CABARET NEW BURLESQUE
CABARET / MUSIQUE
Stars du new burlesque, elles débarquent à nouveau des États-Unis pour installer une ambiance de folie à Bonlieu ! Radieuses et féministes en diable, les cinq performeuses et leur acolyte masculin dégoupillent un show volcanique et joyeusement affriolant. Les sensationnelles héroïnes du film Tournée de Mathieu Amalric se déchaînent, et c’est totalement irrésistible !
Reines du dépassement de soi et de l’autodérision, superbement drapées d’humour, tout en exubérance et générosité, on ne peut que follement les aimer. Leur art de l’effeuillage très irrévérencieux, leur drôlerie mariant le cru à l’élégance ont révolutionné le traditionnel burlesque américain. L’espièglerie bon enfant de Mimi Le Meaux, Julie Atlas Muz, Maine Attraction et Dirty Martini, si libres et décomplexées, est un vrai bonheur… La délurée Kitten on the Keys mène le bal de ces belles effrontées dont les somptueuses plastiques échappent aux canons du mannequinat. Et que dire de l’incroyable Roky Roulette, le seul stripteaseur au monde sur bâton à ressort ? C’est chic, sauvage et furieusement sexy !
TARIF A
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
|||||
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
|||||
TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distribution
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
mise en scène Cabaret New Burlesque
avec Dirty Martini, Julie Atlas Muz, Kitten on the Keys, Maine Attraction, Mimi le Meaux, Roky Roulette
•
production Les Visiteurs du Soir
Dans la droite ligne des numéros des grandes strip-teaseuses des années 50, les show de Mimi Le Meaux sont très liés au rock garage, au punk et à l’esthétique des films de genre, de la série B à la série Z.
À la frontière du burlesque et de la danse contemporaine, le travail de Julie Atlas Muz est célébré par la presse new-yorkaise : «Elle élève son art au rang de science. Simple, mais génial.» (Gotham), «Une des artistes les plus adroite.» (New York Times Magazine).
Surnommée la « Triple menace du burlesque » (danseuse/actrice/chanteuse), énergique, sensuelle et follement charismatique, le style rythmique désinhibé et le sens de l’humour de Maine Attraction mêlent un ensemble de danse d’improvisation, de contorsion et de pole dance dans un mouvement qu’elle a défini comme le «Burlesque Fusion».
« Capable de jouer de ses formes callipyges avec l’aisance d’une ballerine » (Stéphane Davet – Le Monde), Dirty Martini revisite des routines classiques du burlesque avec une terrible grâce.
Le seul stripteaseur sur bâton à ressort du monde, Roky Roulette, offre une véritable performance physique avec une énergie et un enthousiasme communicatifs.
Kitten on the Keys est la maîtresse de cérémonie du Cabaret New Burlesque qu’elle mène tambour battant et émaille de chansons, accompagnée de son piano, de son ukulele ou de son accordéon…
« Elles sont incroyables, magnifiques, et inutile de préciser très affirmées dans leur humour et leurs idées coquines. Ce sont les Américaines du film « Tournée » de Mathieu Almaric, un énorme succès bien mérité. L’art pratiqué par la troupe n’a rien à voir avec le strip-tease classique. C’est inventif, déshabillé et même politique, elles savent comment ensorceler sans vulgarité. Non seulement elle nous stupéfient, mais elle nous font aussi parler, et c’est énooooorme! C’est comme rendre visite à ses meilleurs amis dont on aime voir les espiègleries. Encore ! »
Télérama, Rosita Boisseau
« Antidote aux mannequins anémiés qui symbolisent l’artificialisation sinistre des défilés de mode, les filles du New Burlesque ont conquis le public français – avec l’aide du film de Mathieu Amalric, Tournée, qui leur était dédié, et (qui sait ?) du récent nanar hollywoodien Burlesque, avec Cher et Christina Aguilera. Assumant leurs formes indifférentes au bistouri, les plus si jeunes Mimi le Meaux, Kitten on the Keys, Dirty Martini et consorts refont donc un tour de piste avec un nouveau spectacle de strip-tease bon enfant. Une «réinterprétation du music-hall européen» telle qu’on l’a conçue aux Etats-Unis à partir de 1860 et qui, longtemps curiosité fanée, s’est commuée au début des années 2000 en divertissement à la fois accessible et branché, notamment à l’initiative de Kitty Hartl, l’ex-programmatrice du Lieu unique à Nantes, convertie en directrice artistique de la troupe. »
