ses projets à l’international et le soutien de la communauté d’Agglomération de La Rochelle pour la formation professionnelle ABC – Atlantique Ballet Contemporain au Conservatoire de Musique et Danse de La Rochelle.

SINE QUA NON ART développe un création changeante, insaisissable et affirmée. Fondée à La Rochelle en 2012 sous l’impulsion de Christophe Béranger et Jonathan Pranlas-Descours, la compagnie interdisciplinaire développe une écriture scénique hybride et collaborative. Affrimée au corps, elle s’appuie sur l’abstraction chorégraphique, la composition musicale et la porosité entre les arts de la scène et les arts visuels. Elle puise la trame de ses œuvres dans les multiples facettes de l’existence humaine, de l’épreuve du temps, de l’espace et de la place de l’artiste dans ce monde mouvant. Elle révèle sur scène nos états physiques et psychiques, nos pulsions et nos principes, notre rapport au monde et à nous-mêmes. SINE QUA NON ART réalise des créations atypiques qui ancrent l’imaginaire dans le présent.

 

 

L’un vient des arts plastiques, est passé par le théâtre avant de se former sur le tard à la danse, à P.A.R.T.S., l’école fondée à Bruxelles par Anne Teresa de Keersmaeker. Interprète on le retrouve notamment auprès de Roméo Castellucci, Sasha Waltz, Mathilde Monnier… Il s’agit de Jonathan Pranlas-Descours. L’autre, plus arrimé au corps, a fait plus tôt ses classes au Conservatoire de La Rochelle. Christophe Béranger a rejoint le Ballet de Lorraine en 1992 où il a été interprète, chorégraphe et assistant artistique. Il reçoit en 2003 les insignes de Chevalier de l’Ordre des Arts et Lettres pour sa contribution au CCN – Ballet de Lorraine et son engagement dans l’action culturelle et la démocratisation de la danse. Ces différents parcours d’interprète, riches d’expériences dans leur diversité, sont à la base du travail en tandem, complémentaire mené par les deux artistes. Et c’est ensemble qu’ils ont décidé, en 2012 de fonder leur compagnie Sine Qua Non Art, et de l’implanter à La Rochelle. En 2013, ils sont sélectionnés artistes P.S.O de l’année, réseau français pour l’émergence chorégraphique, avec le solo Topie Impitoyable qui sera présenté en Avignon. La même année, ils sont lauréats de la TANZRecherche NRW#13 à Cologne qui leur permet de créer Exuvie leur fameuse création dans 150 kg de cire (présentée à Bonlieu en octobre 2016). En 2014 ils remportent le 1er Prix du concours (Re)connaissance avec leur pièce Des ailleurs sans lieux. Ils confirment leur relation avec les arts visuels / la scénographie et la musique sur scène avec Donne-moi quelque chose qui ne meurt pas, création 2016 qui reçoit le soutien de la Fondation BNP PARIBAS, avec 80 couteaux suspendus qui s’élèvent pendant la représentation. Leur collaboration avec des musiciens qui composent spécialement pour leurs œuvres chorégraphiques est encore plus marquée dans leur dernière création, VERSUS, en 2018, qui associe danse – arts visuels, musique électronique et chant baroque, et pour laquelle ils sont Lauréat SACD pour l’écriture de musique de scène et reçoivent le prix du Groupe CDC – Nouveaux Talents Danse 2018. Parallèlement, ils créent pour des compagnies nationales, en France notamment pour le Ballet de l’opéra de Metz et à l’international, en 2016 pour le Ballet National du Kosovo Recomposed pièce pour 24 danseurs. En 2018, ils sont invités à créer un Sacre du printemps – Consagracion pour la compagnie nationale Danza Contemporánea de Cuba in Havana à La Havane avec 105 musiciens de l’orchestre du Gran Teatro, présenté au Gran Teatro Alicia Alonzo en ouverture du mois de la culture française à Cuba. Ils reçoivent pour ce travail le prix Villanueva de la critique pour le meilleur spectacle de l’année 2018. Ils créer en 2019, à l’invitation du Festival d’Athènes-Epidaure, une pièce inédite dans le site archéologique d’Epidaure, en Grèce, pour 105 acteurs et danseurs provenant de 11 nationalités differentes, véritable ode à la jeunesse… Leurs créations ont été présentées au Liban, au Brésil, à Macao, au Luxembourg, en Allemagne, à Cuba, à Singapour, au Kosovo, en Croatie… Leur parcours international les amène à enseigner à l’école du ballet du Nord, au Epidaurus Lyceum/Grèce, au Ballet Junior de Genève, Hong-Kong HKAPA Academy for Performing Art, Escola libre da Maré à Rio de Janeiro, Studio Architanz Tokyo, Jing Xing Dance Theater Shanghaï…. Ils sont nommés en 2017 comme coordinateurs artistiques et pédagogiques de l’Atlantique Ballet Contemporain, formation artistique du danseur interprète du conservatoire de La Rochelle.

