SENS DESSUS DESSOUS
théâtre
André Dussollier
Conteur hors pair, virtuose de la langue, orfèvre du phrasé, André Dussollier est un magicien des mots ! On ne présente plus l’immense acteur, on reconnaîtrait sa silhouette entre mille et sa voix est devenue l’une des plus familières du cinéma et du théâtre français. Dans Sens dessus dessous, il interprète son panthéon littéraire où les textes de Dubillard, Hugo, Guitry, Devos, Baudelaire, Fournel, Houellebecq et quelques autres s’entremêlent. Tous célèbrent le verbe et l’esprit français. Et André Dussollier se démultiplie, bondit, court, crie, choque et charme. De sa voix délicieusement magnétique, de son expressivité hors du commun, il nous ensorcelle pour nous entraîner dans son imaginaire sans limites. Tout simplement génial !
Il est l’acteur qui cumule depuis ses débuts les plus grandes distinctions, Césars, Molières et autres. Il est l’acteur qui affiche au cinéma l’une des plus belles filmographies, ayant tourné avec les plus grands et joué dans plus de deux cents films, incarnant par ses rôles de composition une multitude de personnages incroyables. Il ne s’est pourtant jamais départi de sa discrétion et de sa modestie, un trait de caractère qui, associé à une pudeur attentionnée, a fait de lui l’amant, le frère, le père, l’oncle ou l’ami idéal pour des millions de spectateurs. Son amour du théâtre ne l’a jamais quitté, c’est là, très vite, à la Comédie-Française, qu’il a connu ses premiers grands succès. C’est là toujours qu’entre deux tournages il vient se ressourcer, puiser son énergie dans cette proximité physique avec le public, avec son public. Après un rendez-vous manqué la saison dernière et trois mois de représentations parisiennes à guichets fermés, André Dussollier fait son grand retour à Annecy… pour notre plus grande joie !
TARIF SPÉCIAL (39€/33€/28€/18€)
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
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TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
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TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
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TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distribution
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
conception et réalisation André Dussollier
collaboration artistique Catherine D’At
avec André Dussollier
scénographie, vidéo Sébastien Mizermont – VLB
lumières Laurent Castaing
illustration sonore Cyril Giroux
accessoires Pauline Stern
textes dans l’ordre d’apparition Un soir quand on est seul de Sacha Guitry, Tragédie classique et Douceur de Roland Dubillard, Sens dessus dessous de Raymond Devos, Le Crapaud de Victor Hugo, Enivrez-vous de Charles Beaudelaire, Le poème du Vicaire d’André Fréderic, Le mot et la chose de Gabriel Charles Abbé de Lattaignant, La pénitence est douce de Léon Vilbert, Pour le sable comme pour la femme, il y a une finesse qui est perfidie de Victor Hugo, Extrait de la publication dans le Figaro du discours prononcé par Michel Houellebecq à l’université Kore d’Enna, À un auteur d’André Frédéric, Musique de placard de Roland Dubillard, Le dernier Nabab d’Elia Kazan, Vœux présidentiels, Le Lanceur de Paul Fournel, Montage d’Un soir quand on est seul, Hernani, Ruy Blas de Sacha Guitry, Victor Hugo et André Dussollier, Monstres sacrés et L’écrivain souterrain de Roland Dubillard, Le Mot de Victor Hugo
•
production Fimalac Culture, Richard Caillat – Arts Live Entertainment, en accord avec le Théâtre des Bouffes Parisiens et le Théâtre Montansier