Libération, Gilles Renault
« Elles sont devenues des stars depuis Tournée, le film de Mathieu Amalric. Mais Mimi Le Meaux, Kitten on the Keys, Dirty Martini, Julie Atlas Muz, Catherine D’Lish et le seul homme de la troupe, Roky Roulette, s’accrochent plus que jamais aux planches. Leur spectacle mise sur le burlesque : effeuillage, bump and grind – version américaine de la danse du ventre – et tassel twirling – art de faire tourner le plus vite possible les pompons accrochés aux pasties, ces rondelles de tissus posées sur le mamelon et qui protègent d’une ancienne infraction à l’interdiction de se produire nue en public. Ces demoiselles ont l’aplomb des Salomé de saloon qui, mieux que Calamity Jane, injectaient naguère un peu de féminité dans la conquête de l’Ouest. Elles jouent aujourd’hui sur les codes de la société américaine qu’elles se plaisent à parodier : trop de glamour, de blondeur, de rousseur, et gags érotico-outrageous appuyés jusqu’à la caricature. »
Le Figaro, Ariane Bavelier
« Du strip-tease glamour, hommage aux années cinquante, pas très loin de l’image classique des pin-ups dont Betty Page fut l’une des représentantes, proposé par Evie Lovelle, à l’effeuillage tout de sensualité de Mimi Le Meaux au corps somptueux. Mais également l’humour trash et politique de l’incroyable et fellinienne Dirty Martini dont un des numéros est suffisamment explicite pour comprendre sans doute l’essence du New Burlesque et ses fondamentaux. Comment ne pas penser à Mae West dont elle est sans doute l’héritière. Julie Atlas Muz amène une bonne dose d’humour mais également de poésie. Et puis il y a un homme, Rocky Roulette. C’est toute l’ambiguïté du new burlesque qu’il amène sur scène. Se jouant des codes du strip tease féminin qu’il s’approprie, du folklore américain traditionnel qu’il détourne, comme Dirty Martini, son numéro de cow-boy se termine sur une note singulière qui vaut mieux qu’un discours. Et tout cela est présenté sous la houlette de Kitten on the Keys, maîtresse femme et maîtresse de cérémonie à l’abatage incroyable, comme ses changements de costumes, et qui vous chauffe la salle à blanc entre deux chansons bien lestes. On hurle, siffle, tape des pieds et des mains. On s’amuse, certes, mais ce qui frappe c’est l’intelligence, l’engagement et le courage des ces performeurs qui se jouent de tout cliché pour poser la question de la place de l’individu dans la société présente, de sa liberté, avec pour seule arme leur corps nu en avant. L’impudeur et le rire sont des armes redoutables. »
Un fauteuil pour l’orchestre (radio), Denis Sanglard
Distribution Crédits
mise en scène Cabaret New Burlesque
avec Dirty Martini, Julie Atlas Muz, Kitten on the Keys, Maine Attraction, Mimi le Meaux, Roky Roulette
•
production Les Visiteurs du Soir
Biographie
Dans la droite ligne des numéros des grandes strip-teaseuses des années 50, les show de Mimi Le Meaux sont très liés au rock garage, au punk et à l’esthétique des films de genre, de la série B à la série Z.
À la frontière du burlesque et de la danse contemporaine, le travail de Julie Atlas Muz est célébré par la presse new-yorkaise : «Elle élève son art au rang de science. Simple, mais génial.» (Gotham), «Une des artistes les plus adroite.» (New York Times Magazine).
Surnommée la « Triple menace du burlesque » (danseuse/actrice/chanteuse), énergique, sensuelle et follement charismatique, le style rythmique désinhibé et le sens de l’humour de Maine Attraction mêlent un ensemble de danse d’improvisation, de contorsion et de pole dance dans un mouvement qu’elle a défini comme le «Burlesque Fusion».
« Capable de jouer de ses formes callipyges avec l’aisance d’une ballerine » (Stéphane Davet – Le Monde), Dirty Martini revisite des routines classiques du burlesque avec une terrible grâce.
Le seul stripteaseur sur bâton à ressort du monde, Roky Roulette, offre une véritable performance physique avec une énergie et un enthousiasme communicatifs.
