Думи мої / Dumy Moyi
ANNULÉ

Revoir enfin Dumy Moyi (Mes pensées en ukrainien) ou avoir la chance de le découvrir, le bonheur reste entier ! Majestueux et solennel, François Chaignaud s’avance, somptueusement harnaché de plumes, paré de rutilants colifichets. Immense d’isolement, il déploie un solo inspiré et total, entre cérémonie rituelle et music-hall miniature. Un moment hors du monde. Inoubliable !

Dans son rite singulier, où le chant fait naître la danse, François Chaignaud est un chaman puissant. Inspiré par les cérémonies indiennes, alternant chants ukrainien, philippin ou séphardique, il offre un récital-voyage, chatoyant kaléidoscope ouvert à toutes les lectures. Il nous entraîne dans une série de métamorphoses hypnotiques pour une immersion profonde au cœur d’une forme de sacré. Se laisser saisir par la profondeur du chant, la fascination du costume ou le magnétisme de la présence… et jouir de la délicatesse et de la démesure. Une expérience incroyable !

Saison 20/21

ANNULÉ

MER.10 MARS
À 19H, 20H30 ET 22H
DURÉE 35 MIN
LIEUPETITE SALLE

TARIF C

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
TS 36 29 29 25 18  €
A 29 24 24 14 10  €
B 23 18 18 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Téthys
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause
(10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €)
TBG Tarif Le Brise Glace
(23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €)

conception et interprétation François Chaignaud
costumes Romain Brau
conception lumières Philippe Gladieux
régie générale Anthony Merlaud
conseil musical Jérôme Marin
adaptations / chef de chant Antoine Bernollin
mixage son Jean-Michel Olivares
administration, production Garance Roggero, Jeanne Lefèvre, Clémentine Rougier, Léa Turner
diffusion Sarah de Ganck/ART HAPPENS
remerciements Viktor Ruban, Cecilia Bengolea, Christelle Hano, Philippe Laboual, Philippe Blanc, Pascal Quéneau

 

 

production déléguée VLOVAJOB PRU

 

Vlovajob Pru est subventionnée par le Ministère de la Culture (DRAC Auvergne-Rhône-Alpes) et reçoit le soutien de l’Institut français pour certains de ses projets à l’étranger

 

François Chaignaud et Cecilia Bengolea sont artistes associés à Bonlieu Scène nationale Annecy

 

coproduction Festival Montpellier Danse 2013, Festival d’Automne à Paris, Centre de Développement Chorégraphique Toulouse / Midi-Pyrénées, Gessnerallee Zürich, deSingel Internationale Kunstcampus (Anvers), Ménagerie de Verre (dans le cadre du Studiolab, laboratoire de recherche)

Думи мої se prononce Dumy Moyi

Né à Rennes, François Chaignaud étudie la danse depuis l’âge de 6 ans. Il est diplômé en 2003 du Conservatoire National Supérieur de Danse de Paris et collabore ensuite auprès de plusieurs chorégraphes, notamment Boris Charmatz, Emmanuelle Huynh, Alain Buffard et Gilles Jobin. Depuis He’s One that Goes to Sea for Nothing but to Make him sick (2004) jusqu’à  Думи мої (2013), il crée des performances dans lesquelles s’articulent danses et chants, dans les lieux les plus divers à la croisée de différentes inspirations. S’y dessinent la possibilité d’un corps tendu entre l’exigence sensuelle du mouvement et la puissance d’évocation du chant, et la convergence de références historiques hétérogènes – de la littérature érotique (Aussi Bien Que Ton Cœur Ouvre Moi Les Genoux, 2008) aux arts sacrés. Ses terrains de recherche s’étendent des précurseurs de la modernité chorégraphique du début du XXe siècle (François Malkovsky, Isadora Duncan) aux avant-gardes actuelles, et des techniques et symboliques du ballet classique aux danses urbaines et non scéniques. Également historien, il a publié aux PUR L’Affaire Berger-Levrault : le féminisme à l’épreuve (1898-1905). Cette curiosité historique le conduit à initier des collaborations diverses, notamment avec la légendaire drag queen Rumi Missabu des Cockettes, le cabarettiste Jérôme Marin (Sous l’ombrelle, en 2011, qui ravive des mélodies oubliées du début du XXe siècle), l’artiste Marie Caroline Hominal (Duchesses, 2009), les couturiers Romain Brau et Charlie Le Mindu, le plasticien Théo Mercier (Radio Vinci Park, 2016, accueilli à Bonlieu), le musicien Nosfell (Icônes, 2016), le photographe Donatien Veismann ou encore le vidéaste César Vayssié. En 2017 il collabore à de nombreux projets, notamment avec l’artiste Brice Dellsperger pour Body Double 35, ou la réouverture du cabaret Madame Arthur.
À l’occasion de La Bâtie-Festival de Genève 2017 François Chaignaud crée en collaboration avec l’artiste Nino Laisné Romances inciertos, un autre Orlando, spectacle autour des motifs de l’ambiguïté de genre dans le répertoire chorégraphique et vocal ibérique présenté lors de la 72e édition du festival d’Avignon, et accueilli à Bonlieu. En mai 2018 il crée également Soufflette, que l’on accueille cette saison à Bonlieu, une pièce pour le Ballet Carte Blanche (Norvège) en collaboration avec le couturier Romain Brau.
En mai 2019 a eu lieu au Kunstenfestivaldesarts à Bruxelles la première de Symphonia Harmoniæ Cælesitum Revelationum, une recherche sur le chant chrétien antique et autour du répertoire d’Hildegarde de Bingen en collaboration avec Marie-Pierre Brébant. Pour ses futurs projets, François Chaignaud collaborera notamment avec Akaji Maro, Dominique Brun et l’orchestre Les Siècles et imagine une nouvelle coopération avec Geoffroy Jourdain et l’ensemble vocal Les Cris de Paris.

