L’HOMME QUI PLANTAIT DES ARBRES
THÉÂTRE
Claude Brozzoni
Jean Giono
La nature est notre avenir, charge à nous d’en prendre soin ! Claude Brozzoni nous immerge dans les mots de Jean Giono, en une promenade poétique et sonore, un conte des temps modernes, bienfaisant et chargé d’espoir.
Inlassable, Elzéard, berger de son état, arpente les terres arides de la Haute Provence. Amoureux passionné de son environnement, il ne s’est imposé qu’une mission : planter des arbres, des chênes… un geste anonyme qu’il ne fait pas pour lui, bien sûr, mais pour demain… Christian Lucas incarne ce solitaire, qui œuvre pour la beauté du geste, sans rien attendre en retour. Une magnifique histoire – fable écologique et humaniste –, ode à la constance, au don de soi et au respect de la nature…
REPRÉSENTATION SUPPLÉMENTAIRE
Une représentation supplémentaire a été rajoutée
à celles initialement prévues
REPRÉSENTATION SUPPLÉMENTAIRE :
LUN.12 FÉV. À 19h
TARIF C
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
|||||
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
|||||
TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distribution
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
jeu Christian Lucas
mise en scène et scénographie Claude Brozzoni
création bande-son et régie son Pipo Gomes
création lumière Pierre Marchand
décor Espace et Cie
décor additionnel Frédéric Couade et Adrien Brunois
conseil artistique Dominique Vallon Brozzoni
•
production Cie Brozzoni
coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy et Le Pôle, Espace culturel et sportif du Pays d’Alby
La Cie Brozzoni est conventionnée par la Région Auvergne Rhône-Alpes et la Ville d’Annecy. Elle reçoit le soutien du département de la Haute-Savoie et de la DRAC Auvergne Rhône-Alpes.
Au théâtre, Christian Lucas a joué entre autres dans Le songe d’une nuit d’été de Shakespeare, Entre les actes de Virginia Woolf, Casimir et Caroline de Odön von Horvath, Le but de Roberto Carlos de Michel Simonot, Astoria de Jura Soyfer, Nunzio de Spiro Scimone, Ma chambre d’après Henri Michaux, La danse du coq de O’Casey, Gengis parmi les pygmés de Grégory Motton, Les Perses d’Eschyle, Éléments moins performants de Peter Turrini (mise en scène de Claude Brozzoni)… Il a travaillé sous la direction de metteurs en scène comme Alain Mollot, Yvan Morane, Lisa Wurmser, Bernard Lotti, Veronique Widock, Sylvain Maurice, Geneviève de Kermabon, Olivier Werner, Claude Brozzoni… Il a présenté sa création écrite et interprétée par lui Moi, Marguerite Duras et la mer au festival off 2019 d’Avignon. Depuis 2019 il a travaillé sur le Projet Molière de la Cie Brozzoni échelonné sur trois ans et trois créations : Le roman de Monsieur de Molière, Molière volant et Skapin.
Claude Brozzoni commence par des études techniques. C’est « par hasard » qu’il découvre le théâtre, qui l’ouvre à la littérature, la peinture, la musique et le cinéma. Son milieu d’origine est un monde de croyances où le sacré représente une valeur centrale. Il tire de cet héritage une éthique, une approche intime des choses, la capacité d’aller au-delà des apparences pour capter la transcendance et rêver un monde plus grand et mieux partagé. Ses rencontres avec Sophocle, Molière, Shakespeare, Hugo, Brecht, Turrini, Ehni, Gaudé, les comédiens comme Dominique Vallon, Carlo Brandt, Jean‑Quentin Châtelain le confortent dans ses choix, lui apprennent la grande exigence du travail du texte, l’émotion sincère et le dévoilement du cœur.
