THE SACRIFICE
danse / musique live
DADA MASILO • Ann Masina, Leroy Mapholo, Tlale Makhene, Nathi Shongwe
Dada Masilo, papesse du remix chorégraphique, révise encore et toujours nos classiques ! En empoignant Le Sacre du printemps de Stravinsky, elle continue à faire bouger les lignes entre répertoire classique et danse contemporaine. Avec quinze interprètes et sur une musique originale, elle revisite son propre héritage : la culture tswana. Son Sacrifice se révèle curatif !
Giselle, Carmen, Le Lac des cygnes : Dada Masilo a toujours remis en question l’héritage du ballet classique pour l’emmener vers d’autres rivages. Formée à P.A.R.T.S., l’école de la chorégraphe belge Anne Teresa de Keersmaeker, l’artiste sud-africaine a tissé des liens inédits et émouvants entre sa découverte de la danse européenne et les cultures traditionnelles de son pays. Partition fondatrice de la danse moderne, Le Sacre du printemps l’a incitée à interroger ses propres origines, la culture tswana, dont les rituels à la danse rythmée et expressive racontent des histoires et permettent des guérisons. Électrisant et cathartique…
TARIF A
?×Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné | Tarif abonné réduit | Tarif -12 ans | ||
---|---|---|---|---|---|---|
TS | 36 | 29 | 29 | 25 | 18 | € |
A | 29 | 24 | 24 | 14 | 10 | € |
B | 23 | 18 | 18 | 10 | 8 | € |
P&G | 10 | 10 | 10 | 10 | 8 | € |
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Téthys (21 € / 14 € / 12 € / 10 € / 7 €) |
|||||
TAS | Tarif L'Auditorium Seynod Rebelle(s) sans cause (10 € / 7 € / 7 € / 7 € / 7 €) |
|||||
TBG | Tarif Le Brise Glace (23 € / 21 € / 19 € / 17 € / 17 €) |
- Distributions
Crédits - Biographie
- La presse
en parle
chorégraphie Dada Masilo
compositeurs Ann Masina, Leroy Mapholo, Tlale Makhene, Nathi Shongwe
costumes David Hutt
avec Dada Masilo, Lehlohonolo Madise, Refiloe Mogoje, Thandiwe Mqokeli, Eutychia Rakaki, Leo Dibatana, Lwando Dutyulwa, Thuso Lobeko, Songezo Mcilizeli, Steven Mokone, Tshepo Zasekhaya
musiciens Tina Meni, Leroy Mapholo, Mpho Mothiba, Nathi Shongwe
son Tebogo Moloto
lumière et vidéo Suzette le Sueur
assistant de production Thabiso Tshabalala
Le texte parlé est une traduction du Psaume 23.
•
une commande de The Prince Claus Fund Next Generation Award 2018 (Netherlands), The Joyce Theatre Foundation’s Stephen and Cathy Weinroth Fund for New Work (USA)
avec le soutien de Buhnen Koln/Tanz Koln (Germany); Ruhrfestspiele Recklinghausen GmbH (Germany); RomaEuropa (Italy), Maison de la Danse, Lyon (France), La Villette, Paris (France)
diffusion à l’étranger Quaternaire
Née à Johannesburg en Afrique du Sud, Dada Masilo a commencé sa formation à la Dance Factory à l’age de 11 ans. À sa sortie de l’École nationale des arts, elle s’est formée pendant un an à Jazzart à Cape Town, avant d’intégrer à l’âge de 19 ans la formation P.A.R.T.S. (Performing Arts Research and Training Studios) à Bruxelles. Rentrée en Afrique du Sud, elle a reçu en 2008 le prestigieux Standard Bank Young Artist Award for Dance puis a créé, sur commandes du National Arts Festival, ses Roméo et Juliette (2008), Carmen (2009) et Le Lac des Cygnes (2010) : ces pièces ont connu un succès planétaire. Elle a créé en 2017 sa Gisèle à Dansens Hus (Oslo) – un spectacle présenté depuis dans de nombreux festivals en Europe, Amérique du Nord et Asie. Elle a notamment collaboré avec William Kentridge et participé à la tournée internationale de Refuse the Hour. Dada Masilo danse dans ses propres créations, en collaboration avec certains des meilleurs artistes de danse d’Afrique du Sud, sélectionnés par audition. Elle est artiste en résidence à la Dance Factory.
Récompenses : nominée en 2016 pour un Bessie Award (Swan Lake), prix 2017 Danza & Danza pour « Best Performance 2017 » (Giselle), prix 2018 Prince Claus « Next Generation ».