Kitten on the Keys est la maîtresse de cérémonie du Cabaret New Burlesque qu’elle mène tambour battant et émaille de chansons, accompagnée de son piano, de son ukulele ou de son accordéon…
La presse en parle
« Elles sont incroyables, magnifiques, et inutile de préciser très affirmées dans leur humour et leurs idées coquines. Ce sont les Américaines du film « Tournée » de Mathieu Almaric, un énorme succès bien mérité. L’art pratiqué par la troupe n’a rien à voir avec le strip-tease classique. C’est inventif, déshabillé et même politique, elles savent comment ensorceler sans vulgarité. Non seulement elle nous stupéfient, mais elle nous font aussi parler, et c’est énooooorme! C’est comme rendre visite à ses meilleurs amis dont on aime voir les espiègleries. Encore ! »
Télérama, Rosita Boisseau
« Antidote aux mannequins anémiés qui symbolisent l’artificialisation sinistre des défilés de mode, les filles du New Burlesque ont conquis le public français – avec l’aide du film de Mathieu Amalric, Tournée, qui leur était dédié, et (qui sait ?) du récent nanar hollywoodien Burlesque, avec Cher et Christina Aguilera. Assumant leurs formes indifférentes au bistouri, les plus si jeunes Mimi le Meaux, Kitten on the Keys, Dirty Martini et consorts refont donc un tour de piste avec un nouveau spectacle de strip-tease bon enfant. Une «réinterprétation du music-hall européen» telle qu’on l’a conçue aux Etats-Unis à partir de 1860 et qui, longtemps curiosité fanée, s’est commuée au début des années 2000 en divertissement à la fois accessible et branché, notamment à l’initiative de Kitty Hartl, l’ex-programmatrice du Lieu unique à Nantes, convertie en directrice artistique de la troupe. »
Libération, Gilles Renault
« Elles sont devenues des stars depuis Tournée, le film de Mathieu Amalric. Mais Mimi Le Meaux, Kitten on the Keys, Dirty Martini, Julie Atlas Muz, Catherine D’Lish et le seul homme de la troupe, Roky Roulette, s’accrochent plus que jamais aux planches. Leur spectacle mise sur le burlesque : effeuillage, bump and grind – version américaine de la danse du ventre – et tassel twirling – art de faire tourner le plus vite possible les pompons accrochés aux pasties, ces rondelles de tissus posées sur le mamelon et qui protègent d’une ancienne infraction à l’interdiction de se produire nue en public. Ces demoiselles ont l’aplomb des Salomé de saloon qui, mieux que Calamity Jane, injectaient naguère un peu de féminité dans la conquête de l’Ouest. Elles jouent aujourd’hui sur les codes de la société américaine qu’elles se plaisent à parodier : trop de glamour, de blondeur, de rousseur, et gags érotico-outrageous appuyés jusqu’à la caricature. »
Le Figaro, Ariane Bavelier
« Du strip-tease glamour, hommage aux années cinquante, pas très loin de l’image classique des pin-ups dont Betty Page fut l’une des représentantes, proposé par Evie Lovelle, à l’effeuillage tout de sensualité de Mimi Le Meaux au corps somptueux. Mais également l’humour trash et politique de l’incroyable et fellinienne Dirty Martini dont un des numéros est suffisamment explicite pour comprendre sans doute l’essence du New Burlesque et ses fondamentaux. Comment ne pas penser à Mae West dont elle est sans doute l’héritière. Julie Atlas Muz amène une bonne dose d’humour mais également de poésie. Et puis il y a un homme, Rocky Roulette. C’est toute l’ambiguïté du new burlesque qu’il amène sur scène. Se jouant des codes du strip tease féminin qu’il s’approprie, du folklore américain traditionnel qu’il détourne, comme Dirty Martini, son numéro de cow-boy se termine sur une note singulière qui vaut mieux qu’un discours. Et tout cela est présenté sous la houlette de Kitten on the Keys, maîtresse femme et maîtresse de cérémonie à l’abatage incroyable, comme ses changements de costumes, et qui vous chauffe la salle à blanc entre deux chansons bien lestes. On hurle, siffle, tape des pieds et des mains. On s’amuse, certes, mais ce qui frappe c’est l’intelligence, l’engagement et le courage des ces performeurs qui se jouent de tout cliché pour poser la question de la place de l’individu dans la société présente, de sa liberté, avec pour seule arme leur corps nu en avant. L’impudeur et le rire sont des armes redoutables. »
Un fauteuil pour l’orchestre (radio), Denis Sanglard