On ne présente plus l’immense acteur, on reconnaîtrait sa silhouette entre mille et sa voix est devenue l’une des plus familière du cinéma et du théâtre français. André Dussollier est l’acteur qui cumule depuis ses débuts les plus grandes distinctions dont deux César de Meilleur acteur dans un second rôle pour Un cœur en hiver en 1992 et La Chambre des officiers en 2000, ainsi qu’un César du Meilleur acteur pour On connaît la chanson en 1998. En 2015, après quatre nominations, il reçoit le Molière du Meilleur comédien pour le spectacle Novecento. Il est l’acteur qui affiche au cinéma l’une des plus belles filmographies, ayant tourné avec les plus grands et joué dans plus de cent films, incarnant par ses rôles de composition une multitude de personnages incroyables. On pense à la comédie culte Trois hommes et un couffin de Coline Serreau (1984), à Tanguy d’Etienne Chatiliez (2001), aux films d’Alain Resnais l’Amour à mort (1984), Mélo (1986), On connaît la chanson (1997), Cœurs (2006), Les herbes folles (2009), aux films de Jean Becker Les enfants du marais (1998), Un crime au paradis (2000), Effroyables jardins (2002), de Claude Sautet Un cœur en hiver (1991), d’Eric Rohmer Perceval (1980), Le beau mariage (1981), de Jean-Pierre Jeunet (on se souvient notamment de la voix du Fabuleux destin d’Amélie Poulain en 2000), de Pascal Thomas Mon petit doigt m’a dit (2004), Le crime est notre affaire (2008), Associés contre le crime (2011), de Bertrand Blier Les acteurs (1999), de François Dupeyron La Chambre des officiers (2000), de Marc Dugain Une exécution ordinaire (2009), de Guillaume Canet Ne le dis à personne (2005), d’Olivier Marchal 36 quai des orfèvres (2004), de Jacques Doillon Pour un oui ou pour un non (1988), de Claude Lelouch Toute une vie (1973), de François Truffaut Une belle fille comme moi (1972), d’Ettore Scola Un jeune homme pauvre (1995), de Volker Schlöndorff Diplomatie (2012), de Paolo et Vittorio Taviani Le mas des Alouettes (2007), de Yann Gozlan Boîte noire (2021), ou encore de François Ozon Tout s’est bien passé (2021), Mon Crime (2023). Son amour du théâtre ne l’a jamais quitté, c’est d’ailleurs là, très tôt, à la Comédie-Française, qu’il a connu ses premiers grands succès. Puis ce fut aussi, entre autres, Par-dessus bord de Michel Vinaver, La Mouette d’Anton Tchekhov, Scènes de la vie conjugale d’Ingmar Bergman, Le chemin solitaire d’Arthur Schnitzler, La chèvre, ou qui est Sylvia ? d’Edward Albee, Love de Murray Schisgal, Trahisons d’Harold Pinter, Diplomatie de Cyril Gély et Les athlètes dans leur tête de Paul Fournel, Novecento d’Alessandro Baricco jusqu’à aujourd’hui avec son nouvel opus Sens dessus dessous, spectacle qu’il a également mis en scène. C’est là toujours qu’entre deux tournages il vient se ressourcer, puiser son énergie dans cette proximité physique avec le public, avec son public.
« André Dussollier pratique l’élégance, la retenue, la sobriété. Modèle de classe et d’aisance, enchainant drôlerie et gravité, il fait l’éloge du besoin vital de la littérature dans sa forme accomplie, l’incarnation. »
Le Croix Hebdo, 13 JAN. 2023
« Il enivre le public. »
Le Figaro, 9 JAN. 2023
« Dussollier est magique. »
Télérama, Fabienne Pascaud, 24 JAN. 2023
« Tout simplement génial. »
Télérama Sortir, 1ER FEV. 2023
« L’aventure André Dussollier. »
TÉLÉMATIN – FRANCE 2
« SENS DESSUS DESSOUS : la célébration de la langue et de l’esprit. »
FRANCE INTER
« Une folle élégance. »
Le masque et la plume, Fabienne Pascaud
« Grand virtuose, il est merveilleux comme d’habitude. »
Le masque et la plume, Jacques Nerson
« Quel plaisir (…). L’humour, la puissance, la subtilité, la gravité et le plaisir, c’est ce qu’on découvre avec SENS DESSUS DESSOUS. »
Europe 1
Distribution Crédits
conception et réalisation André Dussollier
collaboration artistique Catherine D’At
avec André Dussollier
scénographie, vidéo Sébastien Mizermont – VLB
lumières Laurent Castaing
illustration sonore Cyril Giroux
accessoires Pauline Stern
textes dans l’ordre d’apparition Un soir quand on est seul de Sacha Guitry, Tragédie classique et Douceur de Roland Dubillard, Sens dessus dessous de Raymond Devos, Le Crapaud de Victor Hugo, Enivrez-vous de Charles Beaudelaire, Le poème du Vicaire d’André Fréderic, Le mot et la chose de Gabriel Charles Abbé de Lattaignant, La pénitence est douce de Léon Vilbert, Pour le sable comme pour la femme, il y a une finesse qui est perfidie de Victor Hugo, Extrait de la publication dans le Figaro du discours prononcé par Michel Houellebecq à l’université Kore d’Enna, À un auteur d’André Frédéric, Musique de placard de Roland Dubillard, Le dernier Nabab d’Elia Kazan, Vœux présidentiels, Le Lanceur de Paul Fournel, Montage d’Un soir quand on est seul, Hernani, Ruy Blas de Sacha Guitry, Victor Hugo et André Dussollier, Monstres sacrés et L’écrivain souterrain de Roland Dubillard, Le Mot de Victor Hugo
