Le Crocodile trompeur / Didon et Enée
Type de tarif | Plein tarif | Tarif réduit | Tarif abonné plein | Tarif abonné réduit | Tarif - 12 ans |
TARIF SPÉCIAL | 36€ | 29€ | 29€ | 25€ | 18€ |
TARIF A | 29€ | 24€ | 24€ | 14€ | 10€ |
TARIF B | 23€ | 18€ | 18€ | 10€ | 8€ |
TARIF PETITS ET GRANDS | 10€ | 10€ | 10€ | 10€ | 8€ |
AUDITORIUM SEYNOD MAMU TSHI | 21€ | 14€ | 12€ | 10€ | 7€ |
BRISE GLACE DRAGA | 29€ | 27€ | 25€ | 23€ | 23€ |
THÉÂTRE DES COLLINES À L’ÉCART | 10€ | 10€ | 10€ | 10€ | 10€ |
Jeanne Candel reprend le premier spectacle qu’elle avait créé avec Samuel Achache et Florent Hubert, une œuvre plébiscitée par le public et consacrée par le Molière du théâtre musical en 2014. Ici, la passion des sentiments se vit intensément. Les ingénieux comédiens-chanteurs-musiciens bricolent un joyeux bazar, dans lequel la puissance de l’émotion de l’opéra de Purcell garde pourtant toute sa force. Un spectacle exubérant et hilarant, pour le plaisir des yeux et du cœur.
Dans un espace inspiré d'un tableau de Brueghel se déploie sous nos yeux la légende du Troyen Énée, fondateur de la nation romaine, qui tombe dans les bras de la reine de Carthage, Didon. Fin tragique annoncée. Oui, mais interprétée par la compagnie La vie brève, cette œuvre collective explose les codes de l’opéra ! Les interprètes se jouent de toutes les conventions, à la manière de musiciens de jazz égarés pour un temps au siècle de Purcell. La passion amoureuse rejoint la passion de la musique. Et quand pleurs il y a, dans cet aller-retour entre le drame et la comédie, ce ne sont que des larmes de crocodile !
→ Bord-radio à l'issue de la représentation du jeu. 2 avr. en présence de l'équipe artistique.
Distribution
D’après l’opéra de Henry Purcell et d’autres matériaux
Mise en scène Samuel Achache, Jeanne Candel
Scénographie Lisa Navarro
Direction musicale Florent Hubert
Arrangement musical collectif
Direction chorale Jeanne Sicre
Lumière Vyara Stefanova
Costumes Pauline Kieffer
Construction des décors François Gauthier-Lafaye, Didier Raymond, Pierre-Guilhem Costes
Remerciement Frédérique Bini, Domitille Duke, Philippe Binard, Lucie Ben Bata, Agnès Estrade, Rémi Sella, Dominique Hollebeke et La Compagnie Midi-Minuit
De et avec Matthieu Bloch en alternance avec Judith Chemla ou Anne-Emmanuelle Davy, Vladislav Galard en alternance avec Myrtille Hetzel, Florent Hubert, Clément Janinet en alternance avec Marie Salvat, Olivier Laisney, Léo-Antonin Lutinier, Thibault Perriard, Jan Peters, Jeanne Sicre, Marion Sicre, Lawrence Williams
Production (reprise 2021) la vie brève - Théâtre de l’Aquarium
Production (création 2013) C.I.C.T. - Théâtre des Bouffes du Nord
Coproduction Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, la vie brève, Comédie de Valence - Centre dramatique national Drôme-Ardèche, MC2: Grenoble, Le Radiant-Bellevue / Caluire-et-Cuire, Théâtre de Caen, Théâtre Forum Meyrin / Genève
Soutien Théâtre de la Cité Internationale
Avec l'aide à la production et à la diffusion d’Arcadi Île-de-France, de la SPEDIDAM, de la DRAC Île-de-France et de la Région Île-de-France.
À Isabelle Seguin.
Vidéo
« Point n’est besoin d’être un féru d’opéra baroque ni un spécialiste de Purcell pour embarquer avec cette formidable équipe de musiciens-acteurs-chanteurs qui savent tout faire, se donnent sans compter et livrent une version échevelée de Didon et Énée qu’ils entrelardent de jazz et de moments farcesques, sans en altérer la beauté… bien au contraire ! »
Paris Mômes.fr, Maïa Bouteillet, juin 2021
« Contrebasse, clarinette, saxophone, violon, trompette et batterie composent l’orchestre réuni par Florent Hubert, un orchestre qui fait mieux qu’être totalement intégré à l’action théâtrale, mais où les instruments deviennent des acteurs à part entière. […] Il faut dire qu’ils accompagnent des acteurs qui, eux, sont de sacrés instruments, et qui jouent avec les codes de l’opéra avec une euphorie communicative. »
Le Monde, Fabienne Darge, fév. 2013
« Cette pièce à l’esprit débridé bouscule toutes les frontières, celles qui cantonnent habituellement chaque discipline à sa case, mais aussi celles du raisonnable et de l’exubérance, ouvrant de vastes aires de jeu à un imaginaire sans limite. »
La Croix, Marie-Valentine Chaudon, juin 2021
« Chacun ici mériterait d'être cité, car la réussite de l'entreprise tient à l'éclat de ces talents ligués et chacun déploie tout l'arc-en-ciel de dons qui s'irisent de nuances délicates ou cocasses. Au centre, la belle et malheureuse reine de Carthage chante comme elle respire, femme sublime et enfantine. (…) Ce spectacle est complètement fou. […] On rit autant que l’on est ému, allez-y ! »
Le Figaro, Armelle Héliot, déce. 2013