AL FONDO RIELA
(LO OTRO DEL UNO)

Star absolue du flamenco contemporain, l’imprévisible et flamboyante Rocío Molina reprend le chemin de la tradition pour interroger les fondamentaux de son art. Guitares déliées et claquement sec du corps percussif pour ce retour aux sources d’une précision hautement virtuose. Une danse sans âge qui s’inscrit dans le présent de la vie… la danse d’une reine !

Flamenca jusqu’au bout de l’âme, Rocío Molina tutoie la grâce et la fureur, affolant depuis quinze ans tous les compteurs de la danse. Dans Al fondo riela, dont la pureté est le maître mot, elle explore un large champ polyphonique et gestuel en dialogue avec deux instrumentistes. L’intelligence ingénue de la guitare de Yerai Cortés et celle, onirique et tragique, d’Eduardo Trassierra s’interpellent, bâtissent un récit commun nourri d’harmoniques subtils et tendent le lien infime de l’écoute. Sur ce fil se construit la danse savante et brute de Rocío Molina. Fusion des arts, absorption de l’autre, polyphonie heureuse : tous partent en quête de la source initiale, se défont des acquis, renoncent à l’artifice pour se vouer pleinement à l’authenticité du geste. Un flamenco absolu, du grand art !

Saison 22/23
MAR.28 FÉV. ET MER.1ER MARS
À 20H30
DURÉE 1H10
LIEUGRANDE SALLE

TARIF A

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
TS 36 29 29 25 18  €
A 29 24 24 14 10  €
B 23 18 18 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Téthys
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TAS Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause
(10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €)
TBG Tarif Le Brise Glace
(23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €)

idée originale, direction artistique
et chorégraphie Rocío Molina
composition originale Eduardo Trassiera et Yerai Cortés
développement du concept Nerea Galán
direction artistique Julia Valencia
scénographie Antonio Serrano, Julia Valencia, Rocío Molina
conception lumière, animations et projections Antonio Serrano
conception sonore Javier Álvarez
conception costumes Julia Valencia
confection costumes López de Santos
fabrication du sombrero Benjamín Bulnes
fabrication de garde-robe en lycra Maty
chaussures Gallardo Dance
gants Guanterías
régie María Agar Martínez
texte du programme Nerea Galán

avec Rocío Molina, et aux guitares Eduardo Trassiera et Yerai Cortés direction technique Carmen Mori
technicien lumières Rafael Gómez
régie son Javier Álvarez
régie générale María Agar Martínez

 

 

direction générale et gestion de la production El Mandaito Producciones S.L.
production Danza Molina S.L.
coproduction Chaillot – Théâtre national de la Danse, Paris, Teatros del Canal – Comunidad de Madrid, Biennale de Flamenco de Séville, Théâtre de Nîmes – Scène conventionnée d’intérêt national – art et création – Danse Contemporaine, Scène Nationale du Sud-Aquitain
avec la collaboration du Teatro Cervantes de Málaga

 

avec le soutien du INAEM – Instituto Nacional de las Artes Escénicas
y de la Música

 

Rocío Molina a été artiste associée à Chaillot – Théâtre national de la Danse jusqu’à 2021.

 

 