« Pour cette pièce, la chorégraphe sud-africaine Dada Masilo s’est dite inspirée par le Sacre du Printemps. Loin de compléter la longue liste des relectures ou versions du Sacre, son travail au contraire s’en affranchit. Libre et déterminée, elle convoque ses propres forces rituelles et se connecte à d’autres réalités. […] Portée par cette histoire très vive, Dada Masilo fait le choix déterminant de laisser de côté la musique de Stravinsky. Pourtant, chants, rythmes et scansions resteront sa ligne directrice, portés par quatre musiciens sur le plateau. Elle situe sa pièce dans un environnement scénique certes épuré et abstrait, mais qu’elle relie à la culture du peuple Tswana par ses rituels et ses danses, comme un retour à un héritage personnel. Le sacrifice originel d’une « élue » par sa communauté se fait plus complexe, plus nuancé. Danses animalières, jeux de séduction, processions d’objets de consommation du quotidien… les dix danseurs questionnent la notion de sacrifice, à l’aune de son objet ou de son sujet. Quel sens lui donner, dans le poids du collectif, face aux ancêtres comme devant notre monde si trouble ? »
La Terrasse, Nathalie Yokel, le 5 MAI 21
Distributions Crédits
chorégraphie Dada Masilo
compositeurs Ann Masina, Leroy Mapholo, Tlale Makhene, Nathi Shongwe
costumes David Hutt
avec Dada Masilo, Lehlohonolo Madise, Refiloe Mogoje, Thandiwe Mqokeli, Eutychia Rakaki, Leo Dibatana, Lwando Dutyulwa, Thuso Lobeko, Songezo Mcilizeli, Steven Mokone, Tshepo Zasekhaya
musiciens Tina Meni, Leroy Mapholo, Mpho Mothiba, Nathi Shongwe
son Tebogo Moloto
lumière et vidéo Suzette le Sueur
assistant de production Thabiso Tshabalala
Le texte parlé est une traduction du Psaume 23.
•
une commande de The Prince Claus Fund Next Generation Award 2018 (Netherlands), The Joyce Theatre Foundation’s Stephen and Cathy Weinroth Fund for New Work (USA)
avec le soutien de Buhnen Koln/Tanz Koln (Germany); Ruhrfestspiele Recklinghausen GmbH (Germany); RomaEuropa (Italy), Maison de la Danse, Lyon (France), La Villette, Paris (France)
diffusion à l’étranger Quaternaire
Biographie
Née à Johannesburg en Afrique du Sud, Dada Masilo a commencé sa formation à la Dance Factory à l’age de 11 ans. À sa sortie de l’École nationale des arts, elle s’est formée pendant un an à Jazzart à Cape Town, avant d’intégrer à l’âge de 19 ans la formation P.A.R.T.S. (Performing Arts Research and Training Studios) à Bruxelles. Rentrée en Afrique du Sud, elle a reçu en 2008 le prestigieux Standard Bank Young Artist Award for Dance puis a créé, sur commandes du National Arts Festival, ses Roméo et Juliette (2008), Carmen (2009) et Le Lac des Cygnes (2010) : ces pièces ont connu un succès planétaire. Elle a créé en 2017 sa Gisèle à Dansens Hus (Oslo) – un spectacle présenté depuis dans de nombreux festivals en Europe, Amérique du Nord et Asie. Elle a notamment collaboré avec William Kentridge et participé à la tournée internationale de Refuse the Hour. Dada Masilo danse dans ses propres créations, en collaboration avec certains des meilleurs artistes de danse d’Afrique du Sud, sélectionnés par audition. Elle est artiste en résidence à la Dance Factory.
Récompenses : nominée en 2016 pour un Bessie Award (Swan Lake), prix 2017 Danza & Danza pour « Best Performance 2017 » (Giselle), prix 2018 Prince Claus « Next Generation ».
La presse en parle
« Pour cette pièce, la chorégraphe sud-africaine Dada Masilo s’est dite inspirée par le Sacre du Printemps. Loin de compléter la longue liste des relectures ou versions du Sacre, son travail au contraire s’en affranchit. Libre et déterminée, elle convoque ses propres forces rituelles et se connecte à d’autres réalités. […] Portée par cette histoire très vive, Dada Masilo fait le choix déterminant de laisser de côté la musique de Stravinsky. Pourtant, chants, rythmes et scansions resteront sa ligne directrice, portés par quatre musiciens sur le plateau. Elle situe sa pièce dans un environnement scénique certes épuré et abstrait, mais qu’elle relie à la culture du peuple Tswana par ses rituels et ses danses, comme un retour à un héritage personnel. Le sacrifice originel d’une « élue » par sa communauté se fait plus complexe, plus nuancé. Danses animalières, jeux de séduction, processions d’objets de consommation du quotidien… les dix danseurs questionnent la notion de sacrifice, à l’aune de son objet ou de son sujet. Quel sens lui donner, dans le poids du collectif, face aux ancêtres comme devant notre monde si trouble ? »
La Terrasse, Nathalie Yokel, le 5 MAI 21