 

 

 

 

Née en 1989 à Ehimé au Japon, Sakiko Oishi commence la danse à l’âge de 5 ans. En 2004, elle gagne le 1er prix au concours Shikoku Dance Competition. En 2005, elle arrive en France pour entrer à l’École Nationale Supérieure de danse de Marseille. Après avoir dansé pour le Ballet d’Europe et le Ballet National de Marseille, elle intègre, en 2009, le CCN – Ballet de Lorraine jusqu’an 2018. Au fil de ses expériences elle a pu danser des pièces comme In The Upper Room de Twyla Tharp, The vertiginous of thrill exactitude de William Forsythe, Sounddance de Merce Cunningham, Opal Loop de Trisha Brown, etc… Aujourd’hui, elle réside en France, ce depuis 2005, et travaille avec La Bazooka, Cie Chatha, et plusieurs projets au Japon notamment avec Gisèle Vienne, Ya-suyuki Endo en free-lance.

 

 

Formé au conservatoire de La Rochelle, Brice Bouchet intègre le Jeune Ballet Atlantique (JBA) où il étudie la danse contemporaine pendant 3 ans. Son passé d’autodidacte dans le domaine des danses urbaines le pousse à approfondir la danse dite ‘‘Électro’’ en relation avec sa formation contemporaine. En résulte une qualité de corps atypique, où le dynamisme électrique des bras entre en relation avec un corps ancré dans le rythme d’une danse contemporaine, à l’écoute. Il travaille depuis avec le chorégraphe Radouane El Medded pour son projet Panthéon, présenté dans le cadre des Monuments en Mouvement au Panthéon de Paris puis pour Heroes, présenté au Festival de Marseille. Il crée le collectif Amnésia, avec qui il remporte de nombreux prix de jeunes chorégraphes pour son mélange Électro-Contemporain. Il continue la collaboration avec les chorégraphes Christophe Béranger et Jonathan Pranlas-Descours en 2017, pour le projet MétamorPhone, collaboration née d’une rencontre en 2013, lors d’une création pour le Jeune Ballet Atlantique.

Distribution Crédits

concept, chorégraphie Christophe Béranger, Jonathan Pranlas-Descours
danse Brice Rouchet, Sakiko Oishi
musique, beatbox loop Tioneb
création numérique, video Olivier Bauer
technique Pierre Hébras

 

 

production SINE QUA NON ART
coproduction Carré Amelot – La Rochelle, CCN Ballet de Lorraine, Centre Chorégraphique National de Créteil et du Val-de-Marne, La Ferme du Buisson – Scène Nationale de Marne-La-Vallée, L’Odyssée – Scène conventionnée Périgueux, L’Arsenal – Cité Musicale -Metz, CCM Limoges – Scène conventionnée d’intérêt national Art et Création Chorégraphique

 

La compagnie SINE QUA NON ART reçoit l’aide du Ministère de la Culture Drac Nouvelle-Aquitaine au titre de l’aide à la compagnie conventionnée, de la Région Nouvelle-Aquitaine au titre de l’aide au fonctionnement, et le soutien de la Ville de La Rochelle.

 

SINE QUA NON ART reçoit le soutien de l’Institut Français pour ses projets à l’international et le soutien de la communauté d’Agglomération de La Rochelle pour la formation professionnelle ABC – Atlantique Ballet Contemporain au Conservatoire de Musique et Danse de La Rochelle.

Biographie

SINE QUA NON ART développe un création changeante, insaisissable et affirmée. Fondée à La Rochelle en 2012 sous l’impulsion de Christophe Béranger et Jonathan Pranlas-Descours, la compagnie interdisciplinaire développe une écriture scénique hybride et collaborative. Affrimée au corps, elle s’appuie sur l’abstraction chorégraphique, la composition musicale et la porosité entre les arts de la scène et les arts visuels. Elle puise la trame de ses œuvres dans les multiples facettes de l’existence humaine, de l’épreuve du temps, de l’espace et de la place de l’artiste dans ce monde mouvant. Elle révèle sur scène nos états physiques et psychiques, nos pulsions et nos principes, notre rapport au monde et à nous-mêmes. SINE QUA NON ART réalise des créations atypiques qui ancrent l’imaginaire dans le présent.

 

 

