L’AMOUR EST UN CRIME PARFAIT
CINÉ-CONCERT
JEAN-MARIE & ARNAUD LARRIEU • CARAVAGGIO
SAMUEL SIGHICELLI
Le quatuor Caravaggio a composé la bande originale de L’Amour est un crime parfait, film de Jean-Marie et Arnaud Larrieu sorti en 2014. Un ciné-concert sur fond de thriller fantasmagorique réalisé d’après le roman Incidences de Philippe Djian.
Décors neigeux, intrigue diabolique, polar hyper maîtrisé, l’art de la mise en scène des frères Larrieu désarçonne avec délice le spectateur. Les quatre musiciens virtuoses de Caravaggio prolongent l’aventure dans une version live qui tend vers l’expérience musicale et cinématographique inédite. Quand la musique renforce l’atmosphère d’incertitude et de chute intérieure. Passionnant.
TARIF B
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
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TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
|||||
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
|||||
TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
film Arnaud et Jean-Marie Larrieu
groupe de musique Caravaggio
basse, contrebasse, électronique Bruno Chevillon
batterie, percussions Éric Echampard
violon, guitare électrique ténor, mandocaster, électronique Benjamin de la Fuente
orgue Hammond, synthétiseur, sampler, Fender Rhodes Samuel Sighicelli
son Sylvain Thévenard
et avec la collaboration d’Arnaud et Jean-Marie Larrieu, réalisateurs du film
production déléguée Sphota, coopérative d’invention musicalecoproduction Festival d’altitude Jazz à Luz
_
en partenariat avec le Conservatoire à Rayonnement Régional d’Annecy et des Pays de Savoie, dans le cadre du festival Sons d’Automne
avec l’aide à la résidence Sacem / DGCA
Depuis 2004, le groupe Caravaggio développe une musique hybride, puisant son inspiration dans le rock, la musique savante, la musique électronique ou le jazz contemporain, en se refusant d’appartenir à une seule esthétique afin de préserver sa liberté et surtout de mettre en avant la jouissance d’une intégration de plusieurs langages dans les contrastes, les correspondances ou les surimpressions. La musique de Caravaggio reflète la multiplicité et la complexité du monde contemporain, allant de paire avec une fascination pour le cinéma et sa capacité d’invention d’espaces, de rythmes et de collisions.Formé de quatre musiciens dont deux compositeurs instrumentistes issus de la filière classique-contemporaine (Benjamin de la Fuente et Samuel Sighicelli), et deux instrumentistes ayant marqué de leur empreinte le jazz européen depuis les années 90 (Bruno Chevillon et Eric Echampard), le groupe compose collectivement à partir d’un instrumentarium hérité du rock mais ouvert en permanence sur l’électronique (sampler, traitements du son, pad…) et les instruments classiques (violon, contrebasse, percussions d’orchestre, piano…).Cette palette de couleurs, ces espaces, ces rythmes et ces collisions sont le terrain sur lequel Caravaggio bâtit sa musique. Une musique qui veut embarquer l’auditeur sur les pistes fascinantes et parfois inquiétantes menant là où bat le cœur de la modernité.
« On voit un autre film, explique Jean-Marie Larrieu. Et c’est passionnant, on voit beaucoup de choses qui passent inaperçues dans le jeu des acteurs, le cadre. On voit la mise en scène. Et cela casse l’idée du film définitif, ça le remet en mouvement, c’est très vivant, on revient à la source, au moment où le film se fait. Mais ce n’est possible que parce que ce sont de grands musiciens. »
Ouest France, Daniel Morvan, 10 SEPT. 2015
Distributions Crédits
film Arnaud et Jean-Marie Larrieu
groupe de musique Caravaggio
basse, contrebasse, électronique Bruno Chevillon
batterie, percussions Éric Echampard
violon, guitare électrique ténor, mandocaster, électronique Benjamin de la Fuente
orgue Hammond, synthétiseur, sampler, Fender Rhodes Samuel Sighicelli
son Sylvain Thévenard
et avec la collaboration d’Arnaud et Jean-Marie Larrieu, réalisateurs du film
production déléguée Sphota, coopérative d’invention musicalecoproduction Festival d’altitude Jazz à Luz
_
en partenariat avec le Conservatoire à Rayonnement Régional d’Annecy et des Pays de Savoie, dans le cadre du festival Sons d’Automne
avec l’aide à la résidence Sacem / DGCA
Biographie
Depuis 2004, le groupe Caravaggio développe une musique hybride, puisant son inspiration dans le rock, la musique savante, la musique électronique ou le jazz contemporain, en se refusant d’appartenir à une seule esthétique afin de préserver sa liberté et surtout de mettre en avant la jouissance d’une intégration de plusieurs langages dans les contrastes, les correspondances ou les surimpressions. La musique de Caravaggio reflète la multiplicité et la complexité du monde contemporain, allant de paire avec une fascination pour le cinéma et sa capacité d’invention d’espaces, de rythmes et de collisions.Formé de quatre musiciens dont deux compositeurs instrumentistes issus de la filière classique-contemporaine (Benjamin de la Fuente et Samuel Sighicelli), et deux instrumentistes ayant marqué de leur empreinte le jazz européen depuis les années 90 (Bruno Chevillon et Eric Echampard), le groupe compose collectivement à partir d’un instrumentarium hérité du rock mais ouvert en permanence sur l’électronique (sampler, traitements du son, pad…) et les instruments classiques (violon, contrebasse, percussions d’orchestre, piano…).Cette palette de couleurs, ces espaces, ces rythmes et ces collisions sont le terrain sur lequel Caravaggio bâtit sa musique. Une musique qui veut embarquer l’auditeur sur les pistes fascinantes et parfois inquiétantes menant là où bat le cœur de la modernité.
La presse en parle
« On voit un autre film, explique Jean-Marie Larrieu. Et c’est passionnant, on voit beaucoup de choses qui passent inaperçues dans le jeu des acteurs, le cadre. On voit la mise en scène. Et cela casse l’idée du film définitif, ça le remet en mouvement, c’est très vivant, on revient à la source, au moment où le film se fait. Mais ce n’est possible que parce que ce sont de grands musiciens. »
Ouest France, Daniel Morvan, 10 SEPT. 2015