« Dumi Moyi est une revue de poche aux effets maximaux. Emplumé, le danseur François Chaignaud se réincarne en divinité indienne avec une touche excentrique presque burlesque. Il raconte avoir assisté à des cérémonies sacrées de theyyam en Inde et en avoir tiré un fil jusqu’à la danse moderne. Un éblouissement magnifié par le Come away de John Dowland que Chaignaud fredonne avant de disparaître. »
Les Inrockuptibles, Philippe Noisette, 17 JUIL. 13

À voir aussi

Distributions Crédits

conception et interprétation François Chaignaud
costumes Romain Brau
conception lumières Philippe Gladieux
régie générale Anthony Merlaud
conseil musical Jérôme Marin
adaptations / chef de chant Antoine Bernollin
mixage son Jean-Michel Olivares
administration, production Garance Roggero, Jeanne Lefèvre, Clémentine Rougier, Léa Turner
diffusion Sarah de Ganck/ART HAPPENS
remerciements Viktor Ruban, Cecilia Bengolea, Christelle Hano, Philippe Laboual, Philippe Blanc, Pascal Quéneau

 

 

production déléguée VLOVAJOB PRU

 

Vlovajob Pru est subventionnée par le Ministère de la Culture (DRAC Auvergne-Rhône-Alpes) et reçoit le soutien de l’Institut français pour certains de ses projets à l’étranger

 

François Chaignaud et Cecilia Bengolea sont artistes associés à Bonlieu Scène nationale Annecy

 

coproduction Festival Montpellier Danse 2013, Festival d’Automne à Paris, Centre de Développement Chorégraphique Toulouse / Midi-Pyrénées, Gessnerallee Zürich, deSingel Internationale Kunstcampus (Anvers), Ménagerie de Verre (dans le cadre du Studiolab, laboratoire de recherche)

Думи мої se prononce Dumy Moyi

Biographie

Né à Rennes, François Chaignaud étudie la danse depuis l’âge de 6 ans. Il est diplômé en 2003 du Conservatoire National Supérieur de Danse de Paris et collabore ensuite auprès de plusieurs chorégraphes, notamment Boris Charmatz, Emmanuelle Huynh, Alain Buffard et Gilles Jobin. Depuis He’s One that Goes to Sea for Nothing but to Make him sick (2004) jusqu’à  Думи мої (2013), il crée des performances dans lesquelles s’articulent danses et chants, dans les lieux les plus divers à la croisée de différentes inspirations. S’y dessinent la possibilité d’un corps tendu entre l’exigence sensuelle du mouvement et la puissance d’évocation du chant, et la convergence de références historiques hétérogènes – de la littérature érotique (Aussi Bien Que Ton Cœur Ouvre Moi Les Genoux, 2008) aux arts sacrés. Ses terrains de recherche s’étendent des précurseurs de la modernité chorégraphique du début du XXe siècle (François Malkovsky, Isadora Duncan) aux avant-gardes actuelles, et des techniques et symboliques du ballet classique aux danses urbaines et non scéniques. Également historien, il a publié aux PUR L’Affaire Berger-Levrault : le féminisme à l’épreuve (1898-1905). Cette curiosité historique le conduit à initier des collaborations diverses, notamment avec la légendaire drag queen Rumi Missabu des Cockettes, le cabarettiste Jérôme Marin (Sous l’ombrelle, en 2011, qui ravive des mélodies oubliées du début du XXe siècle), l’artiste Marie Caroline Hominal (Duchesses, 2009), les couturiers Romain Brau et Charlie Le Mindu, le plasticien Théo Mercier (Radio Vinci Park, 2016, accueilli à Bonlieu), le musicien Nosfell (Icônes, 2016), le photographe Donatien Veismann ou encore le vidéaste César Vayssié. En 2017 il collabore à de nombreux projets, notamment avec l’artiste Brice Dellsperger pour Body Double 35, ou la réouverture du cabaret Madame Arthur.
À l’occasion de La Bâtie-Festival de Genève 2017 François Chaignaud crée en collaboration avec l’artiste Nino Laisné Romances inciertos, un autre Orlando, spectacle autour des motifs de l’ambiguïté de genre dans le répertoire chorégraphique et vocal ibérique présenté lors de la 72e édition du festival d’Avignon, et accueilli à Bonlieu. En mai 2018 il crée également Soufflette, que l’on accueille cette saison à Bonlieu, une pièce pour le Ballet Carte Blanche (Norvège) en collaboration avec le couturier Romain Brau.
En mai 2019 a eu lieu au Kunstenfestivaldesarts à Bruxelles la première de Symphonia Harmoniæ Cælesitum Revelationum, une recherche sur le chant chrétien antique et autour du répertoire d’Hildegarde de Bingen en collaboration avec Marie-Pierre Brébant. Pour ses futurs projets, François Chaignaud collaborera notamment avec Akaji Maro, Dominique Brun et l’orchestre Les Siècles et imagine une nouvelle coopération avec Geoffroy Jourdain et l’ensemble vocal Les Cris de Paris.

La presse en parle

« Dumi Moyi est une revue de poche aux effets maximaux. Emplumé, le danseur François Chaignaud se réincarne en divinité indienne avec une touche excentrique presque burlesque. Il raconte avoir assisté à des cérémonies sacrées de theyyam en Inde et en avoir tiré un fil jusqu’à la danse moderne. Un éblouissement magnifié par le Come away de John Dowland que Chaignaud fredonne avant de disparaître. »
Les Inrockuptibles, Philippe Noisette, 17 JUIL. 13

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