Chorégraphe iconoclaste, Rocío Molina a forgé un langage qui lui est propre à partir de la tradition réinventée d’un flamenco qui respecte ses origines tout en embrassant les avant-gardes. Radicalement libre, elle allie dans ses pièces virtuosité technique, recherche contemporaine et risque conceptuel. Sans craindre de tisser des alliances avec d’autres disciplines et d’autres artistes, ses chorégraphies sont des événements scéniques singuliers nourris d’idées et de formes qui vont du cinéma à la littérature, en passant par la philosophie et la peinture. Créatrice inapaisée, Rocío Molina est née à Malaga en 1984. Elle n’a que trois ans quand elle commence à danser et sept ans lorsqu’elle ébauche ses premières chorégraphies. Elle en a dix-sept quand elle obtient, avec les félicitations du jury, son diplôme du Conservatoire royal de danse de Madrid. Elle est aussitôt engagée dans des compagnies professionnelles pour des tournées internationales. À vingt-deux ans, elle crée Entre paredes. Une première pièce suivie de plusieurs créations qui ont en commun un regard curieux et transgresseur sur un art flamenco qui refuse d’emprunter les chemins habituels, de marcher sur les traces des autres : El eterno retorno (2006), Turquesa como el limón (2006), Almario (2007), Por el decir de la gente (2007), Oro viejo (2008), Cuando las piedras vuelen (2009), Vinática (2010), Danzaora y vinática (2011), Afectos (2012), Bosque Ardora (2014), Caída del Cielo (2016) et Grito Pelao (2018). Elle a vingt-six ans quand le ministère de la Culture espagnol lui décerne le Premio Nacional de Danza (Prix national de danse) pour « son apport au renouvellement de l’art flamenco, sa capacité d’adaptation et sa puissance d’interprétation, qui lui permettent d’aborder librement et avec audace les registres les plus variés ». Deux ans plus tard, Mikhaïl Barychnikov s’agenouille à ses pieds devant la porte de sa loge du New York City Center, à l’issue du succès retentissant de la représentation de Oro viejo. Depuis 2014, elle est artiste associée au Théâtre national de Chaillot, à Paris, où en novembre 2016 elle a créé Caída del Cielo, accueilli à Bonlieu en mai 2019. Elle crée au Festival d’Avignon en Juillet 2018, Grito Pelao, qu’elle dirige avec la chanteuse Sílvia Pérez Cruz et Carlos Marquerie. Danseuse aux multiples facettes, Rocío Molina est l’une des artistes espagnoles les plus renommées à l’étranger. Ses pièces ont été présentées dans des théâtre et des festivals tels que le Festival d’Avignon, le Barbican Center de Londres, le New York City Center, l’Esplanade de Singapour, le Festival Tanz Im August à Berlin, le Festival SPAF de Séoul, le Théâtre Stanislavsky de Moscou, le Théâtre National de Taiwan, le Dansens Hus de Oslo ou Stokholm, le Transamériques de Montréal, le Théâtre National de Chaillot ou le Bunkamura de Tokyo ; et en Espagne au Teatro Español ou Teatros del Canal de Madrid, la Bienal de Flamenco ou Teatro Central de Sevilla, le Mercat de les Flors de Barcelona, le Cervantes à Málaga…pour n’en citer que quelqu’uns. Durant sa carrière, elle a collaboré avec de grandes figures du flamenco espagnol tels que María Pagés, Miguel Poveda, Antonio Canales et Israel Galván, et avec des figures de la création contemporaine comme Carlos Marquerie, Mateo Feijóo et Jean Paul Goude (création d’un événement pour la marque Hermes à Shanghai en juin 2017). Sa recherche artistique a été récompensée par de nombreux prix, en Espagne et à l’étranger : Prix Lion d’argent de la danse 2022 de la Biennale de Venise, Premio Nacional de Danza 20210, Prix Max 2019 meilleure performance de danse pour Grito Pelao, 2019 Prix national de la danse du Royaume-Uni pour la « meilleure danseuse contemporaine », 2018 Nomination aux Olivier Awards (Londres) pour Caída del Cielo, Premio Max 2017 (meilleure chorégraphie et meilleure danseuse pour Caída del Cielo), Premio Max 2015 (meilleure chorégraphie pour Bosque Ardora), Premio Mejor Bailaora de la Biennale de Séville, Medalla de Oro de Málaga, Prix spécial aux Dance National British Awards en 2016. Elle a reçu les applaudissements unanimes du public et de la critique : « une danseuse surdouée et intelligente » (El Mundo), « la puissance nucléaire au cœur de l’atome » (Standard), « un talent né qui puise au plus profond » (El País), « l’urgence de la passion incarnée, incandescente, qui prend possession du corps et le fait bouger, le transporte, spasme après spasme, et l’emplit de rage et de beauté » (La Vanguardia), « l’une des meilleures danseuses de flamenco que j’aie jamais vues » (The New York Times), « une interprète radicale des traditions qui s’exprime sous le signe graphique de la contemporanéité », «une force avec laquelle il faut compter, dans l’art et dans la vie», « sa puissance innée, transcendée à travers un corps volcanique » (La Biennale de Venise).