Depuis 1987, année de sa création, la Cie Brozzoni fait entendre les mots des dramaturges au plus près de leur vérité. C’est un théâtre du Verbe qui n’oublie pas pour autant le cœur et l’âme des poètes. Au contact des auteurs contemporains ou classiques, de son équipe d’artistes et de techniciens, du public, le metteur en scène a aiguisé son regard. Ses horizons se sont élargis, enrichis, approchant la vérité d’une expression vouée à son art. (Fabien Franco, journaliste)
« À Bonlieu, scène nationale d’Annecy, la Cie Brozzoni propose une admirable et très sensible « symphonie poétique, musicale et sonore » autour de L’homme qui plantait des arbres de Jean Giono. Tel un regain, la nature sauvera le monde. »
Marie-Céline Nivière, L’œil d’Olivier, 7 FÉV.24
Distribution Crédits
jeu Christian Lucas
mise en scène et scénographie Claude Brozzoni
création bande-son et régie son Pipo Gomes
création lumière Pierre Marchand
décor Espace et Cie
décor additionnel Frédéric Couade et Adrien Brunois
conseil artistique Dominique Vallon Brozzoni
•
production Cie Brozzoni
coproduction Bonlieu Scène nationale Annecy et Le Pôle, Espace culturel et sportif du Pays d’Alby
La Cie Brozzoni est conventionnée par la Région Auvergne Rhône-Alpes et la Ville d’Annecy. Elle reçoit le soutien du département de la Haute-Savoie et de la DRAC Auvergne Rhône-Alpes.
Biographie
Au théâtre, Christian Lucas a joué entre autres dans Le songe d’une nuit d’été de Shakespeare, Entre les actes de Virginia Woolf, Casimir et Caroline de Odön von Horvath, Le but de Roberto Carlos de Michel Simonot, Astoria de Jura Soyfer, Nunzio de Spiro Scimone, Ma chambre d’après Henri Michaux, La danse du coq de O’Casey, Gengis parmi les pygmés de Grégory Motton, Les Perses d’Eschyle, Éléments moins performants de Peter Turrini (mise en scène de Claude Brozzoni)… Il a travaillé sous la direction de metteurs en scène comme Alain Mollot, Yvan Morane, Lisa Wurmser, Bernard Lotti, Veronique Widock, Sylvain Maurice, Geneviève de Kermabon, Olivier Werner, Claude Brozzoni… Il a présenté sa création écrite et interprétée par lui Moi, Marguerite Duras et la mer au festival off 2019 d’Avignon. Depuis 2019 il a travaillé sur le Projet Molière de la Cie Brozzoni échelonné sur trois ans et trois créations : Le roman de Monsieur de Molière, Molière volant et Skapin.
Claude Brozzoni commence par des études techniques. C’est « par hasard » qu’il découvre le théâtre, qui l’ouvre à la littérature, la peinture, la musique et le cinéma. Son milieu d’origine est un monde de croyances où le sacré représente une valeur centrale. Il tire de cet héritage une éthique, une approche intime des choses, la capacité d’aller au-delà des apparences pour capter la transcendance et rêver un monde plus grand et mieux partagé. Ses rencontres avec Sophocle, Molière, Shakespeare, Hugo, Brecht, Turrini, Ehni, Gaudé, les comédiens comme Dominique Vallon, Carlo Brandt, Jean‑Quentin Châtelain le confortent dans ses choix, lui apprennent la grande exigence du travail du texte, l’émotion sincère et le dévoilement du cœur.
Depuis 1987, année de sa création, la Cie Brozzoni fait entendre les mots des dramaturges au plus près de leur vérité. C’est un théâtre du Verbe qui n’oublie pas pour autant le cœur et l’âme des poètes. Au contact des auteurs contemporains ou classiques, de son équipe d’artistes et de techniciens, du public, le metteur en scène a aiguisé son regard. Ses horizons se sont élargis, enrichis, approchant la vérité d’une expression vouée à son art. (Fabien Franco, journaliste)
La presse en parle
« À Bonlieu, scène nationale d’Annecy, la Cie Brozzoni propose une admirable et très sensible « symphonie poétique, musicale et sonore » autour de L’homme qui plantait des arbres de Jean Giono. Tel un regain, la nature sauvera le monde. »
Marie-Céline Nivière, L’œil d’Olivier, 7 FÉV.24