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production Fimalac Culture, Richard Caillat – Arts Live Entertainment, en accord avec le Théâtre des Bouffes Parisiens et le Théâtre Montansier
Biographie
On ne présente plus l’immense acteur, on reconnaîtrait sa silhouette entre mille et sa voix est devenue l’une des plus familière du cinéma et du théâtre français. André Dussollier est l’acteur qui cumule depuis ses débuts les plus grandes distinctions dont deux César de Meilleur acteur dans un second rôle pour Un cœur en hiver en 1992 et La Chambre des officiers en 2000, ainsi qu’un César du Meilleur acteur pour On connaît la chanson en 1998. En 2015, après quatre nominations, il reçoit le Molière du Meilleur comédien pour le spectacle Novecento. Il est l’acteur qui affiche au cinéma l’une des plus belles filmographies, ayant tourné avec les plus grands et joué dans plus de cent films, incarnant par ses rôles de composition une multitude de personnages incroyables. On pense à la comédie culte Trois hommes et un couffin de Coline Serreau (1984), à Tanguy d’Etienne Chatiliez (2001), aux films d’Alain Resnais l’Amour à mort (1984), Mélo (1986), On connaît la chanson (1997), Cœurs (2006), Les herbes folles (2009), aux films de Jean Becker Les enfants du marais (1998), Un crime au paradis (2000), Effroyables jardins (2002), de Claude Sautet Un cœur en hiver (1991), d’Eric Rohmer Perceval (1980), Le beau mariage (1981), de Jean-Pierre Jeunet (on se souvient notamment de la voix du Fabuleux destin d’Amélie Poulain en 2000), de Pascal Thomas Mon petit doigt m’a dit (2004), Le crime est notre affaire (2008), Associés contre le crime (2011), de Bertrand Blier Les acteurs (1999), de François Dupeyron La Chambre des officiers (2000), de Marc Dugain Une exécution ordinaire (2009), de Guillaume Canet Ne le dis à personne (2005), d’Olivier Marchal 36 quai des orfèvres (2004), de Jacques Doillon Pour un oui ou pour un non (1988), de Claude Lelouch Toute une vie (1973), de François Truffaut Une belle fille comme moi (1972), d’Ettore Scola Un jeune homme pauvre (1995), de Volker Schlöndorff Diplomatie (2012), de Paolo et Vittorio Taviani Le mas des Alouettes (2007), de Yann Gozlan Boîte noire (2021), ou encore de François Ozon Tout s’est bien passé (2021), Mon Crime (2023). Son amour du théâtre ne l’a jamais quitté, c’est d’ailleurs là, très tôt, à la Comédie-Française, qu’il a connu ses premiers grands succès. Puis ce fut aussi, entre autres, Par-dessus bord de Michel Vinaver, La Mouette d’Anton Tchekhov, Scènes de la vie conjugale d’Ingmar Bergman, Le chemin solitaire d’Arthur Schnitzler, La chèvre, ou qui est Sylvia ? d’Edward Albee, Love de Murray Schisgal, Trahisons d’Harold Pinter, Diplomatie de Cyril Gély et Les athlètes dans leur tête de Paul Fournel, Novecento d’Alessandro Baricco jusqu’à aujourd’hui avec son nouvel opus Sens dessus dessous, spectacle qu’il a également mis en scène. C’est là toujours qu’entre deux tournages il vient se ressourcer, puiser son énergie dans cette proximité physique avec le public, avec son public.
La presse en parle
« André Dussollier pratique l’élégance, la retenue, la sobriété. Modèle de classe et d’aisance, enchainant drôlerie et gravité, il fait l’éloge du besoin vital de la littérature dans sa forme accomplie, l’incarnation. »
Le Croix Hebdo, 13 JAN. 2023
« Il enivre le public. »
Le Figaro, 9 JAN. 2023
« Dussollier est magique. »
Télérama, Fabienne Pascaud, 24 JAN. 2023
« Tout simplement génial. »
Télérama Sortir, 1ER FEV. 2023
« L’aventure André Dussollier. »
TÉLÉMATIN – FRANCE 2
« SENS DESSUS DESSOUS : la célébration de la langue et de l’esprit. »
FRANCE INTER
« Une folle élégance. »
Le masque et la plume, Fabienne Pascaud
« Grand virtuose, il est merveilleux comme d’habitude. »
Le masque et la plume, Jacques Nerson
« Quel plaisir (…). L’humour, la puissance, la subtilité, la gravité et le plaisir, c’est ce qu’on découvre avec SENS DESSUS DESSOUS. »
Europe 1