« Trois guitares pour la danse infinie de Rocío. La malagueña fait sensation dans cet extrait de la trilogie pour guitares. »
El País, Fírmin Lobatón

 

« Techniquement impeccable, tant à la danse qu’à la guitare. »
Diaro de Sevilla, Juan Vergillos

 

« Si la nature dansait, ce serait Rocío Molina. Si les nuages, les oiseaux, les rochers, les eaux calmes ou les vagues furieuses voulaient se manifester physiquement, ils le feraient à travers elle. En effet, comme elle l’a montré dans la Trilogie pour guitares créé à la Biennale de Séville, la danseuse est capable de faire le vide dans son corps et de se défaire de sa conscience – mais pas de sa mémoire – pour devenir un sujet qui incarne et résume le monde. »
DeFlamenco, Sara Arguijo

 

« Au-delà de son excellence de bailaora, Molina introduit une dimension théâtrale du jeu et des silences, une présence sensible et un dialogue des sensations, pour offrir au public comme à elle-même une palette élargie des émotions. Et ça change tout ! »
Transfuge, Thomas Hahn, NOV. 21

 

« Au Théâtre de Chaillot, la danseuse et chorégraphe espagnole convoque un trio de guitaristes pour mettre en musique sa danse. Son flamenco incandescent n’est ni d’hier ni de demain. Il est dans le présent de la vie. Du grand art. »
Les Échos, Philippe Noisette, NOV. 21

 

« À Chaillot, la danseuse et chorégraphe revient au plus pur du flamenco. Pour un spectacle curieusement sage et d’une beauté parfaite. »
Le Figaro, Ariane Bavelier, 22 NOV. 21

 

« C’est un joyau nouveau en matière de flamenco qui a été dévoilé sur le plateau de la Salle Jean Vilar, à Chaillot. La Rocío Molina nouvelle est arrivée, drapée d’un blanc immaculé qui annonce un retour aux sources. La scène, le costume, la musique et même sa danse – bref, tout ce qui fait un récital chorégraphique flamenca – était d’une transparence originelle, tel le signe d’un nouveau départ, à la scène comme à la ville. »
sceneweb.fr, Thomas Hahn, 22 NOV. 21

À voir aussi

Distributions Crédits

idée originale, direction artistique
et chorégraphie Rocío Molina
composition originale Eduardo Trassiera et Yerai Cortés
développement du concept Nerea Galán
direction artistique Julia Valencia
scénographie Antonio Serrano, Julia Valencia, Rocío Molina
conception lumière, animations et projections Antonio Serrano
conception sonore Javier Álvarez
conception costumes Julia Valencia
confection costumes López de Santos
fabrication du sombrero Benjamín Bulnes
fabrication de garde-robe en lycra Maty
chaussures Gallardo Dance
gants Guanterías
régie María Agar Martínez
texte du programme Nerea Galán

avec Rocío Molina, et aux guitares Eduardo Trassiera et Yerai Cortés direction technique Carmen Mori
technicien lumières Rafael Gómez
régie son Javier Álvarez
régie générale María Agar Martínez

 

 

direction générale et gestion de la production El Mandaito Producciones S.L.
production Danza Molina S.L.
coproduction Chaillot – Théâtre national de la Danse, Paris, Teatros del Canal – Comunidad de Madrid, Biennale de Flamenco de Séville, Théâtre de Nîmes – Scène conventionnée d’intérêt national – art et création – Danse Contemporaine, Scène Nationale du Sud-Aquitain
avec la collaboration du Teatro Cervantes de Málaga

 

avec le soutien du INAEM – Instituto Nacional de las Artes Escénicas
y de la Música

 

Rocío Molina a été artiste associée à Chaillot – Théâtre national de la Danse jusqu’à 2021.