L’un vient des arts plastiques, est passé par le théâtre avant de se former sur le tard à la danse, à P.A.R.T.S., l’école fondée à Bruxelles par Anne Teresa de Keersmaeker. Interprète on le retrouve notamment auprès de Roméo Castellucci, Sasha Waltz, Mathilde Monnier… Il s’agit de Jonathan Pranlas-Descours. L’autre, plus arrimé au corps, a fait plus tôt ses classes au Conservatoire de La Rochelle. Christophe Béranger a rejoint le Ballet de Lorraine en 1992 où il a été interprète, chorégraphe et assistant artistique. Il reçoit en 2003 les insignes de Chevalier de l’Ordre des Arts et Lettres pour sa contribution au CCN – Ballet de Lorraine et son engagement dans l’action culturelle et la démocratisation de la danse. Ces différents parcours d’interprète, riches d’expériences dans leur diversité, sont à la base du travail en tandem, complémentaire mené par les deux artistes. Et c’est ensemble qu’ils ont décidé, en 2012 de fonder leur compagnie Sine Qua Non Art, et de l’implanter à La Rochelle. En 2013, ils sont sélectionnés artistes P.S.O de l’année, réseau français pour l’émergence chorégraphique, avec le solo Topie Impitoyable qui sera présenté en Avignon. La même année, ils sont lauréats de la TANZRecherche NRW#13 à Cologne qui leur permet de créer Exuvie leur fameuse création dans 150 kg de cire (présentée à Bonlieu en octobre 2016). En 2014 ils remportent le 1er Prix du concours (Re)connaissance avec leur pièce Des ailleurs sans lieux. Ils confirment leur relation avec les arts visuels / la scénographie et la musique sur scène avec Donne-moi quelque chose qui ne meurt pas, création 2016 qui reçoit le soutien de la Fondation BNP PARIBAS, avec 80 couteaux suspendus qui s’élèvent pendant la représentation. Leur collaboration avec des musiciens qui composent spécialement pour leurs œuvres chorégraphiques est encore plus marquée dans leur dernière création, VERSUS, en 2018, qui associe danse – arts visuels, musique électronique et chant baroque, et pour laquelle ils sont Lauréat SACD pour l’écriture de musique de scène et reçoivent le prix du Groupe CDC – Nouveaux Talents Danse 2018. Parallèlement, ils créent pour des compagnies nationales, en France notamment pour le Ballet de l’opéra de Metz et à l’international, en 2016 pour le Ballet National du Kosovo Recomposed pièce pour 24 danseurs. En 2018, ils sont invités à créer un Sacre du printemps – Consagracion pour la compagnie nationale Danza Contemporánea de Cuba in Havana à La Havane avec 105 musiciens de l’orchestre du Gran Teatro, présenté au Gran Teatro Alicia Alonzo en ouverture du mois de la culture française à Cuba. Ils reçoivent pour ce travail le prix Villanueva de la critique pour le meilleur spectacle de l’année 2018. Ils créer en 2019, à l’invitation du Festival d’Athènes-Epidaure, une pièce inédite dans le site archéologique d’Epidaure, en Grèce, pour 105 acteurs et danseurs provenant de 11 nationalités differentes, véritable ode à la jeunesse… Leurs créations ont été présentées au Liban, au Brésil, à Macao, au Luxembourg, en Allemagne, à Cuba, à Singapour, au Kosovo, en Croatie… Leur parcours international les amène à enseigner à l’école du ballet du Nord, au Epidaurus Lyceum/Grèce, au Ballet Junior de Genève, Hong-Kong HKAPA Academy for Performing Art, Escola libre da Maré à Rio de Janeiro, Studio Architanz Tokyo, Jing Xing Dance Theater Shanghaï…. Ils sont nommés en 2017 comme coordinateurs artistiques et pédagogiques de l’Atlantique Ballet Contemporain, formation artistique du danseur interprète du conservatoire de La Rochelle.

 

 

 

 

Née en 1989 à Ehimé au Japon, Sakiko Oishi commence la danse à l’âge de 5 ans. En 2004, elle gagne le 1er prix au concours Shikoku Dance Competition. En 2005, elle arrive en France pour entrer à l’École Nationale Supérieure de danse de Marseille. Après avoir dansé pour le Ballet d’Europe et le Ballet National de Marseille, elle intègre, en 2009, le CCN – Ballet de Lorraine jusqu’an 2018. Au fil de ses expériences elle a pu danser des pièces comme In The Upper Room de Twyla Tharp, The vertiginous of thrill exactitude de William Forsythe, Sounddance de Merce Cunningham, Opal Loop de Trisha Brown, etc… Aujourd’hui, elle réside en France, ce depuis 2005, et travaille avec La Bazooka, Cie Chatha, et plusieurs projets au Japon notamment avec Gisèle Vienne, Ya-suyuki Endo en free-lance.

 

 

Formé au conservatoire de La Rochelle, Brice Bouchet intègre le Jeune Ballet Atlantique (JBA) où il étudie la danse contemporaine pendant 3 ans. Son passé d’autodidacte dans le domaine des danses urbaines le pousse à approfondir la danse dite ‘‘Électro’’ en relation avec sa formation contemporaine. En résulte une qualité de corps atypique, où le dynamisme électrique des bras entre en relation avec un corps ancré dans le rythme d’une danse contemporaine, à l’écoute. Il travaille depuis avec le chorégraphe Radouane El Medded pour son projet Panthéon, présenté dans le cadre des Monuments en Mouvement au Panthéon de Paris puis pour Heroes, présenté au Festival de Marseille. Il crée le collectif Amnésia, avec qui il remporte de nombreux prix de jeunes chorégraphes pour son mélange Électro-Contemporain. Il continue la collaboration avec les chorégraphes Christophe Béranger et Jonathan Pranlas-Descours en 2017, pour le projet MétamorPhone, collaboration née d’une rencontre en 2013, lors d’une création pour le Jeune Ballet Atlantique.