CÉLÉBRATION

Février 2020, un mois avant le confinement, Aïcha M’Barek et Hafiz Dhaou présentent Ces gens-là ! à Bonlieu. Ambiance clubbing pour fête grandeur nature. Les vibrations d’Haythem Achour, alias Ogra, figure de la scène electro tunisienne, déchirent la salle et font crépiter les corps. La danse envahit l’espace, incluant les spectateurs dans sa transe libératoire… Puis plus question de se rassembler ni de se toucher, l’épidémie impose sa loi d’éloignement et d’évitement. Célébration est né dans l’impatience du monde d’après, dans l’attente des étreintes retrouvées, dans le désir des moments de liesse exubérants et incontrôlés. Le désir de vivre fait rage !

S’inspirant des Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes, Aïcha M’Barek et Hafiz Dhaou imaginent une esquisse chorégraphique pour trois danseurs où tous les états amoureux sont explorés : attente, rencontre, étreinte, souvenir… Imposant un rythme frénétique, la musique jouée en direct vient aiguiser la sensibilité exacerbée des corps qui se font liens ou lianes comme la nature quand elle reprend ses droits et se transforme en végétation inattendue. Célébration, c’est la revanche de la vie !

Saison 22/23
MAR.21 ET MER.22 MARS
À 20H30
DURÉE 1H
LIEUGRANDE SALLE

TARIF B

?×
Plein tarif Tarif réduit Tarif abonné Tarif abonné réduit Tarif -12 ans
A+ 31 26 26 13 10  €
A 27 22 22 10 8  €
B 24 19 19 10 8  €
C 20 15 15 10 8  €
P&G 10 10 10 10 8  €
TS Tarif spécial
TAS Tarif L'Auditorium Seynod
(21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €)
TM Tarif Malraux, Scène nationale Chambéry Savoie
(25 € / 18 € / 12 €)
TU Tarif unique
EL Entrée libre

conception et chorégraphie Aïcha M’Barek & Hafiz Dhaou
interprètes Johanna Madonnet, Stéphanie Pignon et Fabio Dolce
musicien Jean-Noël Françoise
lumières Xavier Lazarini
costumes Aïcha M’Barek

 

 

production Compagnie CHATHA
coproduction Espace des Arts, Scène nationale Chalon-Sur-Saône, Théâtre de Mâcon, Scène nationale, Esplanade du Lac – Divonne-les-Bains, Maison de la danse / Pôle européen de création, Viadanse – Centre Chorégraphique National de Belfort, Centre Chorégraphique National de Rilleuxla-Pape, Centre Chorégraphique National de Nantes, Centre Chorégraphique National 2 Grenoble

En 2011 et 2012, Aïcha M’Barek et Hafiz Dhaou sont nommés directeurs artistiques du Festival Les Rencontres Chorégraphiques de Carthage Tunis Capitale de La Danse. Ils se voient aussi confié plusieurs cartes blanches au MUCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille, également au Kampnaguel à Hambourg, à Limoges au festival des Francophonies en Limousin. Ils collaborent au symposium Dewan en Jordanie. Ils intègrent tous deux le comité d’Orientation de l’Institut Français Paris pour la Triennale Danse l’Afrique Danse jusqu’en 2023, la Biennale danse en Afrique seras accueillie à Maputo (Mozambique). Les deux chorégraphes ont été artistes associés de 2011 à 2013 au Théâtre Louis Aragon à Tremblay-en-France et à la Maison de la Danse de Lyon en 2014, en résidence longue à Bonlieu Scène nationale Annecy, au MOUSSEM – Nomadisch Kunstencentrum à Anvers puis à Bruxelles. Ils ont été artistes associés à VIADANSE au CCN de Belfort Franche Comté de 2016 à 2018, avec lequel ils ont mené le projet participatif Les Planeurs en partenariat avec la Scène nationale Les 2 Scènes à Besançon. Ils sont aujourd’hui artistes associés à l’Espace des Arts Scène nationale de Chalon-sur-Saône.

« Inspirée par la lecture des Fragments du discours amoureux de Roland Barthes, Célébration illustre une sortie possible du tunnel par l’iridescence d’une ligne de lumière stroboscopique trouant le fond de scène, d’où s’échappent un par un les danseur. ses, le corps entièrement recouvert de vêtements à capuches, invisibles au regard comme le port du masque nous y a habitués et suivant des trajectoires solitaires, aux gestuelles repliées sur des corps satellisés dans un espace dénué de rencontres. »
Les Inrockuptibles, Fabienne Arvers, 19 NOV.21

 