 

 

Biographie

Chorégraphe iconoclaste, Rocío Molina a forgé un langage qui lui est propre à partir de la tradition réinventée d’un flamenco qui respecte ses origines tout en embrassant les avant-gardes. Radicalement libre, elle allie dans ses pièces virtuosité technique, recherche contemporaine et risque conceptuel. Sans craindre de tisser des alliances avec d’autres disciplines et d’autres artistes, ses chorégraphies sont des événements scéniques singuliers nourris d’idées et de formes qui vont du cinéma à la littérature, en passant par la philosophie et la peinture. Créatrice inapaisée, Rocío Molina est née à Malaga en 1984. Elle n’a que trois ans quand elle commence à danser et sept ans lorsqu’elle ébauche ses premières chorégraphies. Elle en a dix-sept quand elle obtient, avec les félicitations du jury, son diplôme du Conservatoire royal de danse de Madrid. Elle est aussitôt engagée dans des compagnies professionnelles pour des tournées internationales. À vingt-deux ans, elle crée Entre paredes. Une première pièce suivie de plusieurs créations qui ont en commun un regard curieux et transgresseur sur un art flamenco qui refuse d’emprunter les chemins habituels, de marcher sur les traces des autres : El eterno retorno (2006), Turquesa como el limón (2006), Almario (2007), Por el decir de la gente (2007), Oro viejo (2008), Cuando las piedras vuelen (2009), Vinática (2010), Danzaora y vinática (2011), Afectos (2012), Bosque Ardora (2014), Caída del Cielo (2016) et Grito Pelao (2018). Elle a vingt-six ans quand le ministère de la Culture espagnol lui décerne le Premio Nacional de Danza (Prix national de danse) pour « son apport au renouvellement de l’art flamenco, sa capacité d’adaptation et sa puissance d’interprétation, qui lui permettent d’aborder librement et avec audace les registres les plus variés ». Deux ans plus tard, Mikhaïl Barychnikov s’agenouille à ses pieds devant la porte de sa loge du New York City Center, à l’issue du succès retentissant de la représentation de Oro viejo. Depuis 2014, elle est artiste associée au Théâtre national de Chaillot, à Paris, où en novembre 2016 elle a créé Caída del Cielo, accueilli à Bonlieu en mai 2019. Elle crée au Festival d’Avignon en Juillet 2018, Grito Pelao, qu’elle dirige avec la chanteuse Sílvia Pérez Cruz et Carlos Marquerie. Danseuse aux multiples facettes, Rocío Molina est l’une des artistes espagnoles les plus renommées à l’étranger. Ses pièces ont été présentées dans des théâtre et des festivals tels que le Festival d’Avignon, le Barbican Center de Londres, le New York City Center, l’Esplanade de Singapour, le Festival Tanz Im August à Berlin, le Festival SPAF de Séoul, le Théâtre Stanislavsky de Moscou, le Théâtre National de Taiwan, le Dansens Hus de Oslo ou Stokholm, le Transamériques de Montréal, le Théâtre National de Chaillot ou le Bunkamura de Tokyo ; et en Espagne au Teatro Español ou Teatros del Canal de Madrid, la Bienal de Flamenco ou Teatro Central de Sevilla, le Mercat de les Flors de Barcelona, le Cervantes à Málaga…pour n’en citer que quelqu’uns. Durant sa carrière, elle a collaboré avec de grandes figures du flamenco espagnol tels que María Pagés, Miguel Poveda, Antonio Canales et Israel Galván, et avec des figures de la création contemporaine comme Carlos Marquerie, Mateo Feijóo et Jean Paul Goude (création d’un événement pour la marque Hermes à Shanghai en juin 2017). Sa recherche artistique a été récompensée par de nombreux prix, en Espagne et à l’étranger : Prix Lion d’argent de la danse 2022 de la Biennale de Venise, Premio Nacional de Danza 20210, Prix Max 2019 meilleure performance de danse pour Grito Pelao, 2019 Prix national de la danse du Royaume-Uni pour la « meilleure danseuse contemporaine », 2018 Nomination aux Olivier Awards (Londres) pour Caída del Cielo, Premio Max 2017 (meilleure chorégraphie et meilleure danseuse pour Caída del Cielo), Premio Max 2015 (meilleure chorégraphie pour Bosque Ardora), Premio Mejor Bailaora de la Biennale de Séville, Medalla de Oro de Málaga, Prix spécial aux Dance National British Awards en 2016. Elle a reçu les applaudissements unanimes du public et de la critique : « une danseuse surdouée et intelligente » (El Mundo), « la puissance nucléaire au cœur de l’atome » (Standard), « un talent né qui puise au plus profond » (El País), « l’urgence de la passion incarnée, incandescente, qui prend possession du corps et le fait bouger, le transporte, spasme après spasme, et l’emplit de rage et de beauté » (La Vanguardia), « l’une des meilleures danseuses de flamenco que j’aie jamais vues » (The New York Times), « une interprète radicale des traditions qui s’exprime sous le signe graphique de la contemporanéité », «une force avec laquelle il faut compter, dans l’art et dans la vie», « sa puissance innée, transcendée à travers un corps volcanique » (La Biennale de Venise).

La presse en parle

« Trois guitares pour la danse infinie de Rocío. La malagueña fait sensation dans cet extrait de la trilogie pour guitares. »
El País, Fírmin Lobatón

 

« Techniquement impeccable, tant à la danse qu’à la guitare. »
Diaro de Sevilla, Juan Vergillos

 

« Si la nature dansait, ce serait Rocío Molina. Si les nuages, les oiseaux, les rochers, les eaux calmes ou les vagues furieuses voulaient se manifester physiquement, ils le feraient à travers elle. En effet, comme elle l’a montré dans la Trilogie pour guitares créé à la Biennale de Séville, la danseuse est capable de faire le vide dans son corps et de se défaire de sa conscience – mais pas de sa mémoire – pour devenir un sujet qui incarne et résume le monde. »
DeFlamenco, Sara Arguijo

 

« Au-delà de son excellence de bailaora, Molina introduit une dimension théâtrale du jeu et des silences, une présence sensible et un dialogue des sensations, pour offrir au public comme à elle-même une palette élargie des émotions. Et ça change tout ! »
Transfuge, Thomas Hahn, NOV. 21

 

« Au Théâtre de Chaillot, la danseuse et chorégraphe espagnole convoque un trio de guitaristes pour mettre en musique sa danse. Son flamenco incandescent n’est ni d’hier ni de demain. Il est dans le présent de la vie. Du grand art. »
Les Échos, Philippe Noisette, NOV. 21

 

« À Chaillot, la danseuse et chorégraphe revient au plus pur du flamenco. Pour un spectacle curieusement sage et d’une beauté parfaite. »
Le Figaro, Ariane Bavelier, 22 NOV. 21

 

« C’est un joyau nouveau en matière de flamenco qui a été dévoilé sur le plateau de la Salle Jean Vilar, à Chaillot. La Rocío Molina nouvelle est arrivée, drapée d’un blanc immaculé qui annonce un retour aux sources. La scène, le costume, la musique et même sa danse – bref, tout ce qui fait un récital chorégraphique flamenca – était d’une transparence originelle, tel le signe d’un nouveau départ, à la scène comme à la ville. »
sceneweb.fr, Thomas Hahn, 22 NOV. 21

À voir aussi