« Un travail très précis, d’infinis détails, de remarquables interprètes aux fortes personnalités dans une sensible et émouvante création en noir et blanc dont la progression dramaturgique parle, aujourd’hui, à tous et toutes. En abordant l’intime des artistes dans leur relation au corps dansé, Aïcha et Hafiz signent une œuvre magnifique délicate et frappante d’intelligence. »
DANSER Canal historique, Sophie Lessort, NOV.21

 

« Au fur et à mesure, le mouvement engagé et tranchant se fait à la fois plus lourd et plus câlin, jouant d’une sensualité sous emprise où l’air brassé devient miel, où les danseurs eux-mêmes se font miel, tous imposants de variations opulentes, tous portés par un « dégouliné » progressant vers une extase qui se matérialise dix minutes avant la fin. Coitus interruptus ? Ce qui suit relève sans doute d’un auto érotisme débarrassé de la retenue qui faisait jusqu’ici son bel équilibre, à l’image de ce rock’n‘roll… »
toute la culture.com,  Antoine Couder, 17 NOV.21

À voir aussi

Distributions Crédits

conception et chorégraphie Aïcha M’Barek & Hafiz Dhaou
interprètes Johanna Madonnet, Stéphanie Pignon et Fabio Dolce
musicien Jean-Noël Françoise
lumières Xavier Lazarini
costumes Aïcha M’Barek

 

 

production Compagnie CHATHA
coproduction Espace des Arts, Scène nationale Chalon-Sur-Saône, Théâtre de Mâcon, Scène nationale, Esplanade du Lac – Divonne-les-Bains, Maison de la danse / Pôle européen de création, Viadanse – Centre Chorégraphique National de Belfort, Centre Chorégraphique National de Rilleuxla-Pape, Centre Chorégraphique National de Nantes, Centre Chorégraphique National 2 Grenoble

Biographie

En 2011 et 2012, Aïcha M’Barek et Hafiz Dhaou sont nommés directeurs artistiques du Festival Les Rencontres Chorégraphiques de Carthage Tunis Capitale de La Danse. Ils se voient aussi confié plusieurs cartes blanches au MUCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille, également au Kampnaguel à Hambourg, à Limoges au festival des Francophonies en Limousin. Ils collaborent au symposium Dewan en Jordanie. Ils intègrent tous deux le comité d’Orientation de l’Institut Français Paris pour la Triennale Danse l’Afrique Danse jusqu’en 2023, la Biennale danse en Afrique seras accueillie à Maputo (Mozambique). Les deux chorégraphes ont été artistes associés de 2011 à 2013 au Théâtre Louis Aragon à Tremblay-en-France et à la Maison de la Danse de Lyon en 2014, en résidence longue à Bonlieu Scène nationale Annecy, au MOUSSEM – Nomadisch Kunstencentrum à Anvers puis à Bruxelles. Ils ont été artistes associés à VIADANSE au CCN de Belfort Franche Comté de 2016 à 2018, avec lequel ils ont mené le projet participatif Les Planeurs en partenariat avec la Scène nationale Les 2 Scènes à Besançon. Ils sont aujourd’hui artistes associés à l’Espace des Arts Scène nationale de Chalon-sur-Saône.

La presse en parle

« Inspirée par la lecture des Fragments du discours amoureux de Roland Barthes, Célébration illustre une sortie possible du tunnel par l’iridescence d’une ligne de lumière stroboscopique trouant le fond de scène, d’où s’échappent un par un les danseur. ses, le corps entièrement recouvert de vêtements à capuches, invisibles au regard comme le port du masque nous y a habitués et suivant des trajectoires solitaires, aux gestuelles repliées sur des corps satellisés dans un espace dénué de rencontres. »
Les Inrockuptibles, Fabienne Arvers, 19 NOV.21

 

« Un travail très précis, d’infinis détails, de remarquables interprètes aux fortes personnalités dans une sensible et émouvante création en noir et blanc dont la progression dramaturgique parle, aujourd’hui, à tous et toutes. En abordant l’intime des artistes dans leur relation au corps dansé, Aïcha et Hafiz signent une œuvre magnifique délicate et frappante d’intelligence. »
DANSER Canal historique, Sophie Lessort, NOV.21

 

« Au fur et à mesure, le mouvement engagé et tranchant se fait à la fois plus lourd et plus câlin, jouant d’une sensualité sous emprise où l’air brassé devient miel, où les danseurs eux-mêmes se font miel, tous imposants de variations opulentes, tous portés par un « dégouliné » progressant vers une extase qui se matérialise dix minutes avant la fin. Coitus interruptus ? Ce qui suit relève sans doute d’un auto érotisme débarrassé de la retenue qui faisait jusqu’ici son bel équilibre, à l’image de ce rock’n‘roll… »
toute la culture.com,  Antoine Couder, 17 NOV.21

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